Même s’il est romancé, ce récit est tiré de faits réel.
Le mardi, j’appelle Guy, pour être sure qu’il est chez lui, impossible de l’avoir. Je laisse un message, puis décide de m’occuper du jardin. Je rendre vers dix huit heures, et là, je m’aperçois qu’il y a un message sur mon répondeur.
« Aurore, il a fallu que je mène Carole à la gare. Elle part une semaine au salon de la coiffure à Paris.
Je serai chez moi vers vingt heures, après ma réunion de travail. On peut manger ensemble si tu veux ».
Est- ce-que je peux accepter une proposition pareille, aussi tardive. Tans pis, quitte à passer pour une femme infidèle, je décide d’y aller. Puis, j’ai tellement envie qu’il me fasse l’amour.
Je me précipite à la salle de bains pour prendre une douche. Je me regarde dans la glace, et me trouve très belle. Je caresse mes magnifiques seins, mon ventre plat, puis arrive à ma chatte. Je pense fortement à la relation que j’ai eue avec Guy, parle toute seule à haute voix.
« Oh ma petite chatte, qu’est- ce- qu’il t’a fait Guy samedi, il t’a baisée hein, tu t’es bien régalé. C’est pour ça que tu étais toute mouillée. Il t’a faite jouir avec sa grosse bite. Tu aimerais qu’il te nique encore ? On va aller le voir. D’abord, je vais te raser, que tu ais une fente comme celle d’une petite fille. Ça va l’exciter ».
Une fois ma toilette terminée, je choisi une tenue assez sexy. Une jupe noire qui m’arrive à mi-cuisses, et un pull moulant. Pas de soutien gorge, mes seins, bien fermes n’en n’ont pas besoin…et, une première pour moi, je ne mets pas de culotte. C’est dire si je mets tous les atouts de mon côté.
J’arrive chez Guy vers vingt heures, tremblante de peur. Il me reçoit simplement vêtu d’un peignoir. Il m’embrasse tendrement à la commissure des lèvres.
– Je sors juste de la douche. Ca va ?
Pour ne pas faire voir que je suis venue spécialement pour lui, je lui demande s’il est fier de lui, après le sale coup qu’il a Eric.
– On a voté ma chéri, me répond-il narquois, et il a été battu, c’est tout.
– Tu as comploté contre lui, t’es un salaud.
– Calme- toi, me dit-il en me tirant à lui. Je t’offre un verre ?
Il me colle contre lui, et malgré le peignoir, je sens la grosseur de son sexe sur mon ventre. Je ne le repousse pas. Il me prend tendrement par la taille, me fait faire un demi-tour, et me donne un baiser dans le cou. Je sens une agréable sensation le long de mon échine. Sans m’en rendre compte, je suis en train de succomber à l’homme qui a évincé mon mari du club.
Avec des gestes précis, il quitte mon pull, me prend les seins, fait glisser la fermeture éclair de ma jupe, qui tombe au sol, puis glisse une main entre mes cuisses.
– Oh la vilaine, elle n’a pas mis de culotte, et sa petite chatte est toute épilée.
Lentement, il me couche sur la table basse du salon. Je ne résiste même pas, tellement mon attirance pour lui grandit. Je me retrouve entièrement nue, jambes écartées, pendant de chaque côté de la table.
– Détends-toi ma chérie, tu as besoin d’un gros câlin.
– Tu es fou, tu penses à mon mari…
Il n’a que faire de mes soucis. Sa main glisse entre mes cuisses, lisse mes lèvres intimes, excite le clitoris qu’il a pris soin de décalotté. Deux doigts pénètrent ma chatte humide, commencent à la branler. Un doigt s’égare sur mon petit trou, le dilate légèrement, ce qui provoque en moi, une sensation nouvelle, mais très agréable.
Ce vicieux joue avec moi, prend plaisir à me voir onduler sous ses perverses caresses. Il sait que je lui appartiens, que je vais m’abandonner. Son visage est éclairé par un large sourire.
– Ah…salaud, qu’est- ce- que tu fais à ma petite chatte…hum…hum…c’est tellement bon.
– Ben régale toi ma chérie, sourit-il, t’aimes ça hein…Eric ne te caresse pas comme ça.
– Non…il ne sait pas faire comme toi…toi tu sais ce qu’aime les femmes…salaud…je vais jouir…oui…
N’y tenant plus, j’engage une main sous le peignoir, saisit l’énorme bite, que je décalotte. Je la tire à moi et la prend en bouche. Je commence à la sucer tout en lui grattant les couilles. Soudain, Guy entame de lents va et vient dans ma bouche, je sens le gland gonflé sous mes succions. Je ne me reconnais plus, je suis en train de tailler une pipe au rival de mon mari.
D’un coup, de violentes giclées de sperme tapissent mon palais. Ce salaud n’a même pas pris la peine de se retirer. Pire, j’avale sa semence jusqu’à la dernière goutte, lui nettoie le gland avec ma langue et mes lèvres…ce que j’ai toujours refusé à mon mari.
Guy a plongé sa tête entre mes cuisses ouvertes, planté sa langue dans ma chatte pleine de mouille. Mon clitoris est devenu dur, a doublé de volume. Je sens ses lèvres aspirer mon petit bouton.
J’atteins l’orgasme dans un cri de plaisir.
– Hou…hou…oui…oui…je jouis…enfoiré, tu me fais jouir…oui…continue….bouffe moi la chatte… -Hum, souffle Guy, mais tu es une petite salope toi…il s’agissait de te réveiller…viens, mets-toi à genoux sur le canapé. Je vais te prendre en levrette, tu veux ?
– Oh oui, c’est ma position préféré, vas-y, baise moi…fais-moi oublier mon mari…
Je m’installe à genoux sur le canapé, prend appuie sur le dossier, écarte bien mes jambes pour accueillir sa bite. Je la sens exciter mon petit bouton, pénétrer ma chatte. Je ne me souvenais plus que Guy ait un tel calibre. Ce salaud me ceinture, fait rouler le bout de mes seins entre ses doigts. Lentement, il se retire, taquine mon petit trou. Mon dieu, je ne me suis jamais fait prendre par là, j’ai toujours refusé à mon mari.
– Pas ça, s’il te plait, je ne me suis jamais faite sodomiser.
– Chut ma chérie, répond-il, tu ne veux pas que je sois le premier ? J’irai doucement.
– J’ai peur tu sais…tu me promets que si j’ai mal, tu arrêteras.
– Promis, poursuit-il. Je vais bien te lubrifier avec ta mouille
Je sens le gland contre mon petit trou, qui sous la pression, se dilate. Petit à petit, la queue coulisse dans mes entrailles, jusqu’à ce que ses grosses couilles cognent contre mes fesses. Il y est arrivé ce salaud…il est parvenu à obtenir ce qu’il voulait. Mais il me donne tellement de plaisir.
– Ca va ma chérie, me demande Guy, je peux continuer.
– Vas-y, au point ou j’en suis…ça va le faire…
Et ça le fait, finalement, je prends énormément de plaisir, même si je ressens un peu douloureux.
– Ah Guy…tu m’encules salaud. Vas-y mon chéri, c’est bon…oui -T’aimes ça, petite salope…avoue que t’aimes ça…Eric ne te baise comme moi.
– Oh non, il n’est pas capable de me faire jouir comme toi.
– Tu vois bien, même au lit c’est un incapable…Il est bien monté au moins.
Pour ne pas humilier mon mari, je lui dis que les mensurations sont identiques, même si je dois admettre, que sa bite est plus longue d’environ deux centimètres, et plus grosse. Et je ne parle pas de la paire de couilles qui l’accompagne.
Guy décide de passer à deuxième phases, et m’emmène à la chambre, me couche sur lit. Il m’écarte les jambes et s’encastre entre mes cuisses. Sa bite n’a pas baissé d’un pouce, toujours en érection. Il me pénètre la chatte sans effort, et commence à me défoncer, il n’y a pas d’autre mot.
Je suis en train de me le faire mettre grave. Je n’en peux plus de jouir, de crier à chaque orgasme. Guy est un phénomène au lit. Il m’apporte ce que mon mari ne m’a jamais apporté, l’amour physique.
J’ai du jouir cinq ou six fois pendant la nuit. Guy, en dominateur, s’amuse avec mon corps.
Vers quatre heures du matin, nous décidons de prendre une douche. Là encore, il me demande de lui tailler une pipe. Il m’oblige à me branler, jusqu’à ce que je jouisse une dernière fois.
Enfin épuisé, nous nous assoupissons dans le bras l’un de l’autre.
Cette semaine là, j’ai passé toutes les nuits chez lui, jusqu’à ce que sa femme rentre de Paris. Mais nôtre relation à continué jusqu’à ce qu’Eric rentre du Brésil.
De plus en plus, je m’investissais dans cette relation, jusqu’à être soumise à tous ses caprices les plus pervers. J’étais devenu son jouet sexuel, son vide couille, sa pute. Chaque fois que je le suçais, il exigeait que j’avale son sperme. Il attendait que je le supplie de me baiser dans toutes les positions. Il voulait être le maitre pour mieux nous humilier, Eric et moi. Il avait même programmé une partie à trois avec sa femme.
« Je suis sur que ma femme aimerai bien te gouiner toute une nuit, disait-il. Tu es tellement vicieuse».
En plus, il ironisait sur mon mari, sur le sale coup qu’il lui avait fait, sur la catin qu’il avait réveillé en moi.
– Oh putain, souriait-il, je lui ai chopé la présidence du club, et en plus, je lui ai chopé sa femme…quel beau cocu il va faire…ça n’a pas l’air de te toucher…tu aimes tellement que je te nique, hein, salope….
– T’es méchant de dire ça…tu sais que je me régale quand tu me baises…mais s’il te plait, te moques pas.
Après un mois de relations intenses, nous avons mis un terme à nos rencontres. Eric est revenu du Brésil, et Guy a été muté dans une autre région. J’étais triste de son départ, car on a passé des nuits torrides ensemble, mais c’est peut être mieux comme ça.
Voila, aujourd’hui, j’ai une petite fille, Emilie, issue de ma relation avec Guy. Il ne le sait pas, Eric non plus. J’ai voulu me faire avorter, mais mon mari a refusé, persuadé que l’enfant était de lui. Il était si heureux.
Mieux, il m’a même demandé de faire un petit frère à Emilie. Je ne peux évidemment pas le lui refuser.
Laurent
23 janvier 2017 @ 21 h 40 min
femme adultère qui n’avoue rien dommage les histoires se ressemblent toujours. Peu d’histoire où la femme est cocu
mais belle histoire bien ecrite