J’habite dans une ville médiévale où se mêlent remparts et escaliers dérobés pour s’y rendre. Nous sommes invités Félix et moi, à une soirée d’anniversaire. Tout se passe bien et l’alcool coule à flot. Sans être ivres, nous préférons rentrer à pied pour des raisons évidentes d’ébriété au volant et les risques que cela entraîne. Nos amis habitent dans la partie ancienne appelée partie haute alors que nous, nous avons une maison dans le récent. Après avoir descendu trois escaliers, mon homme glisse et sans se faire mal, se retrouve sur le cul au milieu du quatrième escalier public. Nous rions, et il me met au défi de lui faire une petite pipe. N’ayant croisé personne jusqu’à maintenant, de plus, il est trois heure du mat, je m’exécute.

Je descends sa braguette, empoigne son sexe et commence ma fellation. Je lui tète le gland et aspire tout son sexe. Sa virilité se développe jusqu’à atteindre sa forme maximale. Je lui caresse les testicules et continue de le pomper. Je prends mon pied autant que lui prend le sien. Je me caresse la cuisse de l’extérieur ce qui soulève ma petite robe d’été. Je suis une gorge profonde et l’intégralité de son attirail est entrée dans ma cavité buccale. Vu que je ne veux pas qu’il jouisse tout de suite, j’arrête et me mets pour une prise en levrette en haut des marches. Je soulève ma jupe et écarte ma culotte qui est déjà humide d’excitation. Mon mec attrape à son tour mon sous-vêtement ce qui me laisse les mains libres pour une position plus confortable. Lui, m’introduit et étant dans les marches, c’est moi qui vient m’empaler sur son pieux. Je fais par moments de petits allers-retours qui stimulent l’entrée de ma vulve puis des moments de grands vas et viens pour le sentir bien au fond. L’éclairage public est si près de nous qu’il me chauffe; je décide d’enlever ma veste, mon chemisier et surtout mon soutien gorge. Je me vois sur le mur du rempart en géant et je vois ma poitrine ballottée ainsi que sa matraque entrer et sortir. Mon Dieu que c’est excitant !

Félix pousse des cris de bête et moi, des cris de gémissement. Il arrête de tenir ma culotte pour me prendre par les hanches afin de me culbuter plus puissamment. Pour plus de confort encore, nous changeons de position, je suis debout, les mains sur un muret et il me prend par derrière. Je contemple la ville et me presse le sein d’une main qui bientôt descend sur mon capuchon clitoridien. Mon mari, lui, continue son bombardement. Nos mouvements libèrent des bruits, qui avec l’acoustique des lieux, sont amplifiés. Le clapotement raisonne et il me dit d’attendre trente secondes. Il pose le caméscope sur le muret et il me dit que comme ça, on aura un souvenir de ce moment délicieux. Puis, il revient à son labeur. Il m’attrape par le cou et nous nous embrassons à pleine bouche ce qui n’est pas facile en plein élan. La courbure de mon corps dévoile ainsi mes seins à la ville. Je couine de plaisir, j’essaie de ne pas laisser partir la jouissance que je prends par des cris mais la difficulté est grande. Mon homme arrête et me colle son engin dans le petit trou, c’est ma première sodomie et elle est filmée. J’écarquille de grands yeux car je m’étais jurée qu’à ma première, je me préparerai en mettant du lubrifiant pour ne pas avoir mal mais là, sans être avertie, je lui en ai voulut un peu… mais pas longtemps en fait car le plaisir prit le dessus. Sa stimulation de mon fondement par l’intérieur, me donne des sensations nouvelles. Mon anus se dilate et toute sa hampe est en moi, quel délice que de se sentir remplie !

Après un bon quart d’heure, je jouis en tremblant comme une feuille. Mon mec continue alors quelques minutes et sort de moi pour que je le suce à nouveau. Je le plaque contre le rempart, plie mes genoux et commence à le dévorer. Le vent frais refroidit mon anus bouillant. Je lèche de tout son long son sexe, sans négliger ses bourses. Ma langue s’amuse sur son frein avant de le prendre dans ma bouche. Je pompe son gland jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus. Le résultat vient peu de temps après. Il se vide par jets violents et sans arrêter mon stimulus, j’avale sa semence. Je continue de jouer avec son sexe en le léchant pour qu’il n’en reste plus une goutte sur son sexe. Nous finissons notre descente jusqu’à notre petit nid douillé. Sur la route, nous reparlons de ce petit entracte et visionnons ce petit clip dont le moment de ma première et non dernière sodomie. C’est très motivant et je pense que nous ferons d’autres vidéos…