Merci à notre lecteur pour ce texte  :

Alors que depuis quelques jours je « flirtais » pour la première fois avec un autre homme que mon mari, je me sentais pousser des ailes, et une fois le service fini, encore plus je « trainais » un peu plus au restaurant avec mon Directeur. La quarantaine passée, je suis son adjointe et lui, jeune célibataire de 29 ans, me charmait, séduisait en toutes occasions. Bien sur tout notre entourage ne pouvait se douter de nos frasques, des plus discrets on était.

Ce samedi-là, invité par Samuel mon directeur, je mentais à mon mari et l’informais que je rentrerais plus tard, car, on allait tous boire un verre, dans la nouvelle maison d’une collègue… A aucun moment, mon mari ne laissait voir le moindre signe d’incompréhension, jalousie. Par chance, ce soir-là, il faisait très chaud, et de plus très tôt on fermait le restaurant et vers les 1h du matin, dans le nouveau cabriolet de Samuel je montais, et quittions le centre ville. Entre accélérations et décélérations, sur les routes de campagne désertes, j’étais aux anges.  D’ailleurs en toute insouciance, on ôtait nos ceintures, pour être encore plus proche l’un de l’autre, et dés qu’il le pouvait, Samuel n’hésitait pas à m’effleurer, sur ma robe légèrement déboutonnée.

Penchée sur le côté vers Samuel, tout en le caressant, couvrant de baisers, alors qu’à très faible allure il roulait, il me proposait de trouver un coin tranquille…

–              Est-ce bien raisonnable… ?

A quelques pas de la route, dans un chemin caillouteux,  nous étions « cachés » par de hauts maïs, et bercés par la musique, intensément, ardemment, dans l’auto, entamions des ébats des plus sulfureux… Une à une les pressions de ma robe (tenue de travail), sautaient et lui offrais une particularité, mise en toute discrétion au vestiaire, avant de partir… : il découvrait ébahi mais enthousiasmé, mon  soutien-gorge rouge demi-sein en dentelle…., et bien plus bas, mon minuscule string assorti…, sous ma robe entièrement ouverte !

Là il ne pouvait que voire, mon intence excitation qui m’envahissait, tout en gémissant, halant  sous ces caresses, et baisers. Oubliant tout et tous, sans me soucier de rien, je me donnais, offrais sans retenues.  Entre deux secondes de lucidité, de confidences des plus intimes-mêmes, on échangeait, et même je lui confessais quelques secrets des plus intimes !

Son sexe sorti de son pantalon, gloutonnement je le caressais, suçais, et c’est là qu’il me proposait « un jeu », auquel j’adhérais sans réserve.  Je quittais l’auto…,  me positionnais devant celle-ci, et s’amusant à m’éclairer et à éteindre les phares de l’auto, je « m’exhibais » ainsi face à lui, qui semblait s’en régaler, tout en se caressant !!!! Des plus « docile » j’étais et à chaque injonction, je m’exécutais sans rechigner. M’approchant de son auto, à sa demande je « jetais » dans l’auto mon string, et tout en le caressant, je laissais mon amant me doigter, fouiller, me devinant perler abondamment.  Il me redressait,  prenait un préservatif, et à l’extérieur de l’auto, contre un arbre, contre et sur l’auto, n’ayant sur moi maintenant que mon soutien gorge et mes sandales d’été, un peu hautes, follement, violemment, on s’aimait… Au point de non retour j’étais et presque fortement je lui criais, de me prendre encore et encore…, que c’étais bon…, que j’aimais…, que je me fichais d’être éventuellement vue, surprise ! avec un savant mélange de mots doux et crus à la fois, il m’envoyait au septième ciel, et Samuel, agréablement surpris il était me voyant secouée par tant de spasmes de plaisirs. Rien ni personne n’aurait pu me stopper tant le plaisir était merveilleux.  Le préservatif ôté, je me régalais à déguster les dernières gouttes de sa semence, et très rapidement il reprenait vigueur, et avec un autre, presque sans me laissé reprendre mes esprits, avec peu de tendresse dans nos ébats, qui au passage, m’excitait beaucoup, d’une manière des plus vulgaire, obscène, mes fesses le passionnait… La suite certainement une autre fois…..