Je suis une femme active BCBG qui bosse dans une grosse firme et ce qui m’énerve le plus c’est lorsque le matériel tombe en panne. C’est toujours au moment où on en a le plus besoin que ces satanées machines nous lâchent. J’ai donc fait appel à une société de maintenance pour cette photocopieuse bas de gamme qui ne veut plus fonctionner. Ce jour-là j’étais sur les nerfs et j’ai explosé lorsque le gars au téléphone m’a dit qu’il ne pouvait pas passer avant 19 h. Tout le monde quitte les lieux à 18 h et j’allais devoir poireauter une heure en attendant le technicien.
La pression me montait lorsqu’à l’heure dite, un beau mâle est entré dans le bureau. Le gars avait une salopette bleue et était musclé. Il devait avoir fin vingtaine et moi qui suis dans la quarantaine j’étais tout excitée. Ça valait le coup d’attendre ce bel apollon. Je lui ai expliqué quel était le problème et mon beau technicien s’est mis à l’œuvre. Le regarder travailler était un supplice pour ma petite culotte qui était trempée de mouille. J’avais honte d’être excitée comme cela, mais en tant que femme active, je suis prise par mon travail et soyons honnêtes, je ne baise pas assez. Je ne pouvais pas laisser passer cette occasion superbe. Il m’a expliqué que le problème était un problème de bourrage. Naïvement et sans réfléchir au sens de ma phrase, je lui ai demandé s’il s’y connaissait en bourrage. Nous avons ri de cette idiotie verbale, mais j’ai bien vu qu’il avait aussi envie que moi de baiser sur cette photocopieuse. Aussi, je me suis approchée de lui et je lui ai mis la main au paquet.
Le gars m’a soulevée et a posé mon cul sur la vitre de la photocopieuse en me disant que c’était pour tester. La lampe m’a chauffé les fesses et une feuille est sortie avec ma croupe imprimée. Le gars l’a regardée et m’a dit que ça devrait aller après quelques tests supplémentaires. Il a écarté mes cuisses et mon chemisier. J’ai déboutonné sa salopette et je malaxais sa bite. Elle était énorme. J’étais en folie et la mouille coulait sur la vitre de la photocopieuse. Il m’a mis des doigts dans la chatte et me les a donnés à sucer. Ma chatte avait un gout sucré et le jeune homme a mis sa langue au fond de ma bouche pendant qu’il me fouillait le vagin. Je le branlais pendant ce temps. J’avais très envie de sa queue dans la bouche, mais nous étions trop pressés de baiser pour ça et il a frotté sa grosse bite entre les lèvres trempées et a poussé pour s’introduire dans mon vagin humide. Sa queue ne finissait plus de s’engouffrer en moi et il ne pouvait pas entrer entièrement tant sa queue était grosse. Il m’a limé comme une chienne sur la photocopieuse pendant un bon moment et il déclenchait de temps à autre les impressions. Je suis descendue de là pour me faire prendre en levrette. La tête plaquée sur la vitre de la photocopieuse, je me faisais tringler comme une grosse truie dans une baise hardcore. Cela faisait longtemps que j’attendais ça. Mes cuisses ruisselaient de mouille fraiche. J’ai joui comme une folle et je sentais que mon jeune technicien n’allait pas tarder à venir. Je me suis mise à genoux et j’ai ouvert la bouche, mais il avait d’autres projets. Il a joui sur la vitre de la photocopieuse et m’a fait lécher son foutre chaud et gras pendant qu’il déclenchait les photocopies. Ensuite il s’est embraillé et est parti avec les photocopies me laissant seule toute débraillée, la chatte coulante de mouille et la bouche souillée du sperme du gars.
J’ai tout nettoyé et je suis rentrée chez moi. Je ne vous dis pas comme j’ai hâte que cet appareil retombe en panne.
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14 novembre 2011
Le technicien était bien monté
Admin bas, bite, chatte, culotte, femme, grosse bite, hardcore, jeune, levrette, queue, salope, sperme Confession Intime 0 Commentaire
Je suis une femme active BCBG qui bosse dans une grosse firme et ce qui m’énerve le plus c’est lorsque le matériel tombe en panne. C’est toujours au moment où on en a le plus besoin que ces satanées machines nous lâchent. J’ai donc fait appel à une société de maintenance pour cette photocopieuse bas de gamme qui ne veut plus fonctionner. Ce jour-là j’étais sur les nerfs et j’ai explosé lorsque le gars au téléphone m’a dit qu’il ne pouvait pas passer avant 19 h. Tout le monde quitte les lieux à 18 h et j’allais devoir poireauter une heure en attendant le technicien.
La pression me montait lorsqu’à l’heure dite, un beau mâle est entré dans le bureau. Le gars avait une salopette bleue et était musclé. Il devait avoir fin vingtaine et moi qui suis dans la quarantaine j’étais tout excitée. Ça valait le coup d’attendre ce bel apollon. Je lui ai expliqué quel était le problème et mon beau technicien s’est mis à l’œuvre. Le regarder travailler était un supplice pour ma petite culotte qui était trempée de mouille. J’avais honte d’être excitée comme cela, mais en tant que femme active, je suis prise par mon travail et soyons honnêtes, je ne baise pas assez. Je ne pouvais pas laisser passer cette occasion superbe. Il m’a expliqué que le problème était un problème de bourrage. Naïvement et sans réfléchir au sens de ma phrase, je lui ai demandé s’il s’y connaissait en bourrage. Nous avons ri de cette idiotie verbale, mais j’ai bien vu qu’il avait aussi envie que moi de baiser sur cette photocopieuse. Aussi, je me suis approchée de lui et je lui ai mis la main au paquet.
Le gars m’a soulevée et a posé mon cul sur la vitre de la photocopieuse en me disant que c’était pour tester. La lampe m’a chauffé les fesses et une feuille est sortie avec ma croupe imprimée. Le gars l’a regardée et m’a dit que ça devrait aller après quelques tests supplémentaires. Il a écarté mes cuisses et mon chemisier. J’ai déboutonné sa salopette et je malaxais sa bite. Elle était énorme. J’étais en folie et la mouille coulait sur la vitre de la photocopieuse. Il m’a mis des doigts dans la chatte et me les a donnés à sucer. Ma chatte avait un gout sucré et le jeune homme a mis sa langue au fond de ma bouche pendant qu’il me fouillait le vagin. Je le branlais pendant ce temps. J’avais très envie de sa queue dans la bouche, mais nous étions trop pressés de baiser pour ça et il a frotté sa grosse bite entre les lèvres trempées et a poussé pour s’introduire dans mon vagin humide. Sa queue ne finissait plus de s’engouffrer en moi et il ne pouvait pas entrer entièrement tant sa queue était grosse. Il m’a limé comme une chienne sur la photocopieuse pendant un bon moment et il déclenchait de temps à autre les impressions. Je suis descendue de là pour me faire prendre en levrette. La tête plaquée sur la vitre de la photocopieuse, je me faisais tringler comme une grosse truie dans une baise hardcore. Cela faisait longtemps que j’attendais ça. Mes cuisses ruisselaient de mouille fraiche. J’ai joui comme une folle et je sentais que mon jeune technicien n’allait pas tarder à venir. Je me suis mise à genoux et j’ai ouvert la bouche, mais il avait d’autres projets. Il a joui sur la vitre de la photocopieuse et m’a fait lécher son foutre chaud et gras pendant qu’il déclenchait les photocopies. Ensuite il s’est embraillé et est parti avec les photocopies me laissant seule toute débraillée, la chatte coulante de mouille et la bouche souillée du sperme du gars.
J’ai tout nettoyé et je suis rentrée chez moi. Je ne vous dis pas comme j’ai hâte que cet appareil retombe en panne.