Aujourd’hui est un grand jour pour Carine, superbe blonde de vingt quatre ans. En effet, Rémi, son futur époux âgé de vingt huit ans, doit la présenter à ses parents, Roger et Marie, âgés de cinquante huit ans. Il y a aussi Lisa, une jeune métisse âgée de vingt trois ans, qu’ils ont adoptée.

-Bonjour pa, bonjour man, dit Rémi en les serrant dans se bras. Et toi sœurette, ça va ?

-Bonjour fils, répond Roger, ta fiancée est ravissante.

-C’est vrai qu’elle est belle, poursuit Lisa en l’embrassant.

-Allez, dit Marie, rentrez prendre un verre, vous devez avoir soif après ce trajet. Roger, pense que tu dois aller cherché du bois pour les grillades, n’attend qu’il pleuve.

C’est vrai qu’à cette époque, les orages sont fréquents dans la région.

-Ma chérie, dit Rémi, tu pourrais aller avec mon père, tu verras comme c’est beau la haut.

-D’accord, répond Carine, le temps de me changer.

-Pas besoin mon amour, il n’y a personne en ce moment.

En effet, Carine est vêtue d’une mini jupe, et d’un petit haut moulant.

-Bon, dit Roger, je sors la jeep, et on y va.

La réserve de bois n’est pas très loin, demi-heure de route, pas loin d’une cabane de chasseur. Le plus grave, c’est le temps de plus en plus menaçant qui inquiète Roger, même s’il a l’habitude.

Et ce qui devait arriver, arriva, un orage violent s’abat, à cent mètres de la cabane, bloquant la jeep.

-Vite, crie Roger, courrons à la cabane.

Ils arrivent à la cabane, trempés jusqu’aux os. Heureusement que les chasseurs sont prévoyant. Sur des étagères, se trouvent des couvertures et des serviettes. Comme mobilier, une table, quatre chaises, et une petite cheminée.

Roger fait du feu pour faire sécher les habits, il ôte son marcel, et conseille Carine d’en faire autant.

Gêner, la jeune femme s’exécute, enlève le haut. Roger prend alors une serviette, et essuie le dos de sa future belle fille. Pendant que cette dernière sèche ses cheveux, Roger passe devant, et entreprend d’essuyer les seins. Carine, surprise, ne se dérobe pas.

Ne sentant aucun refus, Roger poursuit, mais à mains nues cette fois. Il caresse les superbes seins, fait rouler les bouts entre ses doigts. Puis, il décide d’aller plus loin. Il glisse une main sous la mini jupe, entre les cuisses de Carine, qui a un léger sursaut.

-Mais, dit Roger, vous n’avez pas de culotte ?

-Heu…non, bégaie Carine. C’est vôtre fils qui m’a demandé de la quitter en route. Il voulait gratter ma petite chatte, la branler. Juste quand j’allais jouir, on est tombé sur un contrôle de police.

-A bon, c’est pour ça que ton minou est tout mouillé, vicieuse. Donc, il ne t’a pas fini. Je peux le faire si tu veux, je m’y connais.

Roger n’attend pas la réponse. Un doigt lisse la fente, l’ouvre et pénètre à l’intérieur. Carine ne peux retenir un petit gémissement, quand un autre doigt excite le clitoris.

-Oh mon dieu, beau papa, je vais me marier avec vôtre fils…nous allons faire une grosse bêtise…

– Chut chérie, détends-toi, tu vas voir comme je vais te faire du bien. Tu sens comme je doigte ton petit bouton, hein ?

-Vous me paralysez…gémit Carine.

Petit à petit, le corps de la jeune femme se tord sous les caresses de plus en plus vicieuses de Roger, elle se cambre pour mieux s’offrir aux doigts qui la branlent. Soudain, c’est l’orgasme.

-Oui…oui…allez-y, c’est trop bon…oui…hou…hou…

Roger quitte son jean, se met sur une chaise, et demande à Carine de venir s’asseoir sur ses genoux. En voyant l’énorme bite se son futur beau père en érection et bien décalotté, elle ne peut résister. Elle s’avance, écarte ses jambes, et s’y empale dessus, en feulant de plaisir.

-Oh putain, souffle-t-elle, qu’elle queue, vous auriez pu en laisser un peu plus à vôtre fils…

C’est Carine qui fait des va et viens hystériques sur la bite de Roger. Il est clair qu’elle est en manque de coups de queues. Il ne faut pas plus de cinq minutes, pour qu’elle atteigne un deuxième, pus fort et plus puissant que le premier. Elle prend la bouche de son beau père, et l’embrasse.

-Oh…comme vous m’avez baisée, dit Carine…vous êtes vraiment bon…mieux que vôtre… -Chut, la stoppe Roger, il faut y aller maintenant, ils doivent s’inquiéter.

Quand ils arrivent à la demeure, Lisa a tout compris en voyant son père tête baissée, et le regard troublé de Carine.

-Vous n’avez pas eu trop de pluie, demande Marie.

-Un peu, répond Roger, rien de bien grave, à part le chemin.

Lisa n’est pas dupe. Il lui tarde d’être à ce soir pour tirer ça au clair.

Le soir, vers vingt deux heures, elle regagne la chambre. Elle voit de la lumière filtrée sous la porte de Carine. Elle frappe, et pousse la porte. Elle sait que sa future belle sœur est seule, par respect, les futurs mariés n’ont pas voulu coucher ensemble.

-Tu ne dors pas, demande Lisa.

-Non,  je réfléchis…

-Tu penses à ton mariage…ou à ton après midi érotique passée avec Roger.

-Mais ça ne va pas, Tu insinues quoi, s’étonne Carine.

-Tu crois que je ne sais pas qu’il ta baisée dans la cabane. Il y a des attitudes qui ne trompent pas. Allez, avoue.

-Oh mon dieu, s’il te plait, ne dit rien, si Rémi apprend ça, c’est foutu…mais c’était tellement bon.

-T’inquiète ma chérie, ça restera entre nous, dit Lisa en se couchant à côté de Carine. Et puis, si tu veux que mon frère n’en sache rien, ça dépend de toi.

En disant ça, Lisa caresse les cheveux, puis le dos de la future mariée, qui se raidit. Carine ne résiste pas quand  celle-ci lui ôte sa nuisette, et la bascule sur le lit.

-Détends toi ma chérie, sourit la jeune métisse, je vais gratter ta petite chatte, tu verras comme c’est bon. D’autant qu’elle est encore toute mouillée.

Carine se laisse faire, trouve le jeu très excitant. Lisa lui soulève les fesses,  la forçant à se cambrer au maximum. Puis, elle enfonce sa tête entre les jambes de la jeune femme. Les mains caresses les seins, les doigts jouent avec la fente, la pénètre. Le clitoris est extrait de sa capuche, se fait doigter. Carine n’y tient plus, son corps est pris de spasmes quand elle jouit.

-Oh oui, gémit Carine, vas-y, doigte-moi… bouffe moi la chatte…fais moi jouir…oui…hou…hou…

-T’aimes ça toi, salope, sourit Lisa. Tu sais quoi, je vais t’organiser un superbe enterrement de jeune fille, tu veux.  Je vais lancer les invitations. Tu ne seras pas déçu.

-Tu as quartier libre ma chérie, répond Carine d’un air coquin…dis-moi, tu veux bien passer la nuit avec moi ? J’aimerai bien que tu m’apprennes à aimer les femmes.

-Glissons-nous sous les draps, petite vilaine. Je vois ce que tu veux.

Les deux futures belles sœurs vont se gouiner une bonne partie de la nuit.