Je suis une femme de 45 ans et j’ai un boulot prenant qui occupe bien mes journées et mes soirées. De ce fait, je n’ai que très peu de temps pour une vie sexuelle disons, active.
Un soir, je sortais de réunion il était 21 h. Je prends la voiture et je rentre chez moi pour une bonne nuit de sommeil. J’étais fatiguée et il pleuvait averse. Je suis passée sur une flaque d’eau et tout à coup, mon véhicule s’est arrêté net. J’ai eu le temps de me ranger sur le bas côté pour me mettre en sécurité. Je ne connais rien en mécanique et je me suis sentie perdue. Évidemment, il n’y avait pas de couverture réseau pour mon portable et je me suis retrouvée angoissée. Quelques instants plus, tard, un gros semi-remorque est venu s’arrêter derrière moi et le chauffeur m’a rejoint. Le monsieur très gentil m’a proposé de m’aider dans la mesure du possible. Après avoir trifouillé quelque peu sous le capot, le moteur est reparti. Victoire ! J’ai proposé de l’argent au routier qui m’a dit préférer boire un bon café à la station-service un peu plus loin.
Nous voici en train de discuter autour d’un café chaud et je le remercie chaudement. Je ne sais pas ce qui m’a pris, et je me suis retrouvée en train de lui caresser la bosse de son pantalon sous la table. Il a lui-même été surpris. Il m’a murmuré de venir avec lui dans la cabine du camion et je l’ai suivi. Nous nous sommes embrassés et il a passé sa main sous mon chemisier trempé avec la pluie. J’ai enlevé mon soutien-gorge et mes gros seins ont jailli d’un coup. Il s’est jeté sur mes seins et me les a dévorés. Je lui tenais la tête et j’avais très envie de lui. J’ai soulevé ma jupe et écarté les cuisses pour lui faire comprendre que je voulais me faire bouffer la chatte. Après une bonne journée de travail, ma chatte était odorante, mais il a directement plongé sa langue entre les lèvres crémeuses et m’a lapé le vagin. J’étais bouillante. Le gars me fouillait avec ses doigts et sa langue tandis que je caressais sa queue d’une main. Il a déboutonné son pantalon pour en extraire une belle verge bien dure et bien épaisse que j’ai branlée. Il était circoncis. Il m’a fait jouir avec sa langue, mais je voulais plus que ça, je voulais sentir sa bite en moi. Cela faisait des semaines que je n’avais pris de coups de bites entre les cuisses que je me suis transformée en grosse chienne. Je lui ai sucé un peu la bite pour lui faire plaisir, mais surtout pour le faire bien durcir. Il a enfilé une capote et j’ai failli jouir à nouveau, rien que de le sentir s’enfoncer en moi. L’épaisseur de sa queue me remplissait bien le vagin. Ma chatte mouillait abondamment et il a commencé à me tringler comme une chienne. Ma tête tapait contre la portière du camion et la cabine était remplie de buée. J’ai jouir de nouveau et j’ai crié de bonheur. Je suis restée comme ça un moment avant de me dire que je devais le faire jouir aussi. J’ai retiré sa capote et je l’ai branlé entre mes seins. Le routier a joui entre mes grosses mamelles. J’ai remis mon chemisier et je suis partie comme une voleuse honteuse. Une fois chez moi, je me suis allongée sur le lit et je me suis touchée en repensant à cette soirée coquine. J’avais encore son sperme entre les seins et j’ai joui en sentant cette bonne odeur de sexe sur moi.
Finalement, c’est vrai ce que l’ont dit : les routiers sont sympas !
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2 novembre 2011
Le routier était sympa
Admin bas, bite, chatte, femme, gros seins, odeur, plaisir, queue, sexe, sperme, train Confession Intime 0 Commentaire
Je suis une femme de 45 ans et j’ai un boulot prenant qui occupe bien mes journées et mes soirées. De ce fait, je n’ai que très peu de temps pour une vie sexuelle disons, active.
Un soir, je sortais de réunion il était 21 h. Je prends la voiture et je rentre chez moi pour une bonne nuit de sommeil. J’étais fatiguée et il pleuvait averse. Je suis passée sur une flaque d’eau et tout à coup, mon véhicule s’est arrêté net. J’ai eu le temps de me ranger sur le bas côté pour me mettre en sécurité. Je ne connais rien en mécanique et je me suis sentie perdue. Évidemment, il n’y avait pas de couverture réseau pour mon portable et je me suis retrouvée angoissée. Quelques instants plus, tard, un gros semi-remorque est venu s’arrêter derrière moi et le chauffeur m’a rejoint. Le monsieur très gentil m’a proposé de m’aider dans la mesure du possible. Après avoir trifouillé quelque peu sous le capot, le moteur est reparti. Victoire ! J’ai proposé de l’argent au routier qui m’a dit préférer boire un bon café à la station-service un peu plus loin.
Nous voici en train de discuter autour d’un café chaud et je le remercie chaudement. Je ne sais pas ce qui m’a pris, et je me suis retrouvée en train de lui caresser la bosse de son pantalon sous la table. Il a lui-même été surpris. Il m’a murmuré de venir avec lui dans la cabine du camion et je l’ai suivi. Nous nous sommes embrassés et il a passé sa main sous mon chemisier trempé avec la pluie. J’ai enlevé mon soutien-gorge et mes gros seins ont jailli d’un coup. Il s’est jeté sur mes seins et me les a dévorés. Je lui tenais la tête et j’avais très envie de lui. J’ai soulevé ma jupe et écarté les cuisses pour lui faire comprendre que je voulais me faire bouffer la chatte. Après une bonne journée de travail, ma chatte était odorante, mais il a directement plongé sa langue entre les lèvres crémeuses et m’a lapé le vagin. J’étais bouillante. Le gars me fouillait avec ses doigts et sa langue tandis que je caressais sa queue d’une main. Il a déboutonné son pantalon pour en extraire une belle verge bien dure et bien épaisse que j’ai branlée. Il était circoncis. Il m’a fait jouir avec sa langue, mais je voulais plus que ça, je voulais sentir sa bite en moi. Cela faisait des semaines que je n’avais pris de coups de bites entre les cuisses que je me suis transformée en grosse chienne. Je lui ai sucé un peu la bite pour lui faire plaisir, mais surtout pour le faire bien durcir. Il a enfilé une capote et j’ai failli jouir à nouveau, rien que de le sentir s’enfoncer en moi. L’épaisseur de sa queue me remplissait bien le vagin. Ma chatte mouillait abondamment et il a commencé à me tringler comme une chienne. Ma tête tapait contre la portière du camion et la cabine était remplie de buée. J’ai jouir de nouveau et j’ai crié de bonheur. Je suis restée comme ça un moment avant de me dire que je devais le faire jouir aussi. J’ai retiré sa capote et je l’ai branlé entre mes seins. Le routier a joui entre mes grosses mamelles. J’ai remis mon chemisier et je suis partie comme une voleuse honteuse. Une fois chez moi, je me suis allongée sur le lit et je me suis touchée en repensant à cette soirée coquine. J’avais encore son sperme entre les seins et j’ai joui en sentant cette bonne odeur de sexe sur moi.
Finalement, c’est vrai ce que l’ont dit : les routiers sont sympas !