J’ai  30 ans mais l’histoire que je vais vous raconter, date d’un plus d’une dizaine d’année. Je vous la raconte au présent pour qu’elle soit plus vivante. Je sors avec un garçon nommé Luc. Notre amour est platonique alors que j’aimerai passer à autre chose de plus physique. Nous passons beaucoup de temps chez lui dans sa chambre où il ne se passe rien d’autres que des baisers enflammés.  Je surprends souvent le regard de son frère qui se pose sur mes seins ou sur mon petit cul. Il ressemble à Mel Gibson et je craque carrément sur lui mais ne voulant pas faire de vague dans leur famille, je n’ai jamais osé me déclarer à lui.

De plus, il fait de la musculation et il est toujours bronzé avec ses yeux clairs, c’est un top ce gars. Plus d’une fois, j’ai fantasmé sur lui, surtout après m’être bien fait exciter par son frère qui me laisse toujours sur ma faim. Alors qu’il m’avait peloté les seins, j’ai vu son frère passait près de la chambre et j’aurai aimé l’attraper pour qu’il s’occupe de moi. Un jour alors que j’arrive chez lui en avance, c’est son frère qui ouvre la porte et me prie d’entrer. Il m’informe que la voiture de sa mère est en panne et que Luc arrivera que dans deux ou trois heures à la maison. Je viens de faire quatre kilomètres à pied et j’ai menti à mes parents pour avoir la paix, je leur ai dit que j’allai au cinéma donc je ne peux pas rentrer chez moi. Il me dit que je peux rester et que je le gène d’aucune façon. Je lui demande ce qu’il était en train de faire et il me répond qu’il faisait de la musculation dans son sous-sol. Il me demande si je veux descendre avec lui car il met de la musique et on peut parler en même temps qu’il fait ses exercices. J’accepte et descends avec lui. Je choisis la musique et lui se met sur ses instruments de torture. Je vais passer au moins deux heures avec lui, quel pied ! Je tentais de capter son intention croisant mes bras sous mes seins afin de les remonter.

Ses yeux fixés ma poitrine, ma technique marche comme je le voulais. Il se met alors torse nu et continue ses mouvements. Je vois que son short moulant fait une drôle de bosse. J’apprécie le spectacle qu’il  m’offre.  Je fais semblant de faire tomber un cd et je me penche bien avant, car je suis en mini jupe, ce qui lui offre une superbe vue sur mes fesses et sur ma vulve même si ceux-ci sont encore dans l’écrin de tissu qui commence à être mouillé. Il vient alors vers moi, me saisit par les hanches et m’embrasse. Je pense alors : « Enfin ! ». Il me présente ses excuses et retourne à ses exercices, rouge de honte. Il se met sur le dos et commence à vouloir soulever sa fonte. Je me positionne au niveau de son sexe et je lui dis : « Je m’en fous de tes excuses maintenant il faut que tu assumes ! » Il me regarde avec des grands yeux, je quitte alors ma position, lui baisse son short et son caleçon et commence à le masturber. Il enleva alors ma culotte et me caressa la chapelle ardente. « Tu es déjà bien humide » me dit-il sur ce je réponds du tac au tac : « Et toi, tu bandes déjà comme un taureau ! » Je commence alors à le sucer pendant que lui joue avec mon clitoris. Nos petits cris viennent presque en même temps. Pour être sûr de goûter au sexe aujourd’hui, je m’empale sur lui dans un grand râle de bien être. C’est bon de sentir son chibre me remplir jusqu’au plus profond de moi-même.

Il enlève alors mon haut et titille mes tétons. Son érection ne faiblit pas et je gère la cadence comme je peux au départ et après assez facilement tout de même.  Je sens la jouissance qui monte en moi. Il me demande de changer de position et me place à quatre pattes sur son banc. Il glisse son chibre dans mon antre, c’est toujours aussi bon. Mes seins ballotent dans tous les sens. Je me chatouille le clitoris en passant ma main par l’intérieur de mes cuisses. Il me fait lécher un de ses doigts et me l’enfonce dans le petit trou. J’apprécie mais lui refuse l’accès avec son pénis. Il se débrouille tellement bien que je jouis en ne maitrisant plus ma tête qui fait des va et vient de l’arrière en avant. Il me retourne alors et m’envoie tout son sperme dans la bouche. Le goût ne me parait pas désagréable et je l’avale. C’était ma première fois et Luc n’en a jamais rien su.