Audrey, sort de sa chambre, vêtue d’une jupe courte, et d’un petit pull. Elle se rend à la cuisine, pour mettre son gigot en route. Soudain, on sonne à la porte.
C’est Hervé, son beau frère, qui actuellement, est en conflit avec son frère Alain, suite à une dispute lors d’un repas de familial.
-Bonjour, dit froidement Audrey, t’as osé venir, et si Alain était là.
-Oh ça va, mon frère fait toujours la gueule, Et toi, ça n’a pas l’air d’aller.
-Vous allez rester longtemps sans vous parlez tous les deux.
-Ben je ne sais pas, il est tellement buté. Il faudrait que tu lui parles.
Audrey se baisse légèrement pour contrôler le four. En se penchant, elle dévoile une partie de son intimité, d’autant, qu’elle ne porte pas de culotte.
Hervé reste scotché en voyant le spectacle. L’envie est trop forte. Il envoie la main, caresse furtivement la chatte de sa belle sœur.
-Oh, ça va pas, sursaute Audrey, mets moi un doigt pendant que tu y es.
-Désolé, répond Hervé, excuse moi…pour en revenir à mon frère…
-Ben, il est remonté contre toi, poursuit Audrey. Pourquoi avoir fait allusion que je te courrai après, d’autant que tu sais que c’est faux, j’aime Alain, plus que tout.
-Quel con, je suis son frère quand même, je ne lui ferai jamais un coup pareil.
-Peut-être, mais il faut faire quelque chose, il faut vraiment que tu lui parles.
Audrey, se penche une nouvelle fois pour arroser son gigot. Hervé est attiré par la fente bien dégagée de sa belle sœur. Cette fois, il l’attire à lui, et l’assoit sur ses genoux. Audrey se débat violemment, et se lève.
-Mais, ça ne va pas, enfin…qu’est- ce- qu’il te prend, tu trouve qu’il n’y a pas assez de problèmes comme ça. Tu dis que tu es désolé, que tu feras jamais un sale coup à ton frère, et la, tu veux quoi ?
-Ben toi, dit Hervé en la rattrapant, personne n’en saura rien, allez, laisse moi gratter ta petite chatte.
-Assez…assez, non, hors de question, le repousse Audrey, c’est ton frère, c’est mon mari, et je l’aime. Je ne veux pas d’histoires.
-C’est ton mari, je sais, poursuit Hervé, mais t’es sure…t’as pas envie d’un câlin.
-Oui, oui, certaine, n’insiste pas, d’ailleurs, tu devrais partir.
-Toi aussi tu m’en veux, moi qui comptais sur toi pour arranger le truc.
-N’insiste pas, je ne peux pas, voila. Il va croire qu’il y a quelque chose entre nous.
Hervé prend sa belle sœur par un bras, et la force à s’asseoir sur ses genoux.
Audrey se retrouve à demi couchée sur les cuisses de son beau frère, jambes écartées. Elle se débat, essaie de se relever, mais elle n’a pas la force d’un homme. Dans l’action, la jupe remonte sur les hanches, découvrant la chatte parfaitement épilée. Lentement, un doigt caresse la fente, ouvre les lèvres intimes.
-Arrêtes, salaud, tu fais tout pour que quelqu’un nous voit, dit-elle, tu es fou, rends toi compte, si ça arrive aux oreilles d’Alain…s’il te plait…assez, ma chatte va être toute mouillée…oh mon dieu…
-Chut, calme toi, sourit Hervé, t’aimes pas, t’as pas envie qu’on joue tous les deux ?
C’est maintenant deux doigts qui ont pris possession des lieux, tandis que le pouce doigte le clitoris, en parti sorti de sa capuche.
Non seulement Audrey se soumet à la caresse, mais l’apprécie. Il n’y a qu’à voir comment elle ondule du bassin sur les doigts qui la fouille, et les gémissements, non simulés, qui montent en intensité.
Hervé se contorsionne pour extraire sa queue de son bermuda. Elle est déjà en érection. Audrey sent le sexe dur de son beau frère entre ses cuisses. Malgré sa fidélité sans faille, le désir monte en elle, prend le dessus. Elle passe une main entre ses cuisses, saisit l’énorme bite. Elle fait glisser le prépuce, décalotte le gland qu’elle frotte contre son clitoris, puis le place à l’entrée de sa chatte.
Hervé est stupéfait. Il sent sa belle sœur succomber à ses avances.
-Je sens que je fais faire une grosse bêtise, dit-elle, tans pis, vas-y…baises moi.
D’une simple pression, la bite d’Hervé pénètre la chatte humide d’Audrey. Celle-ci se cambre sur l’énorme pieu, jette sa tête en arrière, en gémissant de plaisir.
-Hum…hum…salaud, c’est bon, gémit cette dernière…arrêtes, j’ai envie de te sucer.
Audrey se libère de sa position inconfortable, et se met à genoux devant son beau frère. Elle saisit la queue, la prend en bouche, et entame de lent va et vient.
Hervé sort le ventre au maximum, pour offrir sa bite tendue, à la bouche gourmande de sa belle sœur.
-Oh putain, quelle est belle, quelle est bonne, arrive-t- elle à dire la bouche pleine.
-Ouah…t’aimes salope…tu suces ton mari comme ça ?
-Non, je ne l’ai jamais sucé…mais s’il te plait, j’ai envie de ta queue maintenant…
-Et ton gigot ma chérie, ironise Hervé.
-J’en ai rien à foutre de mon gigot, souffle Audrey, ma chatte passe avant, c’est bien plus important…elle a besoin d’être calmée…baises la…
D’un geste brusque, Hervé débarrasse la table, y allonge sa belle sœur, lui ouvre les jambes. Il lui soulève les fesses pour avoir sa chatte à porte de sa bouche. Il commence à la lécher goulument, la pénètre de sa langue, aspire le clitoris.
Audrey glousse de plaisir.
-Qu’est- ce- qu’il dirait ton mari s’il savait que son frère bouffe la chatte de sa femme.
-Il dirait que suis une grosse salope, souffle Audrey, que je suis une chienne.
-Et il aurait raison, hein ? Allez, tournes toi que je te le mette bien profond.
Audrey se penche en avant, monte une jambe sur la table pour mieux s’offrir à son beau frère. Hervé s’avance, la bite bien bandée, taquine la chatte, le petit trou.
-Lequel, demande-t-il.
-Salaud, ne me fais pas râler, murmure-t-elle. Prends-moi la chatte d’abord, tu me prendras au petit après…tu seras le premier.
Hervé s’exécute, enfonce sa queue dans l’antre chaux de sa belle sœur, qui ne peut retenir un râle de plaisir. Du reste, cette dernière ne tarde pas à atteindre l’orgasme.
-Oh oui…salaud, tu me fais jouir…
-C’est bon de baiser la femme de son frère…et toi, t’aimes pas ma queue ? Avoue.
-Oh si que je l’aime, elle est bien dure, bien grosse…tout pour satisfaire une femme.
Hervé sent que c’est le moment, qu’il peut faire ce qu’il veut à sa belle sœur. Il se retire, place son gland contre le petit trou, et le déflore d’une simple pression.
-Ah…c’est bon ma bite dans le cul de la femme de mon frère.
-Aie…ça fait mal, mais tant pis, il fallait que se soit une grosse bite qui me trou le cul, autant que ce soit la tienne, t’es tellement bien monté.
-Je vais jouir, hurle Hervé, oh la salope…
-Attends, jouis dans ma bouche…je veux gouter ton sperme, l’avaler.
Hervé se vide copieusement les couilles dans la bouche de sa belle sœur, qui prend un réel plaisir à tout avaler, et à nettoyer le gland. Audrey prend les lèvres de son beau frère, lui donne un sulfureux baiser.
-Comme tu m’as régalée salaud, tu as eu ce que tu voulais, niquer ta belle sœur. Il faut que tu partes maintenant, ton frère risque d’arriver…promis, je vais lui parler. Je tiens à débloquer cette situation.
Hervé quitte la villa. Audrey en profite pour aller prendre une douche, et s’occuper enfin de son gigot.
Alain arrive vers dix huit heures.
-Alors ma chérie, dit-il, tu as passé une bonne journée.
-Oui mon amour, et toi…au fait ton frère est passé, il voulait te voir.
-A bon…pour parler. C’est vrai qu’on ne peut pas rester fâché éternellement, c’est quand même mon frère. Appelle le, dis lui de venir diner ce soir. Je vais me doucher.
Heureuse, Audrey saute sur son portable, pour annoncer la bonne nouvelle à Hervé. A-t-elle une idée derrière la tête…même si c’est le frère de son mari.
maryse
9 juillet 2017 @ 12 h 10 min
Alors que mon mari était parti en voyage d’affaires, j’ai reçu la visite de son père juste à la tombé de la nuit. Je lui ai servi à diner et je suis montée à l’étage pour dormir dans ma chambre. Au lever j’ai trouvé ma chatte toute gluante de sperme. Je pensais que c’était mon mari rentré en pleine nuit m’avait fait l’affaire, mais point de mari. J’ai compris alors que c’était mon beau père qui m’a fait l’affaire. J’e suis toute excitée car j’ai toujours eu envie de ce géant de 1,95 m très robuste, maçon de son état.
GABY
20 décembre 2018 @ 17 h 49 min
et tu t’es pas aperçue qu’il te baisait ???
Jahlane
21 octobre 2022 @ 5 h 31 min
Tu les sex anal
BOUKA ARNAUD
3 septembre 2017 @ 2 h 35 min
Moi, il n’y a que la sodomie qui m’intéresse
Christian
10 décembre 2018 @ 19 h 30 min
Super j’adore ça m’a bien existait
lailatvx
2 juin 2019 @ 5 h 17 min
Poème à tous les maris cocus et soumis :
Je ne suis point un mari difficile
Et quand tu m’ordonnes à domicile
Je le fais volontiers pour ton plaisir
Quand tu as voulu me fouetter les fesses
Tu m’as fait bien mal, je le confesse
Mais je suis prêt à tout pour ton plaisir
Quand tes pieds tu m’as fait lécher
Cela ne m’a point effarouché
Car je suis prêt à tout pour ton plaisir
Quand tu m’as fait sentir le goût de ton anus
J’ai pris ça pour un sacré bonus
Car je suis prêt à tout pour ton plaisir
Quand tu m’as fait renifler tes culottes sales
Je me suis dit : voilà qui n’est point banal
Mais je suis prêt à tout pour ton plaisir
Quand tu as voulu me pincer les tétons
Je n’en ai pas fait un roman-feuilleton
Car je suis prêt à tout pour ton plaisir
Quand tu as voulu me faire porter des bas
J’avoue que cela quelque peu, me perturba
Mais je suis prêt à tout pour ton plaisir
Quand tu as voulu dans le cul m’enfoncer un gode
Cela fut très inédit comme épisode
Mais je suis prêt à tout pour ton plaisir
Quand tu as voulu m’inonder la bouche de ton urine
J’ai tout avalé en me branlant la pine
Car je suis prêt à tout pour ton plaisir
Quand avec le concierge, tu m’as fait cocu
Je l’ai regardé te baiser et j’ai survécu
Car je suis prêt à tout pour ton plaisir
Quand tu as voulu me faire sucer la bite de ton amant
Cela fut un vraiment un drôle de moment
Mais je suis prêt à tout pour ton plaisir
Et quand tu as voulu qu’il m’encule
C’est drôle, je ne me suis pas senti ridicule
Car je suis prêt à tout pour ton plaisir