Marianne se dirige vers l’entrée de l’appartement et déclenche l’ouverture de la porte de l’immeuble.

Marianne , a pris son fils dans ses bras et pose ses lèvres douces sur les siennes en un rapide baiser. Surpris par ce geste inattendu, Nikola n’a ni le temps ni la présence d’esprit de réagir que déjà elle l’entraîne dans la salle de séjour, moi aussi J’ai pris mon fils dans mes bras, j’invite mon fils à s’installer sur le canapé et lui propose de sabler et le champagne
Marianne , elle, s’assoit dans un fauteuil bas, face de son son fils, de l’autre côté de la table basse. Sa jupe s’entrouvre aussitôt, découvrant le haut ses cuisses. Négligemment, elle prend tout son temps pour remettre soigneusement sa jupe en place, avec une petite moue ambiguë à l’adresse de son fils. Nikola, tout comme moi, a tout loisir d’admirer ses jambes et peut même profiter de la vision fugitive de son string, avant qu’elle ne croise ses jambes et ne les recouvre.

Tous trois, coupe en main, trinquent joyeusement à l’anniversaire de Nikola. Celle-ci saisit alors une des coupelles d’amuse-gueules sur la table et, se penchant vers son fils à se servir. Sa position dévoile largement ses seins, dans l’échancrure du corsage.nikola qui ne perd pas une miette du spectacle. il relève précipitamment les yeux vers le visage de sa mère, Marianne lui sourit, les yeux brillants. Puis elle tend la coupelle à moi! Un peu plus tard, on passe à table gaîment. À mesure que le repas, excellent, avance et que le champagne coule, l’atmosphère devient de plus en plus détendue et joyeuse.Marianne, assise près de son fils, se rend cependant parfaitement compte qu’il est surtout fasciné par son décolleté ensorcelant, par sa poitrine se balançant à chacun de ses gestes et qu’elle montre avec de moins en moins de gêne. Fasciné aussi par la vision de ses cuisses que sa jupe découvre haut à chaque mouvement et qu’elle ne prend même plus la peine de replacer maintenant.Je sui ahuri par l’aisance de Marianne : dès l’arrivée de Nikola, toute la gêne qu’elle manifestait en l’attendant, quant à sa tenue, a disparu dans son attitude. Elle est maintenant parfaitement à l’aise, laissant les deux hommes admirer son corps à loisir. Elle semble même provoquer les occasions de le mettre en valeur, en scène presque.
Il se demande un instant, avec une petite pointe d’inquiétude, si ce n’est pas elle qui a finement manœuvré pour l’amener où elle voulait : lui faire endosser la responsabilité de ce dont elle avait envie et ainsi, éventuellement, se déculpabiliser. Mais il chasse bien vite cette idée incongrue : une telle attitude n’est vraiment pas dans la nature de Marianne, bien trop franche et directe pour concevoir un tel dessein. Non, elle a tout simplement surmonté ses réticences et ses scrupules. Elle a manifestement décidé de s’affranchir des règles de bienséance trop strictes. Elle est elle-même, assumant ses désirs. Et je me demande jusqu’où elle sera capable d’aller dans cette voie.
la fin du repas, je signale à ma femme de se préparer pour la représentation de son Spectacle, je me suis tourné vers Nikola

-Le dessert et le café nous le prendrons après, Bon anniversaire fiston ! Asseyons-nous sur le canapé. Ta mère a une surprise pour nous.

Quand elle apparaît, nous sommes tous les deux stupéfait.
J’ai mis de la musique et marianne a commencé à danser devant nous de façon très sexy, tout en entamant son effeuillage.
Elle enleva son pull, son chemisier, puis sa jupe. Elle se retrouva en sous-vêtements et continua un moment à danser dans cette tenue.
Soudain elle fit glisser une bretelle de soutien-gorge, puis l’autre. Elle se retrouva seins nus face à nous.Nikola était bouche bée, fasciné. La poitrine de sa mère était magnifique. Il était évident qu’il n’en avait jamais vu d’aussi belle. Il devait se demander quels étaient ces parents assez fous pour lui offrir ce genre de spectacle. Mais il n’était pas au bout de ses surprises.
Lentement Marianne descendit sa culotte. Elle se retrouva entièrement nue.
Dansant devant nous, elle exhibait son beau corps, mettant en avant tous ses charmes, à commencer par ses splendides seins et sa tentatrice chatte de femme mûre. De ses grandes lèvres charnues et bien épilées dépassent ses petites lèvres, délicates, appétissantes. Nikola n’avait jamais rien vu d’aussi beau. Il n’arrivait plus à détacher les yeux du spectacle du sexe de sa mère dénudé. Marianne fit alors encore quelques pas de danse puis s’assit en face de lui dans un fauteuil. Pour bien nous faire profiter de la vision de sa minette elle écarta les jambes et se mit à se caresser lascivement, promenant ses mains sur ses jambes, entre ses cuisses, sur son sexe. Elle nous régalait du spectacle de ses doigts qui se mirent à fureter entre les lèvres de sa vulve, les écartant largement pour offrir une vision la plus parfaite possible de l’intérieur de sa chatte. Puis Marianne disparaître dans notre chambre pour changer de vêtements pendant que Marianne s’habiller.moi et nikola on prépare le dessert et le café. Quand elle apparaît, nous sommes à nouveau tous les deux stupéfait. petit chemisier en soie blanc que ne boutonnais qu’à moitié. On pouvait ainsi aisément apercevoir le haut de sa poitrine nue. un string ainsi qu’une très courte jupe noire, et n’avait pas mis de soutien-gorge. Par transparence on distinguait bien ses seins et l’aréole brune de ses tétons,avait tenu sa promesse.Effectivement, l’échancrure découvre largement la poitrine de Marianne. Le décolleté est étourdissant. Il s’allonge jusqu’au milieu de ses seins magnifiques. Fermes et fièrement dressés, ils encadrent le médaillon qui, niché dans le creux de leur sillon, attire irrésistiblement le regard sur eux. Et, au centre des brunes aréoles, les tétons, impudiques, dardent fièrement et semblent vouloir percer le léger voile qui les couvre. Marianne, sous l’air impassible qu’elle arbore, n’est donc pas si insensible que cela. Et cette tenue provocante la trouble. Même si elle ne le reconnaît pas et peut-être ne se l’avoue-t-elle pas à elle-même , son corps, lui, la trahit et révèle son excitation.

-Chérie tes boutons, d’un air faussement contrit.

– Tu es vraiment incorrigible.Dit-elle en souriant.

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