Quelle ne fut pas ma surprise en sortant de la salle de bains, en voyant Eric, mon mari, avec Francesca, sa secrétaire, et maîtresse.

La situation était sans équivoque. Elle était carrément assise sur ses genoux.

Mon époux ne savait pas que j’étais rentrée.

L’occasion était belle pour mettre les choses au point. Depuis que j’ai envie de la corriger.

-Tiens, tiens, dis-je en m’avançant dans le salon, la pute viens me narguer jusque chez moi.

-Non Muriel, répond mon mari, ce n’est pas ce que tu crois.

-Toi, tu te tais, que je poursuis, c’est mon problème. Toi viens ici, tu as besoin d’une bonne rouste.

 

Je saisis la belle italienne par les cheveux, et la traine sur la moquette. Dans le mouvement, voila que mon peignoir s’ouvre, découvrant mon corps entièrement  nu en dessous. Je croise le regard sournois de Francesca.

-Ah tu veux qu’on joue, sourit-elle, ok, on va jouer.

 

En n’y une ni deux, elle retire mon peignoir,  me cloue au sol, et s’assoie sur mon ventre. Je me retrouve entièrement nue, jambes écartées, soumise à la maitresse de mon mari.

Dans cette position, je ne peux pas me défendre, et Francesca le sait.

Elle saisit le bout de mes seins entre deux doigts, les pinces légèrement, justes pour me faire mal.

-Aie…aie…connasse, tu me fais mal…

 

J’essaie de me dégager, en vain…elle est plus forte.

Lentement, elle passe une main derrière elle. Elle joue avec moi, elle frotte mes lèvres intimes une contre l’autre, comme si elle froissait du papier journal, puis les écarte, découvre mon clitoris qu’elle doigte d’un doigt expert.

Malgré la situation, je sens le désir monter en moi. Je m’écarte d’avantage pour mieux m’offrir.

Je sens l’orgasme monter en moi. Mais que m’arrive-t-il.

Mon mari, assis sur le canapé, n’intervient pas, il assiste à la soumission de son épouse.

Il prend un réel plaisir en voyant sa maitresse s’amuser avec ma petite chatte. Il prend aussi énormément de plaisir, en me voyant jouir entre ses doigts, à m’entendre crier de plaisir quand j’atteins l’orgasme. Elle n’arrête pas de me branler, sort ses doigts, les montre à mon mari.

 

-Regarde comme elle mouille cette pute.

-Ouah, la cochonne, elle a l’air d’aimer ça. Hein, ma chérie que tu aimes te faire gouiner.

-Oh oui, c’est tellement bon ce qu’elle me fait…oui…encore… -T’inquiète ma chérie, poursuit Eric, ma maitresse va bien s’occuper de toi.

 

J’ai à peine fini ma phrase, que Francesca remet ça. Elle glisse sur mon ventre, encastre sa tête entre mes jambes. Je sens sa langue lécher ma chatte pleine de mouille, sucer mon petit bouton décalotté. Je ressens un plaisir intense qui envahie mon corps.

Ce n’est pas vrai, je ne vais pas jouir en me faisant bouffer la chatte par une femme. Et pourtant… Mon corps tout entier vibre sous l’odieuse caresse. Je ne me maitrise plus, ma respiration s’accélère, je sens que je vais jouir pour la deuxième fois… L’orgasme est terrible.

-Ah…ah…ah…ah…oui…hou…hou…

 

Francesca laisse passer l’orgasme, puis remonte sur moi, me suce les seins, me prend la bouche.

Puis, elle se relève, s’avance vers mon mari, lui prend farouchement les lèvres, dans un sulfureux baiser. Elle se dirige vers moi, me tend la main.

-Je te trouve vraiment très joueuse ce soir, ma chérie, viens, allons au lit, ordonne-t-elle.

 

Là, entre ses bras, je vais passer la nuit la plus merveilleuse que je n’ai jamais connue. J’ai joui comme jamais. Francesca m’a fait faire des trucs que je ne connaissais pas, comme lui bouffer la chatte,  ou lui lécher le cul.

Quant à mon mari, il a préféré aller se coucher, et entendre nos cris de plaisir.