Je suis au lycée et ce sont les grandes vacances. Mes parents n’ayant pas les moyens de partir, les parents d’une amie d’enfance me proposent de partir avec eux dans le Sud Est de la France où ils ont une maison de villégiature avec piscine et sont situés non loin de la mer et de la montagne. Mes parents acceptent et je me retrouve pour la première fois à découcher et sans la tutelle oppressante de mes parents. Les parents de Marie, mon amie, sont cools et concèdent tout à leur fille unique. Au bout de quelques jours d’accoutumance, ses parents nous laissent seules pendant qu’ils vont faire les courses. Nous passons l’après midi à griller au soleil et nous optons pour un petit bain dans la piscine pour nous rafraîchir. Le froid nous a saisi, nous nous mettons sur les transats pour sécher. Marie reçoit un sms de nos amis restés dans notre village et vu que je n’arrive pas à le lire d’où je suis, je m’allonge à ses côtés. Nous sommes obligées de nous serrer pour ne pas tomber.
Nous rigolons et dans notre délire, elle s’approche de moi et m’embrasse. Je suis surprise et heureuse en même temps. Je la contemple et lui demande de recommencer, elle me sourit et me roule une pelle qui me fait frémir. C’est là, que je me décide à passer ma main sur tout le long de ses cuisses. Elle ne dit rien et me fixe du regard. Je recommence donc mais cette fois ci, de manière plus sensuelle, mes mains lui caressent les cuisses plus lentement. Ne disant rien, je prends cela pour un encouragement. Tout en ne la lâchant pas du regard, mes mains caressent ses cuisses toutes douces, puis je remonte jusqu’à son ventre, en prenant soin de passer lentement et en appuyant sur son entrejambe. Elle me dit à ce moment là qu’elle est vierge et je lui réponds que l’on n’a pas intérêt à se rater car c’est pareil pour moi. Je désire la voir nue, rien que pour le côté esthétique. Contre toute attente, c’est elle qui attaque pour ma plus grande joie. Elle enlève le haut de mon maillot de bain deux pièces et caresse ma poitrine. Elle me complimente d’en avoir de si beaux et si gros. Elle me les prend en main et commence à me les sucer. J’adore me faire téter les seins ainsi, c’est même mieux que ce que je pouvais imaginer.
Je pousse de petits gémissements de bien-être ce qui l’encourage. Elle m’embrasse de nouveau langoureusement et me dit que c’est à moi de la satisfaire. Je ne demande que ça. J’enlève son maillot car lui n’est que d’une pièce. Ma langue joue avec sa poitrine qui n’a rien à jalouser à la mienne et pendant ce temps, nos cuisses frottent nos entrejambes. Je l’embrasse en descendant ma tête vers sa chapelle ardente. Je lui lèche d’abord l’intérieur des cuisses puis elle me saisit la tête et l’applique sur son pubis. Je m’active à lui écarter les lèvres avec ma langue et lorsque qu’elle est bien éclose comme une belle fleur, je lui mange le clitoris. Elle s’était épilée complètement contrairement à moi qui laisse toujours un ticket de métro. Elle écarte ses cuisses pour me faciliter l’accès à son intérieur. Ma langue fait des va et vient dans l’entrée de son vagin. Je me décide à lui rentrer deux doigts. Sa défloraison est due à mes doigts, elle se souviendra donc à jamais de moi. Après une bonne stimulation de son point G, elle jouit en faisant des saccades de tout son corps. Elle reprend ses esprits assez vite, prend une douche éclair qui est à l’entrée de la piscine. Elle me regarde et me dit : « C’est à ton tour ma cochonne ! ». Je me caresse en la regardant arriver. Elle me fait un sourire complice et s’occupe de moi. Elle joue de sa langue sur mon bouton et remonte de temps à autre pour jouer avec ma poitrine. Puis elle part dans la chambre de ses parents, me laissant en plant.
Consternée, je continue de me masturber, ceci fut vite oublié quand elle revient avec un vibromasseur piqué à ses parents. « Ça peut servir » me lâche t’elle. Elle descend entre mes jambes, sa langue rejoue avec mon capuchon clitoridien et je commence à jouir quand elle rentre le vibro bien au fond de moi. Je n’ai pas eu le temps de dire ouf que ça y est je n’étais plus pucelle. Je jouis de toutes mes forces. Nous prenons une douche et nous nous rhabillons. Nous remettons le vibro que nous avons nettoyé, pile avant l’arrivée de ses parents. J’avoue que ces vacances commencent bien et je suis très éprise d’elle.
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16 juillet 2012
Souvenir lesbien
Admin première fois, vibro Confession Intime 0 Commentaire
Je suis au lycée et ce sont les grandes vacances. Mes parents n’ayant pas les moyens de partir, les parents d’une amie d’enfance me proposent de partir avec eux dans le Sud Est de la France où ils ont une maison de villégiature avec piscine et sont situés non loin de la mer et de la montagne. Mes parents acceptent et je me retrouve pour la première fois à découcher et sans la tutelle oppressante de mes parents. Les parents de Marie, mon amie, sont cools et concèdent tout à leur fille unique. Au bout de quelques jours d’accoutumance, ses parents nous laissent seules pendant qu’ils vont faire les courses. Nous passons l’après midi à griller au soleil et nous optons pour un petit bain dans la piscine pour nous rafraîchir. Le froid nous a saisi, nous nous mettons sur les transats pour sécher. Marie reçoit un sms de nos amis restés dans notre village et vu que je n’arrive pas à le lire d’où je suis, je m’allonge à ses côtés. Nous sommes obligées de nous serrer pour ne pas tomber.
Nous rigolons et dans notre délire, elle s’approche de moi et m’embrasse. Je suis surprise et heureuse en même temps. Je la contemple et lui demande de recommencer, elle me sourit et me roule une pelle qui me fait frémir. C’est là, que je me décide à passer ma main sur tout le long de ses cuisses. Elle ne dit rien et me fixe du regard. Je recommence donc mais cette fois ci, de manière plus sensuelle, mes mains lui caressent les cuisses plus lentement. Ne disant rien, je prends cela pour un encouragement. Tout en ne la lâchant pas du regard, mes mains caressent ses cuisses toutes douces, puis je remonte jusqu’à son ventre, en prenant soin de passer lentement et en appuyant sur son entrejambe. Elle me dit à ce moment là qu’elle est vierge et je lui réponds que l’on n’a pas intérêt à se rater car c’est pareil pour moi. Je désire la voir nue, rien que pour le côté esthétique. Contre toute attente, c’est elle qui attaque pour ma plus grande joie. Elle enlève le haut de mon maillot de bain deux pièces et caresse ma poitrine. Elle me complimente d’en avoir de si beaux et si gros. Elle me les prend en main et commence à me les sucer. J’adore me faire téter les seins ainsi, c’est même mieux que ce que je pouvais imaginer.
Je pousse de petits gémissements de bien-être ce qui l’encourage. Elle m’embrasse de nouveau langoureusement et me dit que c’est à moi de la satisfaire. Je ne demande que ça. J’enlève son maillot car lui n’est que d’une pièce. Ma langue joue avec sa poitrine qui n’a rien à jalouser à la mienne et pendant ce temps, nos cuisses frottent nos entrejambes. Je l’embrasse en descendant ma tête vers sa chapelle ardente. Je lui lèche d’abord l’intérieur des cuisses puis elle me saisit la tête et l’applique sur son pubis. Je m’active à lui écarter les lèvres avec ma langue et lorsque qu’elle est bien éclose comme une belle fleur, je lui mange le clitoris. Elle s’était épilée complètement contrairement à moi qui laisse toujours un ticket de métro. Elle écarte ses cuisses pour me faciliter l’accès à son intérieur. Ma langue fait des va et vient dans l’entrée de son vagin. Je me décide à lui rentrer deux doigts. Sa défloraison est due à mes doigts, elle se souviendra donc à jamais de moi. Après une bonne stimulation de son point G, elle jouit en faisant des saccades de tout son corps. Elle reprend ses esprits assez vite, prend une douche éclair qui est à l’entrée de la piscine. Elle me regarde et me dit : « C’est à ton tour ma cochonne ! ». Je me caresse en la regardant arriver. Elle me fait un sourire complice et s’occupe de moi. Elle joue de sa langue sur mon bouton et remonte de temps à autre pour jouer avec ma poitrine. Puis elle part dans la chambre de ses parents, me laissant en plant.
Consternée, je continue de me masturber, ceci fut vite oublié quand elle revient avec un vibromasseur piqué à ses parents. « Ça peut servir » me lâche t’elle. Elle descend entre mes jambes, sa langue rejoue avec mon capuchon clitoridien et je commence à jouir quand elle rentre le vibro bien au fond de moi. Je n’ai pas eu le temps de dire ouf que ça y est je n’étais plus pucelle. Je jouis de toutes mes forces. Nous prenons une douche et nous nous rhabillons. Nous remettons le vibro que nous avons nettoyé, pile avant l’arrivée de ses parents. J’avoue que ces vacances commencent bien et je suis très éprise d’elle.