Je m appelle lolita, j’ai 25 ans, pilote de rallye et je suis originaire de la Guadeloupe. Voici mon histoire :

Au cours d’une compétition de rallye dans le désert où les participants étaient venu d’horizon divers j’ai fais la rencontre d’Angelo. Quelques minutes plus tôt je commentais la dernière course avec mon co-équipier lorsque j’ai entendu une voix qui m’a interpellé ; c’était un membre de l’équipe adverse qui manifestait un certain mécontentement pour je ne sais quelle raison et de toute évidence, il s’adressait à son coach .Je me suis aperçu qu’il était grand, cheveux châtain clair, avait les yeux verts et un fort accent espagnol.

A la fin de la journée, chacun a regagné les loges. De mon coté j’ai profité du calme de la nuit pour changer la roue avant de mon véhicule qui a failli me causer un problème lors de la dernière course. J’avais besoin d’une clé a molette que je ne retrouvais plus dans ma boite a outils.

Soudain j’ai aperçu de la lumière dans une tente non loin de la mienne et me suis donc dirigée vers dans le but de demander de l’aide. Une fois sur les lieux, j ai appelé voir si quelqu’un s’y trouvait et une voix m’a invité à y entrer. J’ai reconnu le beau châtain aux yeux vert que j avais entendu se plaindre ce matin. Bonsoir ! Me disait-il je m’appelle Angelo et que puis je faire pour vous ? Moi c est lolita lui ai-je répondu, je suis de la compétition et je voudrais savoir si tu as une clé a molette à me prêter pour que je puisse changer la roue avant de ma voiture ?ai –je réussi à dire visiblement troublée par le spectacle qui s’offrait a moi .il était torse nu.je contemplais sa poitrine et ses larges épaules. Il était encore mieux bâti que je ne l avais cru. Ses muscles nettement définis enveloppaient sa charpente bien plus solidement que ceux des hommes que j’avais vu nus. Il m’a demandé de l attendre un moment le temps de vérifier dans sa boite à outils et quelques minutes plus tard, il est réapparu avec la clé et me proposait de me donner un coup de main. J’ai accepté automatiquement car il faut reconnaître que j étais assez fatiguée.

Une fois sur les lieux, il n’a pris que quelques minutes pour me changer ma roue. Il avait les doigts longs et fins et était assez doué!pensais-je ! Je commençais déjà à fantasmer sur lui et me demandais s’il était aussi doué pour d’autres choses. Il n’avait toujours rien porté et j’avais donc très envie de lui toucher le torse si musclé ! Il s’est rendu compte de mon malaise et m’a proposé de venir prendre un thé marocain sous sa tente. J’ai accepté sans qu’il ait insisté et une fois sous la tente je ne lui résistais toujours pas.je me suis rapprochée de lui pendant
qu’il préparait le thé et je lui ai caressé le torse ;j ai continué jusqu’à ce qu’il reposait la tasse de café qu’il avait en main et commençait à jouer a mon jeu. Il passait un bras autour de ma nuque et m’embrassait lentement, se contentant d’effleurer légèrement mes lèvres avant de faire courir la pointe de sa langue sur ma lèvre inférieure.

Angelo m’a prit par la taille. Sans réfléchir, je l’enjambais, et pressais mon entrejambe contre lui. Son sexe était dur et il se frottait à moi. Notre baiser s’intensifiait et je me sentais soudain submergée par le désir. Angelo passait la main dans mes cheveux pour serrer son visage contre le mien comme s’il avait voulu me dévorer. La puissance de son bras autour de ma taille était enivrante, la force du désir qui émanait de son corps viril, si grand par rapport au mien, me faisait me sentir délicieusement petite et désirable. Bientôt, je ne portais rien d autres
que mon string car on s’est déshabillé avec fougue. Son regard allait de mes mamelons à ce dernier pan de tissu, sans parvenir à me l’enlever. Le string était garni d’un petit ruban, et Angelo réalisait qu’il s’ouvrait au niveau de l’entrejambe. Il suffisait de tirer sur le ruban pour qu’il s’ouvre complètement. J’effleurais le string de ma main et il retint son souffle, prêt à la révélation finale. J’ai défais le nœud. Angelo présentait une splendide érection, et ma chatte était devenue l’objet de ses désirs.

Il suçait mes tétons tel un nouveau-né et me caressait en même temps le clitoris afin de me préparer à recevoir son dard bien dressé. Je gémissais de plaisir et lui aussi. Il était bien raide et je le sentais contre ma jambe. J’haletais à présent, et mon excitation ranimait la sienne. Il appuyait doucement la main sur mon mont de Vénus, maintenant le bout des doigts entraient en contact avec la moiteur de mon sexe et mes hanches répondaient aussitôt. Un petit bruit étranglé remontait le long de ma gorge. Je sentais qu’il écartait doucement mes jambes et j’ai obéis à cet ordre silencieux.

Un courant d’air frais passait sur son sexe offert et, gênée, je fermais les paupières et blottissais mon visage au creux de son bras. Les mains d’Angelo se posait sur mes hanches et je sentais l’extrémité de son sexe aller et venir le long de ma fente, de plus en plus moite. Il a fait glisser son sexe entre mes lèvres humides sans me pénétrer, jusqu’à ce que je sois prête à le recevoir. Un gémissement remontait dans ma gorge quand il réglait chacune de ses poussées de sorte que l’extrémité de son sexe effleurait mon clitoris. Je basculais les reins en arrière et accordais mon rythme au sien. Angelo a remonté sa paume pour me caresser les seins. Il reculait, plaçait un gros oreiller et m’allongeait dessus, sur le dos. Il écartait mes cuisses et je sentais qu’il me pénétrait lentement, me possédant par poussées progressives. Il s’y appliquait sans prononcer un mot. Lorsqu’il me pénétrait enfin jusqu’à la garde, prenant appui sur ses bras tendus, J’enroulais instinctivement mes jambes autour de sa taille et appuyais la plante de mes pieds l’une contre l’autre pour lui permettre de me pénétrer plus profondément.

Angelo murmurait mon prénom tout en me besognant tel un torero en plein rodéo ! ; L’angle de son corps permettait à l’extrémité de son sexe de caresser mon point sensible à chaque coup de butoir. Un miaulement jaillissait de ma gorge. Je cherchais vainement à être en synchro avec lui. Je ne pouvais rien faire de plus que m’agripper. Il me dominait de toute sa puissance. Pour la première fois de ma vie, un orgasme lié à la seule pénétration montait en moi. Mes ongles s’enfonçaient dans sa peau et mon corps se tendait pour recevoir le plaisir.

Mes muscles internes se contractaient autour du sexe d’Angelo, comme pour le retenir. Il était au même niveau que moi et on se laissait donc aller au plaisir ! Je pouvais sentir le jet de sa jouissance entre mes reins. Nous sommes restés un moment allongé l’un contre l autre avant de nous séparer un peu plus tard. Je regagnais ma tente en repensant à ce qui venait de se passer entre le bel espagnol et moi !