Je travaille comme comptable dans un grand magasin de meubles suédois qui est bien connu et l’été nous recevons beaucoup de jeunes pour des jobs saisonniers. Je les regarde du coin de l’œil, car j’ai plus de 45 ans et je ne peux décemment pas lorgner sur des jeunes d’une vingtaine d’années… et bien je vais vous raconter ce qui c’est passé cet été.
J’étais en train de remplir des papiers lorsque je vois débarque un jeune homme grand, beau comme un dieu et en plus musclé. Je piétine sur ma chaise et lui demande ce qu’il veut. Le jeune homme me répond qu’il vient me voir pour régler des soucis de comptabilité pour son contrat. Je le fais asseoir et prends tout mon temps pour lui demander les renseignements de son dossier. Je vois bien qu’il me regarde aussi avec un regard coquin. Il est évident que là où je vois un jeune homme vertueux et endurant, lui voit une femme mure avec de l’expérience. J’ai pensé à la chanson de Dalida « il venait d’avoir 18 ans ». J’étais bouillante de l’intérieur. Il jouait avec son regard et s’est levé pour me donner les papiers manquants en faisant le tour de mon bureau pour me les déposer en se penchant regarder mes seins. Il m’a fait un sourire et s’en est allé. J’avais de la mouille qui me coulait entre les cuisses et des bouffées de chaleur de folie. Je range son dossier et trouve dans les papiers que le jeune m’a remis, un petit mot me disant de le retrouver dans une heure dans les réserves.
Il travaille en tant que magasinier et connait bien les entrepôts. La nuit était tombée et nous étions seuls. Je me suis approchée avec un air sérieux et mes lunettes sur le bout du nez en lui demandant la raison de ces cachotteries. Le jeune homme me réponds en me regardant dans les yeux que c’était tout simplement pour un plan cul direct, sans prise de tête et bestial. Je me suis laissée embrasser dans le cou par le jeune homme et j’ai envoyé mes mains caresser son corps musclé. Sa chemise ouverte je pouvais toucher ses abdominaux saillants. Il a passé sa main sous ma jupe et m‘a touché la chatte. Je ne porte pas de culotte et il a senti que je mouillais. J’ai déboutonné son pantalon pour sentir sa queue et elle était énorme. Je l’ai sortie pour découvrir un sexe d’une vingtaine de centimètres. Je me suis mise à genoux pour prendre cette belle verge en bouche. Pendant que je le suçais et que je découvrais cette grosse queue, le jeune homme tentait de me déboutonner mon chemisier pour extraire mes gros seins. Je suçais sa bite, mais j’avais aussi envie de me faire peloter comme dans mes jeunes années de coquine. Je me sus redressée et j’ai laissé le jeune prendre chacun de mes seins entre ses mains pour les malaxer et jouer avec. Il me les a tétés un peu lorsque soudain nous avons entendu des pas puis des gens qui discutaient. Des responsables de rayon avaient bien choisi leur moment pour venir faire le tour des entrepôts. Nous nous sommes éclipsés discrètement comme de jeunes amoureux. Je lui ai dit de me suivre chez moi pour finir ce que nous avions commencé…
A suivre
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12 décembre 2011
Le jeune homme avait une grosse bite
Admin cougar Confession Intime 0 Commentaire
Je travaille comme comptable dans un grand magasin de meubles suédois qui est bien connu et l’été nous recevons beaucoup de jeunes pour des jobs saisonniers. Je les regarde du coin de l’œil, car j’ai plus de 45 ans et je ne peux décemment pas lorgner sur des jeunes d’une vingtaine d’années… et bien je vais vous raconter ce qui c’est passé cet été.
J’étais en train de remplir des papiers lorsque je vois débarque un jeune homme grand, beau comme un dieu et en plus musclé. Je piétine sur ma chaise et lui demande ce qu’il veut. Le jeune homme me répond qu’il vient me voir pour régler des soucis de comptabilité pour son contrat. Je le fais asseoir et prends tout mon temps pour lui demander les renseignements de son dossier. Je vois bien qu’il me regarde aussi avec un regard coquin. Il est évident que là où je vois un jeune homme vertueux et endurant, lui voit une femme mure avec de l’expérience. J’ai pensé à la chanson de Dalida « il venait d’avoir 18 ans ». J’étais bouillante de l’intérieur. Il jouait avec son regard et s’est levé pour me donner les papiers manquants en faisant le tour de mon bureau pour me les déposer en se penchant regarder mes seins. Il m’a fait un sourire et s’en est allé. J’avais de la mouille qui me coulait entre les cuisses et des bouffées de chaleur de folie. Je range son dossier et trouve dans les papiers que le jeune m’a remis, un petit mot me disant de le retrouver dans une heure dans les réserves.
Il travaille en tant que magasinier et connait bien les entrepôts. La nuit était tombée et nous étions seuls. Je me suis approchée avec un air sérieux et mes lunettes sur le bout du nez en lui demandant la raison de ces cachotteries. Le jeune homme me réponds en me regardant dans les yeux que c’était tout simplement pour un plan cul direct, sans prise de tête et bestial. Je me suis laissée embrasser dans le cou par le jeune homme et j’ai envoyé mes mains caresser son corps musclé. Sa chemise ouverte je pouvais toucher ses abdominaux saillants. Il a passé sa main sous ma jupe et m‘a touché la chatte. Je ne porte pas de culotte et il a senti que je mouillais. J’ai déboutonné son pantalon pour sentir sa queue et elle était énorme. Je l’ai sortie pour découvrir un sexe d’une vingtaine de centimètres. Je me suis mise à genoux pour prendre cette belle verge en bouche. Pendant que je le suçais et que je découvrais cette grosse queue, le jeune homme tentait de me déboutonner mon chemisier pour extraire mes gros seins. Je suçais sa bite, mais j’avais aussi envie de me faire peloter comme dans mes jeunes années de coquine. Je me sus redressée et j’ai laissé le jeune prendre chacun de mes seins entre ses mains pour les malaxer et jouer avec. Il me les a tétés un peu lorsque soudain nous avons entendu des pas puis des gens qui discutaient. Des responsables de rayon avaient bien choisi leur moment pour venir faire le tour des entrepôts. Nous nous sommes éclipsés discrètement comme de jeunes amoureux. Je lui ai dit de me suivre chez moi pour finir ce que nous avions commencé…
A suivre