Aujourd’hui, j’ai ma visite médicale sur camion de la médecine du travail. Je gère les visites de mon entreprise de Travaux Publics. Les visites sont prévues sur trois mercredis de suite. Le premier mercredi était la semaine dernière où j’ai connu l’équipe médicale formée du médecin et de son assistant. C’est sur ce dernier que j’ai flashé. Devant ma stature dans l’entreprise, je n’ai pas osé l’aborder. Je le vois donc pour la deuxième fois ce jour et en plus je vais me retrouver en tête à tête avec lui pendant un temps, que j’aimerai, long. Le camion est là, les premiers sont passés et c’est à mon tour. Je monte avec l’envie de lui sauter dessus mais je retiens, mes sens sont en éveil. Il est grand, blond, les yeux bleus, musclé avec quelques rondeurs. Je craque littéralement. Pour ma part, je suis brune, yeux verts, une poitrine conséquente. Il me dit d’entrer et me fait m’assoir en face de lui. Il me demande si, à la fin des visites, je viendrai chercher l’enveloppe avec les fiches d’aptitude. Je lui réponds par l’affirmative. Il est souriant, a de l’humour et fait preuve d’une intelligence certaine.

Nous discutons un peu avant d’entamer la visite proprement dite. Il me dit que nous allons commencer par tout ce qui est administratif, je lui souligne le fait que je sois célibataire. Puis vient le souffle. Il me tend un filtre, me donne le spiromètre et m’explique le fonctionnement. Je bois ses paroles car j’ai peur de passer pour une cruche. J’imagine que le filtre est son sexe. Il me regarde et je lèche le bout du filtre avant de le prendre en bouche. Il reste sérieux et son silence me glace. Je fais après la vision. Je penche mon corps en avant ce qui lui laisse voir la forme de mes seins en détail. J’espère qu’il me mate mais je ne peux le savoir. Il finit sa partie en me faisant l’examen de l’audition. Nous discutons encore le temps que celui qui se trouvait avant moi me laisse la place, et je passe avec le médecin qui bizarrement me trouve une tension un peu haute. J’ai fini ma visite, je suis apte, ouf ! Je dis «à tout à l’heure » à l’assistant et descend du camion. Je ne sais quoi penser, enfin je verrai en fin de journée. Après quelques heures, c’est le moment fatidique ! Le médecin me dit qu’il n’y a pas de cas à discuter et part. L’assistant a remballé tout son barda et n’a laissé que l’escalier et les béquilles. Il me fait signe de monter. J’arrive et il me dit de fermer les portes. Il est là debout devant moi et je suis comme une petite fille qui a fait des bêtises. Il me regarde et me dit qu’il me trouve moins provocante quand  nous étions ce matin que tous les deux.

Je regarde mes pieds et il m’explique que tout  l’heure, il ne pouvait ni dire ni faire quelque chose car son médecin veille et que c’est un motif de licenciement. A peine a-t-il fini sa phrase qu’il s’approche de moi et m’embrasse. Je suis en train de rêver. Ses baisers deviennent de plus en plus «hot » et sa main commence à remonter sous ma jupe. Il me caresse la vulve et s’attarde sur mon clitoris. Je mouille abondamment. Je caresse moi aussi son entrejambe et sens sa poutre grossir. Il est bien membré. Je descends son pantalon et son caleçon pour lui faire une fellation. Je lui masse doucement les bourses et prends son engin en main et en bouche. Après un petit moment, il me colle sur son bureau et me bouffe la chapelle ardente que j’avais épilée ce matin. Il est doué et me fait jouir. Il me dit de passer à côté et me positionne à quatre pattes sur le lit d’examen. Il joue avec sa langue sur mon anus puis m’investit dans mon vagin avec son sexe. Je le sens de tout son long en moi. Je commence une nouvelle fois à sentir les prémices d’une seconde jouissance. Il me laboure littéralement et s’introduit dans mon petit trou. J’écarquille les yeux et ma bouche reste ouverte. Que son gros chibre arrive à rentrer m’épate et m’oblige à dilater comme jamais. Il a l’air d’apprécier mes gémissements et mes cris. Au bout de peu de temps, il me dit qu’il vient.

Je me déboite alors de lui et prends son sexe dans ma bouche. Il se laisse aller et m’envoie toute sa semence que j’ai du mal à avaler tant il y en a. Nous nous rhabillions et il me dit à la semaine prochaine et me glisse à l’oreille « sans culotte » car il a gardé la mienne dans sa poche. Je ne dirai qu’une chose : vivement la semaine prochaine !