Voici ce qui vient de m’arriver. Je suis conviée par mon entreprise à un séminaire sur la ville de Lyon. Je suis visiteuse médicale et tous les secteurs de la France sont représentés. Je descends donc en train avec mes collègues féminines car sur le secteur de la Marne, il n’y a que des filles. Je tiens à dire tout de suite que je suis célibataire et donc que je ne fais de mal à personne si je me fais du bien avec quelqu’un. Les réunions s’entament donc sur les différents produits de notre labo mais aussi une grosse partie sur le marketing qui est assez saoulant. C’est ce que j’aurai pensé si je n’avais rencontré Sylvain, un breton de Vannes, célibataire lui-aussi, qui semble sous mon charme. Il me regarde avec insistance et me lance des sourires et des petits pics de franche camaraderie. Il est grand, brun, les yeux bleus et a un je ne sais quoi de charmant. A la pause déjeuner, il demande à se joindre à nous et se place à côté de moi. Mes collègues de secteur, quand nous sommes aux toilettes, me disent que j’ai un ticket et que j’ai bien de la chance.
Nous finissons de manger et enchainons avec l’après-midi puis arrive le soir et Sylvain nous demande ce que nous avons de prévu. Ma réponse est rapide et directe : « Rien ! ». Mes collègues font comme si elles avaient quelque chose de prévue pour nous laisser tous les deux. Je monte dans ma chambre me changer et me refaire une beauté. 19 heures arrive et je descends dans le hall de l’hôtel. Sylvain m’attend, et nous partons au restaurant. Il est très drôle et sa voix rauque et grave mais me déclenche des picotements le long de la colonne vertébrale. Quand nous sortons, il neige et je suis glacée en arrivant à l’hôtel. Sylvain me demande si je ne serai pas tentée par un sauna qui est au sous-sol. Faisant ma précieuse au départ, je lui dis que je suis tentée mais que je n’ai pas de maillot de bain. Il me dit que lui non plus mais qu’il va y aller tout de même. Nous descendons donc vers le sauna et la dame d’accueil nous explique qu’il est impossible d’y aller en sous-vêtements avec la serviette, c’est soit maillot de bain, soit rien ! Sylvain dit ok, il se dirige vers une cabine avec une serviette et ressort 5 minutes plus tard avec ses habits dans une main et l’autre qui tient la serviette. Il me lâche un : « Ben alors, tu fais quoi ? ». Sous la pression, j’en fais autant. Je donne tout à la dame d’accueil et nous allons vers les cabines de sauna.
Nous choisissons un pour deux uniquement car nous ne voulons pas d’un collègue qui nous parlera du boulot. Sur la cabine, une instruction : Pas de serviette dans le sauna ! Là, je me dis que c’est cuit. Lui, vire sa serviette et entre. « On y voit rien là-dedans, viens ! » J’obéis et je pense mais qu’est-ce qui me prend ? Nous voilà, nus comme des vers, dans une pénombre où on ne voit rien et une chaleur qui nous asphyxie à moitié. Il est debout, me demande de m’allonger sur le ventre et me masse les épaules, le dos, les jambes et insiste sur l’intérieur de mes cuisses. Il me retourne, dans le brouillard, je crois voir que son sexe est dressé et d’un format plus qu’honorable.
Il me caresse le ventre, enlève mon bras qui cachait ma poitrine, et me pétrit les seins, titille le bout de mes obus bien dressés. Il force un peu pour enlever ma main qui empêchait l’accès à ma vulve. Il joue avec mon clitoris puis avec l’entrée de ma chapelle ardente. Je mouille de partout. Je m’assois et commence à le masturber. Mes deux mains sont nécessaires et j’ai du mal à le prendre en bouche. Je lui lèche le frein, la hampe et les boules. Il ne tient pas cinq minutes qu’il éjacule dans ma bouche. J’avale tout et pense partir. « Pas si vite » me dit-il. Je n’y crois pas, il se remet à bander de plus belle. Il s’assoit et me pénètre de tout son chibre. A chaque va et vient, le plaisir me submerge. Je commence à ne plus pouvoir retenir mes cris de jouissance. Il s’arrête et entreprend de rentrer son immense queue dans mon petit trou. Après bien des essais, son gland entre enfin dans mon rectum. Je jouis comme une folle et je m’appuie sur le mur qui déclenche la lumière. Quelques badauds qui passent nous regardent et nous éclatons de rire. Je vais peut-être passée pour une salope mais une salope comblée.
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2 juin 2012
Séminaire
Admin jeune, plaisir, queue, salope, sexe, toilettes, train Confession Intime 0 Commentaire
Voici ce qui vient de m’arriver. Je suis conviée par mon entreprise à un séminaire sur la ville de Lyon. Je suis visiteuse médicale et tous les secteurs de la France sont représentés. Je descends donc en train avec mes collègues féminines car sur le secteur de la Marne, il n’y a que des filles. Je tiens à dire tout de suite que je suis célibataire et donc que je ne fais de mal à personne si je me fais du bien avec quelqu’un. Les réunions s’entament donc sur les différents produits de notre labo mais aussi une grosse partie sur le marketing qui est assez saoulant. C’est ce que j’aurai pensé si je n’avais rencontré Sylvain, un breton de Vannes, célibataire lui-aussi, qui semble sous mon charme. Il me regarde avec insistance et me lance des sourires et des petits pics de franche camaraderie. Il est grand, brun, les yeux bleus et a un je ne sais quoi de charmant. A la pause déjeuner, il demande à se joindre à nous et se place à côté de moi. Mes collègues de secteur, quand nous sommes aux toilettes, me disent que j’ai un ticket et que j’ai bien de la chance.
Nous finissons de manger et enchainons avec l’après-midi puis arrive le soir et Sylvain nous demande ce que nous avons de prévu. Ma réponse est rapide et directe : « Rien ! ». Mes collègues font comme si elles avaient quelque chose de prévue pour nous laisser tous les deux. Je monte dans ma chambre me changer et me refaire une beauté. 19 heures arrive et je descends dans le hall de l’hôtel. Sylvain m’attend, et nous partons au restaurant. Il est très drôle et sa voix rauque et grave mais me déclenche des picotements le long de la colonne vertébrale. Quand nous sortons, il neige et je suis glacée en arrivant à l’hôtel. Sylvain me demande si je ne serai pas tentée par un sauna qui est au sous-sol. Faisant ma précieuse au départ, je lui dis que je suis tentée mais que je n’ai pas de maillot de bain. Il me dit que lui non plus mais qu’il va y aller tout de même. Nous descendons donc vers le sauna et la dame d’accueil nous explique qu’il est impossible d’y aller en sous-vêtements avec la serviette, c’est soit maillot de bain, soit rien ! Sylvain dit ok, il se dirige vers une cabine avec une serviette et ressort 5 minutes plus tard avec ses habits dans une main et l’autre qui tient la serviette. Il me lâche un : « Ben alors, tu fais quoi ? ». Sous la pression, j’en fais autant. Je donne tout à la dame d’accueil et nous allons vers les cabines de sauna.
Nous choisissons un pour deux uniquement car nous ne voulons pas d’un collègue qui nous parlera du boulot. Sur la cabine, une instruction : Pas de serviette dans le sauna ! Là, je me dis que c’est cuit. Lui, vire sa serviette et entre. « On y voit rien là-dedans, viens ! » J’obéis et je pense mais qu’est-ce qui me prend ? Nous voilà, nus comme des vers, dans une pénombre où on ne voit rien et une chaleur qui nous asphyxie à moitié. Il est debout, me demande de m’allonger sur le ventre et me masse les épaules, le dos, les jambes et insiste sur l’intérieur de mes cuisses. Il me retourne, dans le brouillard, je crois voir que son sexe est dressé et d’un format plus qu’honorable.
Il me caresse le ventre, enlève mon bras qui cachait ma poitrine, et me pétrit les seins, titille le bout de mes obus bien dressés. Il force un peu pour enlever ma main qui empêchait l’accès à ma vulve. Il joue avec mon clitoris puis avec l’entrée de ma chapelle ardente. Je mouille de partout. Je m’assois et commence à le masturber. Mes deux mains sont nécessaires et j’ai du mal à le prendre en bouche. Je lui lèche le frein, la hampe et les boules. Il ne tient pas cinq minutes qu’il éjacule dans ma bouche. J’avale tout et pense partir. « Pas si vite » me dit-il. Je n’y crois pas, il se remet à bander de plus belle. Il s’assoit et me pénètre de tout son chibre. A chaque va et vient, le plaisir me submerge. Je commence à ne plus pouvoir retenir mes cris de jouissance. Il s’arrête et entreprend de rentrer son immense queue dans mon petit trou. Après bien des essais, son gland entre enfin dans mon rectum. Je jouis comme une folle et je m’appuie sur le mur qui déclenche la lumière. Quelques badauds qui passent nous regardent et nous éclatons de rire. Je vais peut-être passée pour une salope mais une salope comblée.