Mon homme revient d’une formation de dirigeant sur Paris. Il change de poste, il va avoir plus de responsabilités, mais, en contrepartie, nous savions qu’il serait obligé de partir afin de gérer dans de bonnes conditions, ses nouvelles attributions. Nous avons été en manque de sexe car, d’habitude, nous faisons l’amour une fois minimum par jour et même si je me masturbe régulièrement depuis son départ, rien de tel que son sexe pour me donner du plaisir. Il arrive enfin. Je le prends sur le quai de la gare et nous rentrons chez nous. Pendant le trajet, j’écarte mes jambes pour qu’il puisse voir mon sexe et je lui dis que j’ai envie de lui. Nous arrivons devant notre immeuble. Il me dit qu’on laisse les bagages parce que là, il n’en peut plus non plus et il m’entraine dans la cage d’escalier.
Nous habitons au 1er étage. Nous nous embrassons alors comme des fous dans l’escalier. Nous jouons avec nos langues qui s’emmêlent. Je suis tellement chaude que je m’agenouille, ouvre sa braguette, sors son pénis et le gobe. Une main sur la base de son sexe et le reste dans ma bouche. J’arrête de temps à autre pour lui lécher le frein pendant que ma main le masturbe. Il me regarde et pour lui donner un stimulus visuel, j’écarte les jambes, relève ma jupe et au-dessus de ma culotte en dentelle, je me caresse. J’aspire de plus en plus en fort et il peut voir que mes joues sont aspirées, elles aussi, tant j’y vais de bon cœur. J’écarte maintenant ma culotte pour m’astiquer le capuchon clitoridien. Je l’entends gémir et bientôt mes petits cris s’ajoutent aux siens. Je lubrifie désormais et fais un mouvement de rotation en plus de celui de translation autour de sa verge bien raide. Je peux voir les veines ressortir sur sa hampe à présent, car son érection est massive. Il me caresse le cuir chevelu. J’arrête la stimulation de ma chapelle à plaisir pour me consacrer à lui. Ma deuxième main vient alors sur ses testicules que je prends bien en main afin de les caresser et les malaxer. Ma bouche fait disparaitre tout son sexe et il me donne la cadence en prenant ma tête. Il me retire et me positionne en mettant mes coudes sur les marches et en cambrant mon corps afin que mon fessier soit bien en arrière.
Mon cul ainsi offert a le droit un traitement de choix. Il me stimule le bouton de sa langue et introduit, dans mon vagin, deux doigts. Il trouve facilement mon point G et s’y attarde. Je monte en puissance mes gémissements de départ sont bien loin et des cris de plaisir éclatent. De son autre main, il s’infiltre dans mon anus avec son pouce. Il reste à l’entrée ou enfonce une phalange. Malgré ma dernière sodomie qui fut douloureuse, je n’arrive pas à m’en passer, je trouve que cela reste un plus pour m’emmener jusqu’à l’orgasme. Il joue avec sa baguette magique et me l’introduit direct dans mon petit trou. J’en profite pour me caresser toute la vulve avec, par moment, des petits gestes attentionnés sur ses testicules. Il burine désormais à un rythme effréné. Ça chauffe et j’ai le trou de balle en fleur. Il le comprend et applique sa langue pour me refroidir. Puis il sort son lubrifiant et en met largement sur mon orifice dilaté. A peine le temps d’apprécier que déjà le laminage recommence. Il n’y a plus que du plaisir sans douleur. Il s’essuie le sexe et me pénètre vaginalement. Son chibre me comble et vient bien au fond. Son coulissement amène mon orgasme petit à petit. Il enchaine avec un coup tellement sec qui me fait monter une marche, cela nous amuse et bien-sûr, il réitère sur quelques marches. Rien de tel qu’un escalier pour monter au 7ème ciel ! Nous arrivons au palier et il me réclame de le finir à la bouche.
J’adore le goût de son sperme, je ne vois pas pourquoi lui en priver et surtout m’en priver. Je le suce en gorge profonde assistée de ma main qui serre bien son sabre. Quand je sens sa respiration qui change et que je vois son corps, qui se contracte de manière compulsive, je dessers ma main et lui m’envoie son jus. Il y a de quoi faire cela fait une semaine que nous n’avons pas fait l’amour et il n’a pas du se masturber. J’avale en le regardant dans les yeux et nous filons chez nous. Nous buvons un verre et il me dit d’un petit sourire narquois : « Fin du premier round mais pas le dernier de la soirée ». Je crois que la soirée va être chaude et très plaisante. Je lui réserve quelques surprises mais ça je vous le raconterai une autre fois.
cocomenard
19 octobre 2019 @ 20 h 03 min
Genial cette histoire deretrouvaille