Je suis de partie avec un ami homosexuel qui s’appelle Paul. Nous découvrons le Périgord Noir : ses lieux magiques, ses plats traditionnels et ses gens. J’ai choisi Paul car je ne voulais pas me faire draguer si j’étais venue seule et je ne voulais pas non plus que l’homme qui m’accompagne, croit que c’était pour me le faire que je l’invitais à venir. Avec lui, aucun souci, nous parlons librement de nos hommes, de nos tracas quotidiens et il s’intéresse beaucoup à l’esthétique. Nous en prenons plein les yeux, c’est vraiment magnifique, ces décors de cinéma où nous pouvons évoluer me touchent ainsi que mon ami-confident. Tous les soirs, nous faisons un petit briefing dans la chambre de l’un ou de l’autre pour savoir vers quel endroit aller demain et ce qu’on le veut visiter.
Nous errons dans toute cette région sans avoir de point fixe. Nous nous débrouillons pour trouver des chambres d’hôtes en fin de chaque après-midi. Nous sommes passés au début par Rocamadour et sa visite des aigles sur l’autre flan de la montagne ce qui nous a le plus plu depuis le début de cette excursion. Nous sommes dans le Sud du département et nous nous y sommes pris un peu tard pour prendre notre chambre d’hôte. Il ne reste plus qu’une chambre pour nous deux mais qui est bien grande. De mon côté, ça ne me gêne pas et Paul n’a pas l’air d’être ennuyé donc nous acceptons de la prendre. Nous allons manger au restaurant d’à côté où nous mangeons une salade périgourdine en entrée, une bavette à l’échalote en plat principal et un fondant au chocolat avec une boule de glace à la vanille dessus. Nous dégustons plusieurs crus de vin différents et la tête nous tourne à tous les deux. En arrivant, je suis dit que c’est l’honneur aux dames et que je prends ma douche en premier. Je me déshabille et entre sous la douche. Je me lave et ressort. Je m’essuie et sors nue comme un ver devant lui.
Je le vois tellement comme une copine que je ne pense pas que je peux le choquer. Il se met à nu aussi devant moi et part se laver. Il arrive dans la chambre avec une légère érection. Je lui lâche : « Dommage qu’il n’y a pas de mec, tu aurais pu lui faire son affaire ! », il me regarde tout ennuyé et me dit qu’il a quelque chose à me confier. Il m’avoue que son érection est due à ma présence et que je lui ai fait virer sa tendance pour les hommes, qu’il a envi de moi mais qu’il n’a jamais essayé avec une femme. Je ne sais quoi dire, je le remercie de sa franchise et lui avoue aussi que ces quelques jours passés au près de lui ne m’ont pas laissée indifférente. Nous nous approchons alors et nous embrassons. J’ai très envie de lui et de lui faire connaitre l’amour d’une femme. Je lui caresse le sexe dans ses détails : ses testicules, sa hampe, son gland, tout y passe. Je lui embrasse le poitrail et m’attarde sur ses tétons. Il apprécie et son érection devient forte. Son phallus ainsi dressé appelle mes lèvres. Je le suce avec délectation. « C’est génial ! » me dit-il. Je prends ses bourses dans ma bouche, je suis content qu’il s’épile intégralement, j’ai horreur des poils dans la bouche. Je lui redresse les jambes et insiste sur son petit trou en même temps que je le masturbe manuellement. « Guide moi, je veux te satisfaire ! ». Je lui colle sa tête sur ma forte poitrine.
Il se débrouille bien et me satisfait. Puis, je descends sa tête sur ma vulve. Je lui montre où est mon clito, mes grandes lèvres et les petites et qu’il faut commencer par me manger les lèvres dans toute sa longueur, après il faut les écarter et me pénétrer de plusieurs doigts en grattant le haut de mon vagin quand je serai sur le dos pour agir sur mon point G et enfin continuer la stimulation manuelle avec le léchage de mon capuchon clitoridien. Il s’exécute, je corrige les défauts au fur et à mesure et il me fait jouir énormément. Je lui dis alors de s’allonger sur le dos et je me positionne pour le chevaucher. « Tu ne mets pas de lubrifiant ? »dit-il, « Pas besoin avec le traitement que tu viens de me faire, je mouille comme une malade ! ». J’avale donc son chibre avec mon sexe cyclopéen et lui apprécie en disant que je suis douce et que cela lui plaît. Il ne tarde pas à venir et rempli mon vagin de son sperme tout chaud. Je le complimente sur sa performance et depuis nous sommes ensemble et nous nous aimons comme des fous.
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22 juin 2012
Voyage au Périgord
Admin cinéma, femme, phallus, sexe, sperme Confession Intime 0 Commentaire
Je suis de partie avec un ami homosexuel qui s’appelle Paul. Nous découvrons le Périgord Noir : ses lieux magiques, ses plats traditionnels et ses gens. J’ai choisi Paul car je ne voulais pas me faire draguer si j’étais venue seule et je ne voulais pas non plus que l’homme qui m’accompagne, croit que c’était pour me le faire que je l’invitais à venir. Avec lui, aucun souci, nous parlons librement de nos hommes, de nos tracas quotidiens et il s’intéresse beaucoup à l’esthétique. Nous en prenons plein les yeux, c’est vraiment magnifique, ces décors de cinéma où nous pouvons évoluer me touchent ainsi que mon ami-confident. Tous les soirs, nous faisons un petit briefing dans la chambre de l’un ou de l’autre pour savoir vers quel endroit aller demain et ce qu’on le veut visiter.
Nous errons dans toute cette région sans avoir de point fixe. Nous nous débrouillons pour trouver des chambres d’hôtes en fin de chaque après-midi. Nous sommes passés au début par Rocamadour et sa visite des aigles sur l’autre flan de la montagne ce qui nous a le plus plu depuis le début de cette excursion. Nous sommes dans le Sud du département et nous nous y sommes pris un peu tard pour prendre notre chambre d’hôte. Il ne reste plus qu’une chambre pour nous deux mais qui est bien grande. De mon côté, ça ne me gêne pas et Paul n’a pas l’air d’être ennuyé donc nous acceptons de la prendre. Nous allons manger au restaurant d’à côté où nous mangeons une salade périgourdine en entrée, une bavette à l’échalote en plat principal et un fondant au chocolat avec une boule de glace à la vanille dessus. Nous dégustons plusieurs crus de vin différents et la tête nous tourne à tous les deux. En arrivant, je suis dit que c’est l’honneur aux dames et que je prends ma douche en premier. Je me déshabille et entre sous la douche. Je me lave et ressort. Je m’essuie et sors nue comme un ver devant lui.
Je le vois tellement comme une copine que je ne pense pas que je peux le choquer. Il se met à nu aussi devant moi et part se laver. Il arrive dans la chambre avec une légère érection. Je lui lâche : « Dommage qu’il n’y a pas de mec, tu aurais pu lui faire son affaire ! », il me regarde tout ennuyé et me dit qu’il a quelque chose à me confier. Il m’avoue que son érection est due à ma présence et que je lui ai fait virer sa tendance pour les hommes, qu’il a envi de moi mais qu’il n’a jamais essayé avec une femme. Je ne sais quoi dire, je le remercie de sa franchise et lui avoue aussi que ces quelques jours passés au près de lui ne m’ont pas laissée indifférente. Nous nous approchons alors et nous embrassons. J’ai très envie de lui et de lui faire connaitre l’amour d’une femme. Je lui caresse le sexe dans ses détails : ses testicules, sa hampe, son gland, tout y passe. Je lui embrasse le poitrail et m’attarde sur ses tétons. Il apprécie et son érection devient forte. Son phallus ainsi dressé appelle mes lèvres. Je le suce avec délectation. « C’est génial ! » me dit-il. Je prends ses bourses dans ma bouche, je suis content qu’il s’épile intégralement, j’ai horreur des poils dans la bouche. Je lui redresse les jambes et insiste sur son petit trou en même temps que je le masturbe manuellement. « Guide moi, je veux te satisfaire ! ». Je lui colle sa tête sur ma forte poitrine.
Il se débrouille bien et me satisfait. Puis, je descends sa tête sur ma vulve. Je lui montre où est mon clito, mes grandes lèvres et les petites et qu’il faut commencer par me manger les lèvres dans toute sa longueur, après il faut les écarter et me pénétrer de plusieurs doigts en grattant le haut de mon vagin quand je serai sur le dos pour agir sur mon point G et enfin continuer la stimulation manuelle avec le léchage de mon capuchon clitoridien. Il s’exécute, je corrige les défauts au fur et à mesure et il me fait jouir énormément. Je lui dis alors de s’allonger sur le dos et je me positionne pour le chevaucher. « Tu ne mets pas de lubrifiant ? »dit-il, « Pas besoin avec le traitement que tu viens de me faire, je mouille comme une malade ! ». J’avale donc son chibre avec mon sexe cyclopéen et lui apprécie en disant que je suis douce et que cela lui plaît. Il ne tarde pas à venir et rempli mon vagin de son sperme tout chaud. Je le complimente sur sa performance et depuis nous sommes ensemble et nous nous aimons comme des fous.