Merci à Morane pour ce récit.

Nous étions sur la plage avec mon frère Rémi et moi Corinne. Il se faisait tard c’était un vendredi au moi de juin sa fait trois ans je venez d’avoir mon permis.

On était sur une plage naturiste en Normandie mon frère était dans l’eau entrain de nager, je n’aperçus qu’autour de nous, il n’y avait plus personne et j’étais à l’abri des regards indiscrets grâce à un blogueuse à côté de moi, et une dune de sable juste derrière. Le temps très clément pour ce début du mois juin me permettait de profitait de quelques instant de plus de bronzé.

Mes petits seins à l’air. J’adore sentir la caresse du vent sur mes tétons, si bien que rapidement, les bouts de mes seins sont devenus tous durs. Comme chaque jeune femme le sait, qui dit tétons durs comme de la pierre, dit aussi, excitation à fleur de peau. Alors après un coup d’œil circulaire me confirmant bien que j’étais à l’abri, ma main est tout naturellement descendue juste à la hauteur de ma chatte, me caressant l’abricot.

J’avais les yeux clos, seule au monde moi et ma caresse, et je me faisais alors méchamment du bien. Je sursautai tout d’un coup, car je venais de sentir une main se posée sur mon sein gauche. Une fois mes yeux ouvert, j’avais un peu de mal à distinguer avec la lumière du soleil, mais une fois mes yeux habitués à la lumière je pus voir la tête ravie de mon frère Rémi qui m’avait regardé me masturbé, et qui n’y tenant plus s’était mis à me peloter l’un de mes petit seins.

Ma réaction de peur le fit rire, et il crut bon d’ajouter, Alors Morane, on se fait du bien.

Je ne pris pas la peine de lui répondre, me contentant de lui un sourire tout en reprenant ma caresse sur mon clitoris. Je me mis à clore les yeux à nouveau pour mieux apprécier le bien que je me faisais toute seule. Je sentais la main de Rémi qui continuait de me peloter mes petit-nichon, pour ne rien vous cacher est très sensible, me faisaient un bien fou.

La main de libre de mon frère, je préfère largement lorsque c’est lui qui me titille le clito, mes sensations sont alors beaucoup plus forte que lorsque je me caresse toute seule. Et le fait de pouvoir sentir le vent sur ma peau nu sur cette plage me faisait encore plus de bien qu’a l’accoutumé. Je dus rapidement me mordre les lèvres pour ne pas crier de plaisir, car nous avions beau être seul, nous étions tous de même à l’extérieur.

J’ôtai donc ma main afin de laisser toute la place nécessaire à Rémi pour qu’il puisse me flatter le minou en toute liberté, et je jetai un œil sur lui. Je le trouvais très beau avec sa peau bronzer et encore légèrement humide. Je pus voir la gaule qui avait. Cela m’excita encore plus que je ne l’étais.

Pas de raison que je prenne mon pied toute seule, c’est pourquoi mes doigts allèrent à la rencontre de sa bite tendu, et je malaxai sa tige et ses boules, puis rapidement, je passais entre ses cuisses pour pouvoir réellement lui toucher la bite, et avoir ainsi un contact réel de mes doigts sur son phallus.

Après quelques minutes de caresses intenses, Je la mise en place dans ma bouche, et je commençais alors à lui faire une fellation torride sur la plage.

Sa queue, était salée, mais cela ne me dérangeait pas, j’étais si excitée à ce moment-là, que j’aurais trouvé presque n’importe quel goût à mon goût. De son coté, il continuait de faire boucher ses doigts sur mon petit clito, mais il avait aussi inséré des doigts dans ma fente. Le salaud, il savait pourtant très bien que très rapidement après m’avoir doigté, je ne répondais plus de moi-même, et qu’il me fallait vite quelque que chose de plus imposant, et de plus dure que ses doigts au fond de moi. Ce quelque chose qui était précisément dans ma bouche à cet instant-là !

Et cet instant, bien malgré moi, arriva très vite. J’arrêtais donc de le sucer, puis je lui murmurai d’une voix suppliante de me faire l’amour sur cette plage. Il a sortit alors ces doigts de ma chatte. Il se positionnait alors entre mes cuisses, que j’avais pris soin d’écarter,

Il s’allongea sur moi, me faisant, au passage entré sa longue queue au fond de mon intimité. Vu de derrière, nous étions seulement frère et sœur amoureux en train de se bécoter sur la plage. Hors la réalité était bel et bien tout autre, mon frère Henri était en train de me faire l’amour en missionnaire sur la plage.

S’il avait commencé discrètement à me donner de petits coups de queue dans ma foufoune, nous nous sommes très rapidement mis à jouir ensemble, le plus silencieusement possible. Il accéléra la cadence au fur et à mesure que son plaisir devenait de plus en plus important, cela tombait très bien puisque cela correspondait parfaitement à mon propre plaisir. J’adore lorsque Rémi et moi, nous sommes ainsi, totalement en phase. Pour finir lorsqu’il a éjaculé en moi, j’ai pu sentir la violence de son éjaculation venir me fouetter la paroi de mon vagin, me déclenchant ainsi un orgasme puissant et dévastateur qui m’a alors secoué le corps de spasme de plaisir.

J’ai joui comme une folle ce jour-là, sur cette plage,

Morane