Il est dix sept heures quand je rentre de Paris d’un séminaire qui s’est terminé un jour plus tôt que prévu.

Aussi je tiens à réserver une agréable surprise à Jennifer, ma ravissante épouse, en l’invitant au restaurant. Je m’arrête aux passages cloutés, pour laisser passer une superbe créature d’une trentaine d’années, accompagnée d’un jeune maghrébin d’à peine dix huit ans.

Et là, surprise, je reconnais ma charmante épouse, et le jeune qui marche à côté d’elle. Il s’agit de Djamel, un joueur du club de foot de la ville.  C’est même moi qui l’ai recruté.

Je vois le couple s’engager dans le parc.

Mais que fait-il avec ma femme. Je veux tirer les choses aux clairs. J’appelle Jennifer.

Celle-ci répond. « Allo…allo….

Sans doute surprise par l’appel, elle range son appareil en oubliant de raccrocher. Je peux donc suivre leur conversation. J’en profite pour me rapprocher d’eux….

Mais je ne suis pas au bout de mes surprises.

Sans se cacher d’éventuel passant, je vois le jeune maghrébin plaquer mon épouse contre un arbre, et lui prendre la bouche. Jennifer répond farouchement, je vois leur langue s’enrouler dans un sulfureux baiser.

Puis la main du jeune homme se faufile sous la mini jupe de ma femme, qui écarte légèrement les jambes pour faciliter l’accès. Elle n’a pas de culotte, j’en ai la confirmation en voyant un bout de tissu rouge dépasser de son sac. Le jeune arabe se permet même d’ouvrir le chemisier de Jennifer, et lui sucer le bout de ses magnifiques seins. Elle n’a même pas mis de soutien gorge.

« Salaud, gémit mon épouse…ma petite chatte est toute mouillée, mon clito décalotté » « Avoue que tu aimes quand je te doigte, sourit Djamel » « Oh oui j’aime, tu le fais tellement bien, mais rends-toi compte, depuis ce matin tu me baises…tu m’as fait jouir sept fois, t’en as jamais assez…je n’ai jamais joui comme çà avec mon mari…oui… oui…je joui…oui…oui…je viens… »

Mon épouse a un orgasme terrible. Ses cris de plaisir percent mes oreilles.

Je reste cloué sur place devant cette scène horrible pour moi. Et ce n’est pas fini.

Jennifer glisse une main entre les jambes du jeune maghrébin. On devine nettement la grosseur que forme son sexe à travers son short..

« Oh mon dieu, dit-elle, qu’elle est grosse, mais tu es increvable… je ne peux pas te laisser dans cet état. Tu veux que je te taille une pipe ?

« Hum, mais pourquoi pas ma chérie »

Mon épouse s’accroupit, baisse le short du jeune joueur, libère une bite dantesque. Elle l’a décalotte du bout des lèvres, et l’engloutit  dans sa bouche. Elle entame de lents va et vient, maintenue par les mains de Djamel qui fait pression sur sa tête. Je vois les joues de ma femme se déformer quand le calibre se branle dans sa bouche. D’une main, elle caresse les testicules.

« Han, râle Djamel, tu aimes sucer ma bite, hein, salope…t’aimes que je me vide les couilles dans ta bouche…vas-y, avale… » « Hum…hum…hum…

Djamel se vide abondamment les couilles au fond de la gorge de ma femme, à s’en étouffer. Le surplus de sperme coule sur son menton.

Elle se relève, sort une bouteille d’eau de son sac, et se rince la bouche. Puis elle donne un sulfureux baiser à son amant. Elle ne sait pas rendu compte quand prenant la bouteille, elle avait fait tomber sa culotte. Là-dessus, ils se séparent en se promettant de se revoir.

« Dès que mon mari repart, Je t’appelle, dit Jennifer. » « Ok, répond Djamel ne tarde pas trop. Mais tu peux passer à mon studio si tu veux » « Non mon chéri, c’est trop risqué. L’hôtel, c’est mieux. Imagine qu’un de tes copains rapplique » « Ben on ferai une partie à trois, sourit Djamel » « Ouais, c’est ça, répond mon épouse, je te partage déjà avec mon mari Ca me suffit. »

Sur le chemin du retour, je suis discrètement mon épouse. Elle s’arrête brusquement, retourne sur ses pas. Elle vient de s’apercevoir qu’elle a perdu sa petite culotte. Elle s’aperçoit aussi, qu’elle n’a pas arrêté son téléphone, et sait que c’est moi qui étais au bout du fil.

Bien évidemment, c’est moi qui ai récupéré la culotte pleine de mouille. J’arrive à la maison juste quand Jennifer sort de la salle de bains, simplement vêtue d’un peignoir. Sait-elle que je l’ai surprise avec  Djamel.

« Tiens, mon chéri, me dit-elle, tu es rentré plus tôt, qu’elle agréable surprise » « Oui, je voulais te faire une surprise, mais en fait, c’est moi qui ai été surpris » « A bon, je ne comprends pas, poursuit-elle inquiète » « J’ai trouvé ça dans le parc, dis-je en montrant la petite culotte, elle n’est pas à toi ? » « Oh mon dieu, dit-elle gênée, tu nous as vu…je te demande pardon, mais ne crois pas que…» « Chut…j’en ai assez vu et entendu pour aujourd’hui…on réglera ça tous les deux…demain »