Aujourd’hui, Leila, jeune délinquante marocaine de dix huit ans, est convoquée chez la juge, suite à une altercation avec la gardienne en chef.
C’est Sandrine, jolie juge de vingt cinq ans, qui doit s’occuper de l’interrogatoire.
Les deux femmes se retrouvent dans une pièce isolée, sans caméra.
-Asseyez-vous, Mademoiselle…alors, que c’est-il passé, racontez-moi.
-Ben, la gardienne m’a accusé d’avoir foutu le bordel dans la cour, et m’a menacée.
-D’accord…et de quoi ?
-Elle m’a dit que la prochaine fois, elle me mettrait sa matraque dans le cul.
-A bon…et qu’avez-vous répondu
-Qu’elle fasse attention que ce ne soit pas elle qui la prenne.
-Je vois, répond la juge, et après ?
-Un jour, elle est venu me trouver quand je nettoyer l’infirmerie. Elle m’a cherchée, elle m’a trouvée.
-De toute façon, il y avait des caméras, on va bien voir. Je n’ai pas encore vu le film. Venez-vous asseoir à côté de moi, nous allons le visionner ensemble.
Sandrine met lecture sur sa tablette. On voit Catie, la gardienne en chef apparaitre sur le champ de la caméra. C’est une très belle blonde d’environ trente ans. Elle ôte sa veste, retrousse ses manches. Elle frappe de sa matraque dans ses mains, sous le nez de la prisonnière. C’est quand elle tente de la frapper, que Leila lui saisit le bras, et le repli derrière son dos, mais la gardienne parvient à se dégager.
S’engage alors un combat de tigresses entre les deux femmes, qui roulent au sol, se tire les cheveux. Et même si la gardienne est plus entrainée à ce genre d’attaque, Leila, habituée aux bagarres de quartiers, est beaucoup plus vicieuse. Petit à petit, elle prend le dessus, à tel point, que les habits de la gardienne sont arrachés.
Catie se retrouve, à moitié nue, seins à l’air. Leila s’assoit sur le ventre de la surveillante, la prend à coup de gifles. La gardienne essaie d’éviter les coups, mais ne peux rien contre les attaques répétées de la détenue. Celle-ci va plus loin, saisit le bout des seins de Catie, les vrille entre ses doigts.
-Aie, crie Catie, tu me fais mal…aie…tu vas voir ce que tu vas prendre.
Calmement, Leila passe une main derrière elle, remonte la jupe sur les hanches. Elle écarte la culotte, tire sur la toison blonde de Catie, qui hurle de douleur.
-Ca fait mal quand on se fait tirer la barbichette, hein…à moins que tu préfère ça.
Sur ce, Leila enfonce deux doigts dans la chatte de la gardienne, qui donne des coups de reins pour se libérer. Mais les doigts deviennent de plus en plus vicieux, joue avec le clitoris. Le corps de la gardienne répond aux caresses, la chatte devient humide, le clitoris durcit.
-Hum…arrête, s’il te plait…n’aggraves pas ton cas…laisses moi partir…
Pour toute réponse, Leila fini de la déshabiller. Catie se retrouve entièrement nue entre les mains de la jeune délinquante. Sur l’écran, on voit la jeune marocaine tirer Catie par l’oreille, et l’obligé à s’allonger sur la table de soins. Les jambes écartées, pendent de chaque côté de la table. Leila parcourt le corps ainsi à sa merci. Catie commence à se résoudre, elle sait la jeune marocaine plus forte. Mieux, elle commence à gémir sous les odieuses caresses.
La gardienne se met à crier, mais le local est très bien insonorisé.
La juge ne reste pas insensible à tant d’érotisme, et va même jusqu’à déboutonner le haut de sa chemise. Leila s’en aperçoit.
-Lâches-moi…lâches-moi, laisses-moi partir, implore Catie.
-Tu ne veux qu’on joue toute les deux, dit Leila en lui caressant les seins. Tu vas voir comme je vais te gouiner…j’ai l’habitude tu sais…tu vas aimer salope.
-Non, non, pas ça, pleure la gardienne, je t’en prie.
Trop tard, la main de Leila est déjà entre ses cuisses. Elle ouvre les lèvres intimes, enfoncent deux doigts profondément dans la chatte.
-Oh mon dieu, souffle Catie…arrêtes, ma chatte est toute mouillée maintenant.
-Ca prouve que tu aimes ce que je te fais, hein…dis le que tu aimes… -Oh oui j’aime…doigtes mon petit bouton aussi…oui…comme ça…vas-y…oui…
La gardienne a un orgasme terrible. Elle se tord comme un serpent sur la table de soins, mais n’est pas au bout de ses surprises. Comme promis, Leila saisit la matraque.
-Quel côté tu veux, demande-t-elle…
-Aucun, pleure Catie, laisses moi partir.
-A…ne m’oblige pas à te fesser…écarte tes cuisses.
Deux cinglantes gifles ramènent Catie à la raison. Elle ouvre les jambes. Leila trempe un doigt dans la chatte pleine de mouille, et humidifie le petit trou. Lentement, elle enfonce le côté le plus effilé de la matraque dans le cul de Catie.
-Tu es folle, crie la gardienne, on ne m’a jamais sodomisée…arrêtes…aie…aie… -Calmes toi, sourit Leila…tu vas aimer quand je vais mettre le côté le plus gros dans ta chatte…connasse…
Effectivement, Leila change de trou. Catie est en train de se faire baiser par sa propre matraque Sa respiration s’accélère, les cris de plaisir s’intensifient. Le deuxième orgasme est terrible.
Sandrine sent la chaleur monter au creux de son ventre quand elle voit la matraque pénétrer dans la chatte de la gardienne, qui hurle de douleur, mais de plaisir aussi
-Oui…oui…c’est bon…vas-y, t’arrêtes pas…ah…ah… -T’aimes ça, hein, salope, tu viendras nous rejoindre dans la cellule, mais sans matraque, on a ce qu’il faut. Tu vas voir comme on va jouer avec toi avec ma colocataire.
La juge se lève, ferme la porte à clé. C’est à ce moment que Leila choisi pour la clouer contre la porte.
-Non, fait-elle, ne me frappez pas…
-Tu préfère la seconde partie peut être…celle ou je gouine la gardienne…c’est ça que tu veux…ça t’excite…
Sandrine ne se défend pas, quand la main de Leila ouvre sa chemise, exhibant des seins magnifiques. Elle ne se défend pas non plus, quand la jeune marocaine lui ôte le reste de ses vêtements. La juge se retrouve entièrement nue. Elle ne résiste pas quand Leila la force à s’allonger sur le bureau. Soumise, la juge écarte les jambes.
-Ca t’excite salope…tu as vu ce que j’ai fais à la surveillante. Tu veux le même tarif. Tu veux que je m’amuse avec ta petite chatte…Tu sais, c’est nôtre quotidien en prison, on à pas de mâles ici, alors, on se gouine. Si on refuse, on risque de prendre une rouste. Tu ne voudrais pas que je te mette une fessée, -Non…allez-y…j’ai envie de connaitre ça…ma chatte est déjà toute mouillée, oh oui…doigtez le clito, lui aussi a envie de connaitre autre chose…
Leila enfonce son visage entre les jambes ouvertes de Sandrine. Les lèvres aspirent le clitoris, la langue pointue, pénètre la chatte. Sandrine n’en fini pas de jouir, hurle de plaisir. Leila lui tire la tête dans le vide, hors de la table.
-Vas-y salope, dit elle, moi aussi j’y ai droit…bouffes moi la chatte…fais moi jouir.
Les deux femmes atteignent l’orgasme en même temps, dans un seul cri. Leila se penche, et donne un baiser à Sandrine, la laisse toute pantelante. Elle lui donne une tape amicale sur la fesse, puis rejoint sa cellule en souriant.
Deux jours plus tard, Sandrine reçoit Leila dans son bureau, pour lui signifier que, non seulement, elle ne sera pas poursuivie, mais qu’elle sera libérée sous huit jours. Leila a un petit sourire ironique.
-Merci dit-elle. Vous pouvez vous lever ? Demande Leila.
-Heu oui, bafouille Sandrine…mais pourquoi ça ?
-Soulevez vôtre jupe.
Sandrine, hypnotisée par la jeune détenue, obtempère.
-J’étais sure que vous ne portiez pas de culotte, et que vous auriez rasé vôtre chatte. Comme je vous l’ai ordonné. Ca vous a plu la dernière fois. Je sors dans huit jours, on peut se revoir si vous le souhaitez.
Sandrine baisse les yeux, lui tend sa carte de visite.
-Tenez mon adresse, dit la juge.
-Merci, répond la jeune marocaine. Je sens qu’on va bien s’amuser toute les deux.
Leila fait le tour du bureau, saisit Sandrine par les cheveux, et lui donne un baiser
-A plus ma chérie.
Ludovic
9 juillet 2017 @ 10 h 08 min
J ai aimai hâte à en lire d autre .
Nouhoum
19 octobre 2017 @ 0 h 20 min
cette histoire montre que dans les prisons pour femmes, les matraques sont de puissants godes à faire jouir prisonniéres et gardiennes en toute complicité.
lepirate
30 novembre 2017 @ 2 h 36 min
je kiff
Laurent
7 mai 2018 @ 11 h 39 min
Trop bon merci à vous
kevine
21 mars 2019 @ 1 h 38 min
Bonsoir
Cela me rappel, effectivement les relations sexuelles consenties en incarcération.
Moi-même, j’écartais les jambes pour me faire sodomiser par un détenu dominant, il est véritable que nécessairement cela devient une addiction, depuis ma compagne me sodomise.
Les femmes détenues se gouines cela reste tabou.