Dimanche matin, ma femme me demande d’aller lui chercher du pain pour son petit déjeuner. Je n’ai pas spécialement envie, car la boulangère est une femme pas très sympathique. À contrecœur, je m’habille en jogging et je me rends à la boulangerie.
Je rentre sans lever la tête et demande une baguette pas trop cuite. Et là, une voix douce me ramène sur terre. Je relève la tête et aperçois une superbe femme d’une trentaine d’années avec, ce qui m’a frappé le plus chez elle, une paire de seins énormes. De plus elle est super mignonne. Je suis confus car je ne me suis pas montré sous mon meilleur jour. On se regarde et on sent tout de suite qu’il y a une attirance entre nous. C’est la première fois que cela m’arrive et je suis troublé. Je n’ai jamais trompé ma femme, mais là, c’est différent. En me rendant la monnaie, elle me dit de prendre une carte, car ce sont les nouveaux propriétaires et qu’ils ont un site internet qu’elle gère toute seule, car son mari n’y comprend rien.
J’ai bien compris son message caché et je me suis empressé de lui écrire un mot en rentrant.
Nous avons échangé par mail toute la semaine et le dimanche venu, j’ai dit à ma femme que j’allais aux champignons et qu’en rentrant je ramènerai du pain. La boulangère avait pris ses dispositions pour être disponible. Nous nous sommes retrouvés dans un petit studio prêt par un ami pour l’occasion. Je me suis jeté sur elle et j’ai ouvert son chemisier pour en sortir deux grosses loches naturelles et laiteuses comme je les aime. Ma femme a de petits seins et même pendant sa grossesse, elle a gardé ses seins de jeunes filles. Alors du coup en voyant les gros seins de la boulangère je ne pouvais que devenir fou. J’ai plongé ma tête dans la poitrine opulente et j’ai replongé en enfance dans la douceur d’une belle poitrine douce. Je les ai léchés et tétés à pleine bouche. Pendant que je m’occupais de sa poitrine généreuse, elle s’occupait de ma bite qu’elle avait sortie de mon pantalon. Elle est descendue pour me faire une belle fellation goulue pendant que je tâtais toutes les parties de son corps auxquelles j’avais accès avec mes mains. Ce corps généreux et pulpeux me faisait bander comme un fou. Je caressais sa grosse chatte velue, mais pas poilue. Elle avait de grosses lèvres et un vagin profond. Mes doigts se frayaient un passage entre les plis de cette femme généreuse et je lui fouillais le vagin lorsque soudain elle a crié de bonheur. Elle venait de jour sous mes doigts. J’étais embêté moi qui voulais lui mettre un bon coup dans la chatte et éventuellement le cul. Elle s’est mise entre mes cuisses et a pris mon sexe entre ses gros seins pour me faire une branlette espagnole en me disant que la pénétration serait pour un autre jour. Rassuré et sur le point de lâcher la purée, j’ai regardé cette boulangère prendre ses seins et les serrer contre la queue afin de la faire disparaitre dans les plis de sa poitrine. Après quelques va-et-vient qui me menèrent au paradis, j’ai expulsé une grosse giclée de foutre chaud qui est allée s’écraser sur le menton de la boulangère habituée à la crème.
Depuis ce jour, nous nous voyons chaque weekend pour assouvir nos fantasmes et vivre notre passion.
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26 novembre 2011
Les seins de la boulangère
Admin bite, branlette, chatte, fantasme, fellation, femme, gros seins, jeune, pénétration, première fois, queue, sexe Confession Intime 0 Commentaire
Dimanche matin, ma femme me demande d’aller lui chercher du pain pour son petit déjeuner. Je n’ai pas spécialement envie, car la boulangère est une femme pas très sympathique. À contrecœur, je m’habille en jogging et je me rends à la boulangerie.
Je rentre sans lever la tête et demande une baguette pas trop cuite. Et là, une voix douce me ramène sur terre. Je relève la tête et aperçois une superbe femme d’une trentaine d’années avec, ce qui m’a frappé le plus chez elle, une paire de seins énormes. De plus elle est super mignonne. Je suis confus car je ne me suis pas montré sous mon meilleur jour. On se regarde et on sent tout de suite qu’il y a une attirance entre nous. C’est la première fois que cela m’arrive et je suis troublé. Je n’ai jamais trompé ma femme, mais là, c’est différent. En me rendant la monnaie, elle me dit de prendre une carte, car ce sont les nouveaux propriétaires et qu’ils ont un site internet qu’elle gère toute seule, car son mari n’y comprend rien.
J’ai bien compris son message caché et je me suis empressé de lui écrire un mot en rentrant.
Nous avons échangé par mail toute la semaine et le dimanche venu, j’ai dit à ma femme que j’allais aux champignons et qu’en rentrant je ramènerai du pain. La boulangère avait pris ses dispositions pour être disponible. Nous nous sommes retrouvés dans un petit studio prêt par un ami pour l’occasion. Je me suis jeté sur elle et j’ai ouvert son chemisier pour en sortir deux grosses loches naturelles et laiteuses comme je les aime. Ma femme a de petits seins et même pendant sa grossesse, elle a gardé ses seins de jeunes filles. Alors du coup en voyant les gros seins de la boulangère je ne pouvais que devenir fou. J’ai plongé ma tête dans la poitrine opulente et j’ai replongé en enfance dans la douceur d’une belle poitrine douce. Je les ai léchés et tétés à pleine bouche. Pendant que je m’occupais de sa poitrine généreuse, elle s’occupait de ma bite qu’elle avait sortie de mon pantalon. Elle est descendue pour me faire une belle fellation goulue pendant que je tâtais toutes les parties de son corps auxquelles j’avais accès avec mes mains. Ce corps généreux et pulpeux me faisait bander comme un fou. Je caressais sa grosse chatte velue, mais pas poilue. Elle avait de grosses lèvres et un vagin profond. Mes doigts se frayaient un passage entre les plis de cette femme généreuse et je lui fouillais le vagin lorsque soudain elle a crié de bonheur. Elle venait de jour sous mes doigts. J’étais embêté moi qui voulais lui mettre un bon coup dans la chatte et éventuellement le cul. Elle s’est mise entre mes cuisses et a pris mon sexe entre ses gros seins pour me faire une branlette espagnole en me disant que la pénétration serait pour un autre jour. Rassuré et sur le point de lâcher la purée, j’ai regardé cette boulangère prendre ses seins et les serrer contre la queue afin de la faire disparaitre dans les plis de sa poitrine. Après quelques va-et-vient qui me menèrent au paradis, j’ai expulsé une grosse giclée de foutre chaud qui est allée s’écraser sur le menton de la boulangère habituée à la crème.
Depuis ce jour, nous nous voyons chaque weekend pour assouvir nos fantasmes et vivre notre passion.