J’ai 37 ans et j’ai passé l’été chez mon frère et sa femme dans le sud de la France. Ils ont une belle propriété et ils m’ont gentiment invité à passer l’été chez eux pour profiter du soleil et de la piscine. Ça change de Reims ! Ma belle sœur est une superbe femme d’une trentaine d’années avec des formes généreuses et une bonne paire de seins gonflés. Elle a pris l’habitude au fil du temps de ne pas se gêner et se balade souvent devant moi en petite tenue. Comme elle le dit souvent, je la vois en maillot au bord de la piscine, ce n’est pas pour faire la prude si je la vois en sous-vêtements, et moi ça me convient très bien. J’adore la regarder en dessous, car on a l’impression que tout est trop petit pour elle tellement ses formes sont pulpeuses. Je me suis toujours dit que ses culottes devaient bien plaquer sur ses orifices.
Un jour, elle est rentrée d’une chaude journée pendant laquelle elle a dit avoir beaucoup transpiré. Elle est allée prendre une douche et le soir venu, alors que tout le monde était couché, je suis allé me laver les dents et je suis tombé sur la panière de linge sale. J’ai eu une montée d’adrénaline en pensant à sa petite culotte. J’ai verrouillé la porte et j’ai soulevé le couvercle. En fouillant un peu, je suis tombé sur sa petite culotte en coton repliée. Je l’ai prise et je suis vite allé dans ma chambre. Je me suis allongé sur le lit et j’ai déplié le précieux tissu. Lorsque je l’ai ouverte, la culotte a dégagé une superbe odeur de transpiration et d’intimité. Il y avait des taches jaunes et blanches au niveau de sa vulve. J’ai plongé mon nez dedans et j’ai respiré à pleines narines, son odeur intime. J’ai une érection fulgurante et je me suis branlé avec le tissu enfoncé dans mes narines. J’ai vite remis en place la culotte et je me suis endormi heureux. La nuit a été agitée, car j’ai beaucoup pensé à l’odeur intime des petites culottes de ma belle sœur. Le lendemain, la journée se déroule normalement, mais je ne pouvais m’empêcher de reluquer ma belle sœur et de me dire que son sexe devait être très bon. Lorsque je suis allé me coucher, j’ai trouvé un petit sachet sous mon oreiller qui contenait une culotte et un mot. « Cher beau frère, je sais que tu as respiré ma culotte de la veille et que tu t’es branlé avec mes odeurs. Accepte ce petit cadeau dans lequel j’ai fait tout ce que j’ai pu pour laisser un maximum d’odeurs et de traces. Pas un mot à ton frère, Sarah. » Je me suis senti mal. Comment l’avait-elle su ? J’ai ouvert le sachet et j’ai découvert une culotte blanche en coton avec des traces de partout et la nouveauté, est qu’il y avait des traces brunes au niveau de son petit trou. Quel bonheur que de respirer les odeurs intimes de ma belle sœur ! Je me suis à nouveau masturbé et j’ai éjaculé une bonne quantité de foutre sur mon ventre. J’étais d’autant plus ravi, que je pouvais garder cette culotte et la respirer à n’importe quel moment de la journée.
Le lendemain matin, j’ai croisé Sarah dans la cuisine et elle m’a demandé si son cadeau m’avait fait plaisir. Je lui ai dit que jamais un cadeau ne m’avait fait autant d’effet. Par politesse, je lui ai dit qu’à mon tour, je lui avais laissé un cadeau dans la panière à linge sale. Elle y a découvert un mouchoir contenant tout le sperme que j’avais expulsé grâce à ses odeurs intimes. Elle m’a avoué garder ce mouchoir sur elle dans la journée. Mais si vous saviez ce qu’il s’est passé le lendemain ! Promis, je vous le raconte dans une prochaine lettre.
Pour accéder à la seconde partie, cliquez ici.
Articles sur le même sujet :
30 août 2011
Les petites culottes de ma belle-sœur (partie 1)
Admin belle-soeur, culotte, femme, masturbation, odeur, plaisir, sexe, sperme Confession Intime 0 Commentaire
J’ai 37 ans et j’ai passé l’été chez mon frère et sa femme dans le sud de la France. Ils ont une belle propriété et ils m’ont gentiment invité à passer l’été chez eux pour profiter du soleil et de la piscine. Ça change de Reims ! Ma belle sœur est une superbe femme d’une trentaine d’années avec des formes généreuses et une bonne paire de seins gonflés. Elle a pris l’habitude au fil du temps de ne pas se gêner et se balade souvent devant moi en petite tenue. Comme elle le dit souvent, je la vois en maillot au bord de la piscine, ce n’est pas pour faire la prude si je la vois en sous-vêtements, et moi ça me convient très bien. J’adore la regarder en dessous, car on a l’impression que tout est trop petit pour elle tellement ses formes sont pulpeuses. Je me suis toujours dit que ses culottes devaient bien plaquer sur ses orifices.
Un jour, elle est rentrée d’une chaude journée pendant laquelle elle a dit avoir beaucoup transpiré. Elle est allée prendre une douche et le soir venu, alors que tout le monde était couché, je suis allé me laver les dents et je suis tombé sur la panière de linge sale. J’ai eu une montée d’adrénaline en pensant à sa petite culotte. J’ai verrouillé la porte et j’ai soulevé le couvercle. En fouillant un peu, je suis tombé sur sa petite culotte en coton repliée. Je l’ai prise et je suis vite allé dans ma chambre. Je me suis allongé sur le lit et j’ai déplié le précieux tissu. Lorsque je l’ai ouverte, la culotte a dégagé une superbe odeur de transpiration et d’intimité. Il y avait des taches jaunes et blanches au niveau de sa vulve. J’ai plongé mon nez dedans et j’ai respiré à pleines narines, son odeur intime. J’ai une érection fulgurante et je me suis branlé avec le tissu enfoncé dans mes narines. J’ai vite remis en place la culotte et je me suis endormi heureux. La nuit a été agitée, car j’ai beaucoup pensé à l’odeur intime des petites culottes de ma belle sœur. Le lendemain, la journée se déroule normalement, mais je ne pouvais m’empêcher de reluquer ma belle sœur et de me dire que son sexe devait être très bon. Lorsque je suis allé me coucher, j’ai trouvé un petit sachet sous mon oreiller qui contenait une culotte et un mot. « Cher beau frère, je sais que tu as respiré ma culotte de la veille et que tu t’es branlé avec mes odeurs. Accepte ce petit cadeau dans lequel j’ai fait tout ce que j’ai pu pour laisser un maximum d’odeurs et de traces. Pas un mot à ton frère, Sarah. » Je me suis senti mal. Comment l’avait-elle su ? J’ai ouvert le sachet et j’ai découvert une culotte blanche en coton avec des traces de partout et la nouveauté, est qu’il y avait des traces brunes au niveau de son petit trou. Quel bonheur que de respirer les odeurs intimes de ma belle sœur ! Je me suis à nouveau masturbé et j’ai éjaculé une bonne quantité de foutre sur mon ventre. J’étais d’autant plus ravi, que je pouvais garder cette culotte et la respirer à n’importe quel moment de la journée.
Le lendemain matin, j’ai croisé Sarah dans la cuisine et elle m’a demandé si son cadeau m’avait fait plaisir. Je lui ai dit que jamais un cadeau ne m’avait fait autant d’effet. Par politesse, je lui ai dit qu’à mon tour, je lui avais laissé un cadeau dans la panière à linge sale. Elle y a découvert un mouchoir contenant tout le sperme que j’avais expulsé grâce à ses odeurs intimes. Elle m’a avoué garder ce mouchoir sur elle dans la journée. Mais si vous saviez ce qu’il s’est passé le lendemain ! Promis, je vous le raconte dans une prochaine lettre.
Pour accéder à la seconde partie, cliquez ici.