Les personnes qui me connaissent me trouvent perverse ! C’est vrai que j’ai d’étranges aspirations au niveau sexuel. Je suis toujours attirée par des personnes plus âgées ou des méchants garçons. Le dernier en date est les deux à la fois. Il sort de prison pour la quinzième fois de sa vie. Cet homme est un dur en tous points car il l’a aussi dur dans son pantalon ! Son fantasme est que je me déguise en nonne. Pour un homme à l’âme tordue, ça lui permet de rentrer dans les ordres ! Je vous raconte notre première rencontre.
Je flâne dans un quartier tout ce qu’il y a de plus tranquille mais où se trouve une prison. Un homme d’une cinquantaine d’années m’aborde en me demandant si j’ai du feu. Je le trouve plutôt sexy et il veut partir mais je le retiens un moment. De fil en aiguille, il m’invite à boire un coup au café non loin de là. Gentleman, il me tient la porte, il tire ma chaise pour m’aider à m’assoir. C’est là qu’il m’avoue d’où il vient. Croyant que j’allais partir en courant, il fut surpris que je reste à côté de lui. Ses délits n’étaient pas si importants que je le craignais et il m’avoua qu’il a une forte envi de faire l’amour. Du tac au tac et d’un geste étrange, je lui offre ma culotte. Il la respira et s’approche de moi. Nous nous déplaçons sur la banquette voisine où la pénombre des lieux et la table avec la nappe, nous servent de cache vue. J’ai bientôt sa main robuste qui me caresse le sexe.
C’est un homme très habile, il me doigte et s’arrête à chaque fois à la limite de ma jouissance. Je cherche quelque chose dans mon sac afin de lui faire la surprise de lui montrer mon sexe qui est largement ouvert. La surprise, c’est moi qui l’ait eu ! Il en profite pour me glisser deux doigts dans le rectum. Je pense crier mais je réussis à me contenir. Je me relève et lui dis qu’il est rapide. Sans se démonter, il me demande de m’occuper de lui. Je défais alors sa fermeture éclair de son pantalon ainsi que son bouton et ma main glisse dans son caleçon. Son sexe a une taille des plus honorables en longueur mais en largeur, je suis surprise, un vrai pavé ! Son gland est largement découvert et il lubrifie un maximum. Il désire que je lui fasse une fellation mais ma tête cogne dans la table. Nous ajustons nos habits et sortons. Nous n’en pouvons plus. Nous marchons quelques pas. Au bout d’un petit moment qu’il semble des heures car la nuit commence à tomber, nous trouvons un parc désert.
Après avoir inspecté les lieux, ce n’est pas que je ne veux pas qu’on nous regarde mais j’ai peur qu’il y ait des enfants. Personne en vue. Je lui sors son engin. Je lui caresse les couilles de quelques coups de langue et prends son engin en bouche. J’ai du mal à tout rentrer. Sa lubrification a bon goût et facilite la pénétration. Je le sens jusqu’à ma gorge. Après dix minutes de pompage sévère, il se laisse aller dans ma bouche. Il y a de quoi faire, il m’avoue que ça faisait un mois qu’il ne s’était pas masturbé. Je compris mieux son éjaculation un peu trop rapide à mon goût. Je reste un peu sur ma fin. Il se rattrapa quelques jours plus tard où il m’a satisfaite pleinement. Mais ça, je vous le raconterai une autre fois !
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7 avril 2012
Perverse
Admin culotte, fantasme, fellation, pénétration, sexe, voisin, voisine Confession Intime 0 Commentaire
Les personnes qui me connaissent me trouvent perverse ! C’est vrai que j’ai d’étranges aspirations au niveau sexuel. Je suis toujours attirée par des personnes plus âgées ou des méchants garçons. Le dernier en date est les deux à la fois. Il sort de prison pour la quinzième fois de sa vie. Cet homme est un dur en tous points car il l’a aussi dur dans son pantalon ! Son fantasme est que je me déguise en nonne. Pour un homme à l’âme tordue, ça lui permet de rentrer dans les ordres ! Je vous raconte notre première rencontre.
Je flâne dans un quartier tout ce qu’il y a de plus tranquille mais où se trouve une prison. Un homme d’une cinquantaine d’années m’aborde en me demandant si j’ai du feu. Je le trouve plutôt sexy et il veut partir mais je le retiens un moment. De fil en aiguille, il m’invite à boire un coup au café non loin de là. Gentleman, il me tient la porte, il tire ma chaise pour m’aider à m’assoir. C’est là qu’il m’avoue d’où il vient. Croyant que j’allais partir en courant, il fut surpris que je reste à côté de lui. Ses délits n’étaient pas si importants que je le craignais et il m’avoua qu’il a une forte envi de faire l’amour. Du tac au tac et d’un geste étrange, je lui offre ma culotte. Il la respira et s’approche de moi. Nous nous déplaçons sur la banquette voisine où la pénombre des lieux et la table avec la nappe, nous servent de cache vue. J’ai bientôt sa main robuste qui me caresse le sexe.
C’est un homme très habile, il me doigte et s’arrête à chaque fois à la limite de ma jouissance. Je cherche quelque chose dans mon sac afin de lui faire la surprise de lui montrer mon sexe qui est largement ouvert. La surprise, c’est moi qui l’ait eu ! Il en profite pour me glisser deux doigts dans le rectum. Je pense crier mais je réussis à me contenir. Je me relève et lui dis qu’il est rapide. Sans se démonter, il me demande de m’occuper de lui. Je défais alors sa fermeture éclair de son pantalon ainsi que son bouton et ma main glisse dans son caleçon. Son sexe a une taille des plus honorables en longueur mais en largeur, je suis surprise, un vrai pavé ! Son gland est largement découvert et il lubrifie un maximum. Il désire que je lui fasse une fellation mais ma tête cogne dans la table. Nous ajustons nos habits et sortons. Nous n’en pouvons plus. Nous marchons quelques pas. Au bout d’un petit moment qu’il semble des heures car la nuit commence à tomber, nous trouvons un parc désert.
Après avoir inspecté les lieux, ce n’est pas que je ne veux pas qu’on nous regarde mais j’ai peur qu’il y ait des enfants. Personne en vue. Je lui sors son engin. Je lui caresse les couilles de quelques coups de langue et prends son engin en bouche. J’ai du mal à tout rentrer. Sa lubrification a bon goût et facilite la pénétration. Je le sens jusqu’à ma gorge. Après dix minutes de pompage sévère, il se laisse aller dans ma bouche. Il y a de quoi faire, il m’avoue que ça faisait un mois qu’il ne s’était pas masturbé. Je compris mieux son éjaculation un peu trop rapide à mon goût. Je reste un peu sur ma fin. Il se rattrapa quelques jours plus tard où il m’a satisfaite pleinement. Mais ça, je vous le raconterai une autre fois !