Audrey, jolie femme de trente huit ans, tient un salon de coiffure huppé de la ville. Depuis peu, elle a embauché Corinne, jeune fille de dix neuf ans, pour un contrat en alternance.
Audrey est très satisfaite de la prestation de sa jeune recrue, très professionnelle, très conviviale avec les clients.
Un dimanche matin, alors qu’elle sort de bain, Audrey entend sonner à sa porte. Vêtue d’un court peignoir, elle regarde par l’œil de bœuf. Voyant que s’est Corinne, elle ouvre.

-Tiens, dit Audrey, qu’elle surprise, que me vaut cette visite un dimanche matin ?
-Heu, répond timidement Corinne, c’est-à-dire que j’ai un repas de famille, pourriez-vous me donner un coup de peigne ?
-Mais bien sur, assied toi, l’invite Audrey, mais tu devrais quittais ton chemisier.

Corinne, gênée, ôte son chemisier, et libère une magnifique poitrine, dépourvu de soutien gorge. Elle se retrouve en mini jupe. Elle devine le corps nu d’Audrey sous le peignoir.

-Quel jolie seins tu as, flatte Audrey.
-Merci Madame, les vôtres n’ont pas l’air mal non plus.

Audrey s’avance, mais est obligé d’écarter ses jambes pour éviter les genoux de sa belle employée. Ceci à pour effet d’ouvrir le peignoir, et laisse apparaitre la chatte d’Audrey, complètement épilée.
Sure d’elle, Corinne envoie une main entre les cuisses de sa patronne, qui a un mouvement de recul. L’apprenti coiffeuse insiste, passe un doigt sur la fente épilée.

-Mais…qu’est- ce- qu’il te prend, sursaute Audrey, ça va pas….
-Heu, désolé Madame, excusez-moi…mais vôtre fente est si belle toute épilée, je n’ai pu résister.
-C’est rien, répond Audrey, mais tu m’as surprise. Toi aussi tu dois avoir une belle fente. Tu devrais l’épiler toi aussi…si ce n’est déjà fait. Mais au fait, tu as déjà fait l’amour avec une fille.
-Oui Madame, plusieurs fois.
-Et alors, c’est bon demande Audrey curieuse.
-Ben, jusqu’à maintenant, aucune ne s’est plaint…voulez-vous essayer ? Vous êtes si belle.
-Mais, je n’ai jamais fait ça, poursuit Audrey.
-Détendez-vous Madame, ôtez vôtre peignoir…waouh, que vous êtes belle toute nue.
-J’ai honte, rougit Audrey, c’est la première fois que je me fais caresser par une femme.

Audrey se tient debout devant son employée. Lentement, Corinne fait glisser sa culotte, remonte sa mini jupe. Elle saisit sa patronne par les hanches, et inexorablement, la force à s’asseoir sur elle, jusqu’à ce qu’Audrey s’empale…sur un énorme pieu.

-Mais…mais…qu’est- ce- que sait ? dit-elle surprise.
-Et oui Madame, je suis un trans, moitié fille, moitié garçon. Mais vous allez aimer…

C’est vrai que Corinne, au de là de ses magnifiques seins, bien fermes, et dotée d’une queue à faire pâlir de jalousie beaucoup d’hommes normalement constitués.
La surprise passée, non seulement Audrey ne se retire pas, mais commence à apprécié la douce pénétration. C’est même elle qui fait des va et vient sur la belle bite de son employée.
Petit à petit, Corinne sent la chatte de sa patronne mouillée abondamment. Elle s’amuse à lui sucer les seins aux bouts devenus énormes. Soudain, les coups de reins et la respiration s’accélèrent. Audrey atteint l’orgasme, hurle de plaisir.

-Oh mon dieu ma chérie, gémit Audrey, tu me fais jouir…oui, baise moi…hum…hum…viens toi…
-Laissez-vous aller Madame, sourit Corinne, vous aimez, hein.
-Oh oui j’aime, soupire la coiffeuse, je ne m’attendais pas à ça. Je comprends que les filles ne se plaignent pas quand elles font l’amour avec toi…allons au lit, s’il te plait.
-Etes-vous prête à aller jusqu’au bout Madame, demande Corinne, assouvir tout mes fantasmes.
-Je te le promets ma chérie, accepte Audrey, je veux être ta chose cet après midi.

Arrivé à la chambre, Corinne ôte sa jupe. Audrey tombe en admiration devant la bite en érection de la jeune fille, mais aussi la paire de couilles qui l’accompagne. Elle ne peut la quitter du regard.

-Pauvre Norbert, se dit-elle en pensant à son mari, si tu voyais ça.

Audrey s’allonge sur le lit, écarte ses longues jambes. Corinne descend son visage entre les cuisses de sa patronne. De sa langue, elle commence à lécher les lèvres, les écarte et l’enfonce dans la chatte humide. Audrey gémit de plaisir de sentir la langue qui la fouille. Puis Corinne se positionne en soixante neuf.
Sa bite balance devant les lèvres pulpeuses de sa patronne. Cette dernière la happe, et se met à la sucer. Au bout de dix minutes, elle supplie son apprentie de la prendre. Elle a besoin d’un bon coup de queue.

-Baises moi, dit-elle, s’il te plait, baises moi…j’ai tellement envie.
-T’es une petite salope toi…t’es en manque on dirait.

Corinne est passée au tutoiement. La queue en érection de la jeune employée est à l’entrée des lèvres intimes. Elle pénètre la chatte d’une faible pression. C’est Audrey elle même, qui entame de lent va et vient. L’énorme bite perfore la chatte, de son pouce, Corinne frictionne le clitoris décalotté. Audrey se tord comme un serpent sous les coups de buttoirs. Elle devient folle. Elle atteint l’orgasme dans un cri de plaisir. Corinne se retire, laissant sa proie écartelée sur le lit.

Corinne commence à se rhabiller.

-Tu pars déjà, regrette Audrey, mets moi un dernier coup, s’il te plait…allez…
-Ben dis dont, on dirait que ça ta plu, sourit Corinne, ça fait deux heures que je te baise.
-C’était merveilleux ma chérie…mardi au salon, peut être….entre midi et deux.
-Tu vas voir comme je vais te mettre le compte, petite salope, mais là, j’ai rendez-vous avec mon copain.
-Ah bon, reprend Audrey, t’as un copain, et ça se passe comment avec lui.
-Très bien, un coup c’est lui qui me sodomise, un coup c’est moi qui l’encule. Au début, il avait mal… puis il était un peu jaloux, parce que je suis mieux monté que lui.
-J’aimerai bien que tu prennes mon mari un jour, sourit Audrey, juste pour voir, pour l’entendre crier.
-Mais ça peut s’organiser, dit Corinne en prenant les lèvres de sa patronne. Je peux vous baiser tous les deux. Allez ma chérie, il faut que j’y aille.