Je suis garagiste sur Lyon et j’ai la particularité d’abuser de mes clientes. Je vais essayer de vous expliquer cela en détail.

Lorsqu’une de mes clientes rentre dans mes critères sexuels, je vais tout faire pour essayer la baiser. Qu’elle soit mariée, divorcée ou veuve, si je peux la baiser, je le ferai. Il m’arrive souvent d’échanger des prestations mécaniques contre des prestations sexuelles. La dernière fois, je me suis fait faire une bonne pipe par une jeune femme d’une quarantaine d’années, chez elle, simplement parce que je lui ai fait démarrer sa voiture qui ne voulait pas démarrer. Je suis comme ça et mes clientes sont contentes. Mais le plus beau coup que j’ai réussi à faire remonte à l’année dernière.

Je reçois un coup de téléphone d’une femme dont la voiture fait des bruits bizarres. Elle est embêtée, car elle doit prendre la route le lendemain et ne veut pas prendre de risque. Je me propose d’aller vérifier sur place et j’ai bien fait. Une fois chez la cliente, je découvre une superbe bourgeoise d’une cinquantaine d’années avec le corps d’une fille de 20 ans. Je regarde la voiture et isole très vite la panne. Je lui propose de réparer le souci, mais lorsque je lui annonce le prix, elle tourne de l’œil. Et là arrive la phrase préférée des clients : « on peut s’arranger ? » j’adore cette phrase, car OUI on peut s’arranger, toujours. Je lui fais comprendre mes intentions et la quinquagénaire m’invite à entrer. Elle me fait asseoir sur le canapé et me dit de mettre à l’aise. Dans ces là, je me mets toujours à poil. Elle me regarde surprise, mais pose son verre sur la table basse et se met entre mes cuisses pour prendre mon sexe dans sa bouche. La salope était une gourmande. Je devine que la bourgeoise ne doit pas sucer de la bite tous les jours et j’en profite. Je lui tiens la tête pour lui enfoncer mon pieu au fond de la gorge. Sa salive dégouline sur mes couilles. J’ai envie d’aller voir de quoi à l’air sa chatte et je l’allonge sur le canapé, lui écarte les cuisses et écarte sa petite culotte noire. Je découvre une belle petite chatte lisse avec un ticket de métro sur le pubis, des lèvres gonflées à bloc déjà humides et un beau clitoris rose saillant. Je lui mets deux doigts dans la chatte et la baise ainsi pendant un moment. Je ressors mes doigts de sa vulve humide et lui mets dans la bouche. Je prends place entre ses cuisses avec ma queue que j’enfonce dans son vagin détrempé qui n’attend que ça. Je lui donne de bons coups de reins en lui mettant mes doigts dans la bouche. Je remonte ses cuisses sur sa poitrine pour mieux la baiser et je peux m’enfoncer jusqu’aux couilles. Là, je vois son petit trou. Discrètement, je plante mon gland devant sa pastille et je pousse fort avant qu’elle ne puisse dire quoi que se soit. Elle a été surprise. Je l’ai enculée comme une chienne sur son canapé blanc qui garde les traces de cette sodomie bien grasse, car la bourgeoise n’était pas prête à recevoir de la bite dans le cul aujourd’hui. Je la tringle comme une truie et je me retire pour mettre ma queue souillée de son jus d’anus dans la bouche. Je me branle deux coups et je finis par lui cracher mon foutre chaud et épais au fond de la gorge. La truie bourgeoise avale mon foutre contraint et forcé, car je ne retire pas ma queue de sa gorge. J’ai pris un pied d’enfer ! En partant, je lui rebranche le câble antiparasite du cylindre et hop, voilà la BMW qui tourne comme une horloge.

Je suis garagiste et j’en abuse. Mesdames si vous voulez vous faire enculer par un gars en bleu de travail, répondez-moi !