Vivant seule dans une grande maison, je n’ai pas d’hommes pour effectuer les travaux d’entretien. Je fais donc appel de temps à autre à un jeune homme du quartier qui m’aide et me fait des travaux.

Je le paye toujours en liquide et la dernière fois, je n’avais pas de quoi le payer. Alors, je lui ai proposé de le payer en nature. Il a hésité et a finalement accepté mon cul comme acompte. Il était encore transpirant et s’est mis debout devant moi, assise sur le canapé. J’ai déboutonné son pantalon et en ai extrait son sexe tendu. Il bandait très dur et avait une belle bite épaisse. Je me suis empressée de le branler et de le prendre dans ma bouche. Pendant que je suçais, la grosse bite de mon ouvrier, je lui malaxais les couilles pour lui donner davantage de plaisir. Il m’a fait enlever mon chemisier pour libérer mes gros seins lourds et naturels aux gros tétons. Il les a pincés pendant que je lui faisais une pipe en gorge profonde sur le canapé. Sa queue est divine et me baise bien le fond de gorge. Mais j’ai envie de sentir sa queue glisser en moi alors je me suis allongée sur le canapé et mon ouvrier est venu se mettre entre mes cuisses pour tout d’abord me lécher ma grosse chatte poilue. J’aime être naturelle et c’est pour cela que je laisse pousser les poils de ma chatte. De plus, toute la mouille et les odeurs restent emprisonnées dans mes poils. Il le découvre d’ailleurs vite et se régale de cette bonne odeur intime d’une bourgeoise mature. Après avoir lubrifié ma chatte avec sa langue habile, mon ouvrier vient se mettre derrière moi et s’emboiter dans ma chatte. Sa queue se fraye un passage entre mes poils et atteint l’entrée de mon vagin humide. Son gland est englouti par ma grotte et s’enfonce dans mon vagin trempé. Je le laisse glisser et j’attrape ses couilles pour bien les plaquer contre mon clitoris. Mon ouvrier me baise comme une vraie chienne. Cela faisait longtemps qu’une jeune bite vigoureuse et endurante ne m’avait pas tringlée ainsi. Je me donne complètement à ce jeune homme qui empoigne mes gros seins pendant qu’il me lime la chatte. Je veux qu’il me prenne en levrette et me mets à quatre pattes en penchant le corps en avant. Ma croupe est tout ouverte et je l’écarte davantage pour lui montrer mon envie. Il me baise par-derrière et me met un pouce dans l’anus. Je suis surprise de voir que je ne ressens aucune douleur. Je l’invite donc à venir y mettre sa queue au chaud et de profiter de l’inexpérience sexuelle de mon conduit anal. Mon ouvrier m’a enculée à quatre pattes comme une folle en me claquant les fesses ce qui m’a donné plusieurs orgasmes. Il a maintenant envie lui aussi de venir gicler son foutre et je me remets à genoux au niveau de sa bite pour la prendre dans ma bouche. Elle a le gout de mon anus et de ma mouille mélangée avec une bonne odeur de bite. Il s’arrête et je sens les contractions de ses couilles qui expulsent sa semence chaude et épaisse sur ma langue. Ni une ni deux, je la savoure et l’avale devant lui. J’ai aspiré jusqu’à la dernière goutte de sperme avec ma bouche et j’ai dit à mon ouvrier qu’il pouvait revenir demain finir le travail.

Je suis une bourgeoise mature qui aime le sexe et qui le revendique. Et alors ?