Je suis en rase campagne quand je tombe en panne. Pas de réseau et personne sur cette route. Je me dirige vers une maison forestière. Ce n’est pas une maison mais une scierie qui a l’air d’être toujours en activité. Je frotte les fenêtres recouvertes de poussières de bois et vois un homme qui travaille. Je frappe mais le bruit des machines l’empêche de m’entendre. Je trouve l’entrée et me permet d’accéder à l’intérieur. Même pas surpris de me voir, cet homme digne des bûcherons canadiens me scrute et me demande ce qui m’amène. Je lui explique mon désarroi et que j’aimerai téléphoner. Il me montre le combiné et se remet au travail. Bon, je préviens mon assurance, le dépanneur est débordé, il arrivera dans 2 heures environ. Je le remercie de son accueil et lui dis que je vais prendre congé.

Il m’offre l’hospitalité et me dit que je suis à son goût. Il vient contre moi et m’embrasse dans le cou. Sans savoir ce qu’il me prend, je me retourne et l’embrasse langoureusement sur la bouche. Il se débarrasse de ses vêtements avec une facilité déconcertante et me retire ma robe. Déjà ses mains se posent sur ma poitrine. Je ne sais pas pourquoi, pourtant je ne suis pas ce qu’on appelle une fille facile, mais j’ai très envie de lui. Je pose ma main sur son sexe et le masturbe. De son côté, il passe mes seins au-dessus de mon soutien gorge et me lèche les tétons. Je descends ma tête et le prends en bouche. D’abord quelques mouvements lents sur son gland puis attrapant la base de son sexe,  de plus en vite je le masturbe avec ma main. Je joue en lui appliquant sa verge turgescente contre ma joue. Après que je lui ai rendu son pieu dur comme du bois, il m’applique le dos sur son bureau et me mange la vulve pendant que je me stimule le capuchon clitoridien. Je lui caresse la tête et me fais un stimulus sur ma poitrine. J’enlève mon soutien gorge qui est gênant, et  lui, place ses grosses mains rugueuses et me masse les seins. Il s’assoit à ma place et je guide sa bite vers ma chapelle ardente, je suis à califourchon sur lui mais je lui fais dos.

Sa saucisse est grosse et me ramone en profondeur, mon clito n’est pas délaissé car il y veille ainsi qu’à un de mes seins. Il me soulève en mettant ses mains sous mes fesses, j’ai l’impression de rien peser tant il le fait sans forcer, c’est une force de la nature. Après un laps de temps d’écoulé, je prends la conduite des choses. Je pose mes deux pieds sur ses cuisses et assure la cadence ainsi que la profondeur de pénétration. Je mets mes bras en arrière et me pose sur son buste. Ma poitrine valse et virevolte. Il me tire en arrière jusqu’à ce que mon dos colle son torse. Dans cette position, je relève mes jambes et les resserre. Lui masse mes tétons, mes cris se font entendre dans ce bureau qui résonne. Je lui lâche un « prends-moi fort ! ». Il me porte sur son bureau et me prend en levrette. Nom du bille en bois mais son phallus grandit encore, il me pourfend littéralement. Mon sexe tente avec  bien du mal de contenir le sien. Je pense n’avoir jamais été autant ouverte. Il me dit que je suis une coquine et qu’il va m’en donner encore plus.

Sur l’instant, je ne comprends pas ce qu’il a voulu dire. Il se retire alors que j’allais jouir et pousse son chibre sur mon petit trou. Ce n’est pas possible, il va me déchirer ! Je lui dis : « Non pas là ! » et il me répond : « Quand on commence, on finit ! » et entre son gland dans mon orifice anal. Je cris de douleur et l’insulte mais il continue et là, chose formidable, une jouissance m’envahit et mes hurlements de douleur de départ se transforment en hurlements de coït anal. Je jouis de tout mon corps. Plus il y va et plus j’en redemande. Dix minutes d’intense sodomie et il se retire. Je suis vannée. Il met sa bite à côté de mon visage et il me dit de lui tailler une pipe. Devant tout le bonheur qu’il m’a donné, je ne peux lui refuser. Je le pompe au maximum en jouant avec ma langue un peu partout sur son service trois pièces. Le bourru ne se laisse pas faire et après un combat de dix bonnes minutes, il finit par éjaculer son liquide dans ma bouche. J’avale le tout et nous nous rhabillons. Nous prenons le café et il me reconduit à ma voiture. Maintenant quand je prends cette route, je passe toujours lui faire un petit coucou et je lui réclame ma sodomie !