Je vais vous confier un petit secret. Cela fait 10 ans que je suis mariée et fidèle. Mon mari m’a un jour présenté un de ses copains qu’il connait depuis longtemps. Lui-même est marié depuis aussi longtemps que nous. Nous l’invitons régulièrement et nous nous apprécions mutuellement. Hier soir, nous nous sommes envoyés des mails avant qu’il décide avec mon mari de se faire tous deux une virée dans la soirée. Il me confie qu’à part pour le sexe, il est très attaché à sa femme. Je lui réponds que moi aussi, j’aime le sexe et que mon mari n’est pas porté sur la chose. De fil en aiguille, il m’avoue qu’il me ferait bien l’amour. Je ne sais quoi répondre mais ma culotte est toute mouillée. J’aimerai lui dire que je voudrais sentir son sexe coulisser dans ma bouche et que son physique m’a toujours attiré mais que faire ! Je ne me défausse pas et lui avoue tout. Le lendemain, j’ai rendez-vous avec lui.
C’est le jour J, je suis mal à l’aise mais je suis habillée avec un bustier, porte jarretelle, tanga et soutien gorge, le tout uni en dentelle noire ! Il arrive et me fait la bise comme à l’accoutumé. Je le suis et il m’emmène dans sa voiture. Il me dit : « Nous ne sommes pas des bêtes, nous allons aller à l’hôtel ». J’acquiesce de la tête sans mot dire car je n’y arrive pas. A peine arrivés, dans le hall, qu’il prend les clés d’une chambre et nous montons. Le décor est somptueux et l’envie commence à monter : est-ce l’attrait de l’interdit ou simplement le fait de vouloir faire l’amour ? Je n’en sais rien ! Il ouvre cette porte et là, je le colle sur le lit et lui enlève sa chemise. Je caresse son tronc si musclé et lui lèche les tétons. Ensuite, je lui enlève son froc et lui fais une petite gâterie. Il a l’air d’apprécier, son sexe est déjà bien dur. Mes blocages s’envolent. Il se redresse et me met la tête en bas, nous faisons un 69 à la verticale. Il écarte mon tanga et me bouffe la chatte.
Le bonhomme est doué. Je commence à avoir la tête qui tourne, il me redresse et je me retrouve à quatre pattes avec sa langue fourrée dans mon anus. C’est vraiment très bon. Je m’occupe de mes seins. Il entre dans mon antre. Je confirme, sa bite a des mesures non connues pour mon vagin. En plus, il sait bien s’en servir. Je commence à piailler comme une pucelle découvrant l’amour. Je suis en rut, son gourdin me comble. Il arrête pour me pourlécher la vulve. Mes murmures deviennent des râles, il me doigte l’anus et j’apprécie. Je suis tellement excitée que je lui hurle de me sodomiser. Il s’exécute. Je sens d’abord son gland s’enfoncer dans mon petit trou. Il se dilate de plus en plus. Puis, sa hampe glisse jusqu’à arriver en butée, son bas ventre contre mes fesses comblées. J’ai l’impression d’être littéralement empalée par son sabre énorme. Il commence par des petits vas et vient pour finir par me pétrir le cul comme un marteau pilon.
Il envoie la première saccade de sa semence sur mes fesses offertes. Je me retourne et le reprend dans ma bouche pour avaler le reste de son jus. Il jouit de plus belle et j’en fais de même. J’aime décidément sa grosse verge. Nous prenons notre douche ensemble et nous nous rhabillons. Je suis mal d’avoir trompé mon mari. Nous avons décidé d’un commun accord, ça sera la seule et unique fois où l’on trompera notre conjoint.
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16 mars 2012
Tromperie
Admin anus, bas, bite, chatte, culotte, femme, sexe Confession Intime 0 Commentaire
Je vais vous confier un petit secret. Cela fait 10 ans que je suis mariée et fidèle. Mon mari m’a un jour présenté un de ses copains qu’il connait depuis longtemps. Lui-même est marié depuis aussi longtemps que nous. Nous l’invitons régulièrement et nous nous apprécions mutuellement. Hier soir, nous nous sommes envoyés des mails avant qu’il décide avec mon mari de se faire tous deux une virée dans la soirée. Il me confie qu’à part pour le sexe, il est très attaché à sa femme. Je lui réponds que moi aussi, j’aime le sexe et que mon mari n’est pas porté sur la chose. De fil en aiguille, il m’avoue qu’il me ferait bien l’amour. Je ne sais quoi répondre mais ma culotte est toute mouillée. J’aimerai lui dire que je voudrais sentir son sexe coulisser dans ma bouche et que son physique m’a toujours attiré mais que faire ! Je ne me défausse pas et lui avoue tout. Le lendemain, j’ai rendez-vous avec lui.
C’est le jour J, je suis mal à l’aise mais je suis habillée avec un bustier, porte jarretelle, tanga et soutien gorge, le tout uni en dentelle noire ! Il arrive et me fait la bise comme à l’accoutumé. Je le suis et il m’emmène dans sa voiture. Il me dit : « Nous ne sommes pas des bêtes, nous allons aller à l’hôtel ». J’acquiesce de la tête sans mot dire car je n’y arrive pas. A peine arrivés, dans le hall, qu’il prend les clés d’une chambre et nous montons. Le décor est somptueux et l’envie commence à monter : est-ce l’attrait de l’interdit ou simplement le fait de vouloir faire l’amour ? Je n’en sais rien ! Il ouvre cette porte et là, je le colle sur le lit et lui enlève sa chemise. Je caresse son tronc si musclé et lui lèche les tétons. Ensuite, je lui enlève son froc et lui fais une petite gâterie. Il a l’air d’apprécier, son sexe est déjà bien dur. Mes blocages s’envolent. Il se redresse et me met la tête en bas, nous faisons un 69 à la verticale. Il écarte mon tanga et me bouffe la chatte.
Le bonhomme est doué. Je commence à avoir la tête qui tourne, il me redresse et je me retrouve à quatre pattes avec sa langue fourrée dans mon anus. C’est vraiment très bon. Je m’occupe de mes seins. Il entre dans mon antre. Je confirme, sa bite a des mesures non connues pour mon vagin. En plus, il sait bien s’en servir. Je commence à piailler comme une pucelle découvrant l’amour. Je suis en rut, son gourdin me comble. Il arrête pour me pourlécher la vulve. Mes murmures deviennent des râles, il me doigte l’anus et j’apprécie. Je suis tellement excitée que je lui hurle de me sodomiser. Il s’exécute. Je sens d’abord son gland s’enfoncer dans mon petit trou. Il se dilate de plus en plus. Puis, sa hampe glisse jusqu’à arriver en butée, son bas ventre contre mes fesses comblées. J’ai l’impression d’être littéralement empalée par son sabre énorme. Il commence par des petits vas et vient pour finir par me pétrir le cul comme un marteau pilon.
Il envoie la première saccade de sa semence sur mes fesses offertes. Je me retourne et le reprend dans ma bouche pour avaler le reste de son jus. Il jouit de plus belle et j’en fais de même. J’aime décidément sa grosse verge. Nous prenons notre douche ensemble et nous nous rhabillons. Je suis mal d’avoir trompé mon mari. Nous avons décidé d’un commun accord, ça sera la seule et unique fois où l’on trompera notre conjoint.