Il fait beau, c’est l’après midi et j’ai très envie de me promener. Je téléphone à une amie et nous nous donnons rendez-vous au centre ville. La place et les terrasses sont bondées. Je vois qu’Emma arrive. Après un moment, le garçon de café nous trouve une place d’où l’on peut regarder le mouvement incessant des passants. Nous sommes toutes deux célibataires mais pas homos, ce qui n’arrange pas le vide sexuel qui nous pèse. Le soleil, les vacances, tout est réuni pour faire une rencontre qui pourra combler ce manque.
J’imagine que celui-là avec ses grandes mains, me caresse et s’enfouit dans mon sexe. Lui, avec son survêtement lui moulant le paquet, sort son sexe énorme et me pénètre jusqu’à ma jouissance. Les fantasmes fusent et ma culotte commence à s’humidifier. J’en parle à Emma et elle commence à me confier les siens. Nous nous amusons à nous décrire nos désirs les plus secrets et les plus inavouables. Elle est habillée très classe, un petit tailleur laissant découvrir ses longues et fines jambes sans bas ni collant, un chemisier aguichant qui malgré une poitrine menue est gonflée par son excitation et son pull-up, ses cheveux lisses sont attachés. Je la trouve très sexy. Pour ma part, j’ai mis une robe d’été très courte qui pour les mateurs offrent une vue imprenables sur mon tanga rouge, j’ai aussi un large décolleté qui avec mon 95 D emballé dans un soutif rouge transparent dévoile mes seins tout en séduction mais sans provocation.
A force de nous chauffer mutuellement, nous décidons qu’il faut passer à l’acte. Nous émoustillons le serveur sans grand succès, les mecs des tables voisines ne nous séduisent pas. Nous partons faire du shopping sans relâcher notre attention sur le sexe opposé. Nous arrivons devant une boutique de prêt-à-porter mixte. Ce magasin est très grand et il y a beaucoup de monde. Je trouve quelques habits à essayer, et pendant ce temps, mon amie cherche pour elle. Je rentre dans la cabine et commence à me dévêtir. Je ne sais pourquoi mais le fait d’être nue au milieu de ces bruits, me donne envie de me toucher. Je commence à me caresser les seins dans leur totalité puis je dirige ma main vers les mamelons et les tétons. Je prends un pied d’enfer. Je descends ma main vers mon triangle à plaisir et commence à me doigter, je suis vraiment très humide. Je m’occupe de mon capuchon clitoridien que j’ai fait percer, il y a peu de temps. Oh ! Que c’est bon !
Et là, le drame ! Un homme entre dans ma cabine. Je le regarde avec une respiration rapide et saccadée. Il croit que j’ai peur et ne comprend pas que c’est l’excitation que je me donnais. Il me présente ses excuses et je lui dis : « ferme là et prend moi ! » Je tente le tout pour le tout. Il me regarde à nouveau et descend son pantalon. Je le suce goulument et il me prend. Son sexe me remplit et il me dit : « tu as pris de l’avance, tu es toute trempée ! ». Je suis en extase. Au fur et à mesure que la jouissance arrive, j’ai du mal à retenir mes gémissements. Il en a une grosse et sait s’en servir. Il finit par jouir sur mes fesses. Le temps de reprendre mes esprits, il a eu la délicatesse d’enlever sa semence de mon cul et de mon sexe. Je me retourne, il est parti. Pas de tel, pas d’adresse mais un beau souvenir ! Emma ne m’a jamais cru, pourtant…
Articles sur le même sujet :
20 mars 2012
Cabine d’essayage
Admin bas, culotte, fantasme, pied, plaisir, sexe, voisin, voisine Confession Intime 0 Commentaire
Il fait beau, c’est l’après midi et j’ai très envie de me promener. Je téléphone à une amie et nous nous donnons rendez-vous au centre ville. La place et les terrasses sont bondées. Je vois qu’Emma arrive. Après un moment, le garçon de café nous trouve une place d’où l’on peut regarder le mouvement incessant des passants. Nous sommes toutes deux célibataires mais pas homos, ce qui n’arrange pas le vide sexuel qui nous pèse. Le soleil, les vacances, tout est réuni pour faire une rencontre qui pourra combler ce manque.
J’imagine que celui-là avec ses grandes mains, me caresse et s’enfouit dans mon sexe. Lui, avec son survêtement lui moulant le paquet, sort son sexe énorme et me pénètre jusqu’à ma jouissance. Les fantasmes fusent et ma culotte commence à s’humidifier. J’en parle à Emma et elle commence à me confier les siens. Nous nous amusons à nous décrire nos désirs les plus secrets et les plus inavouables. Elle est habillée très classe, un petit tailleur laissant découvrir ses longues et fines jambes sans bas ni collant, un chemisier aguichant qui malgré une poitrine menue est gonflée par son excitation et son pull-up, ses cheveux lisses sont attachés. Je la trouve très sexy. Pour ma part, j’ai mis une robe d’été très courte qui pour les mateurs offrent une vue imprenables sur mon tanga rouge, j’ai aussi un large décolleté qui avec mon 95 D emballé dans un soutif rouge transparent dévoile mes seins tout en séduction mais sans provocation.
A force de nous chauffer mutuellement, nous décidons qu’il faut passer à l’acte. Nous émoustillons le serveur sans grand succès, les mecs des tables voisines ne nous séduisent pas. Nous partons faire du shopping sans relâcher notre attention sur le sexe opposé. Nous arrivons devant une boutique de prêt-à-porter mixte. Ce magasin est très grand et il y a beaucoup de monde. Je trouve quelques habits à essayer, et pendant ce temps, mon amie cherche pour elle. Je rentre dans la cabine et commence à me dévêtir. Je ne sais pourquoi mais le fait d’être nue au milieu de ces bruits, me donne envie de me toucher. Je commence à me caresser les seins dans leur totalité puis je dirige ma main vers les mamelons et les tétons. Je prends un pied d’enfer. Je descends ma main vers mon triangle à plaisir et commence à me doigter, je suis vraiment très humide. Je m’occupe de mon capuchon clitoridien que j’ai fait percer, il y a peu de temps. Oh ! Que c’est bon !
Et là, le drame ! Un homme entre dans ma cabine. Je le regarde avec une respiration rapide et saccadée. Il croit que j’ai peur et ne comprend pas que c’est l’excitation que je me donnais. Il me présente ses excuses et je lui dis : « ferme là et prend moi ! » Je tente le tout pour le tout. Il me regarde à nouveau et descend son pantalon. Je le suce goulument et il me prend. Son sexe me remplit et il me dit : « tu as pris de l’avance, tu es toute trempée ! ». Je suis en extase. Au fur et à mesure que la jouissance arrive, j’ai du mal à retenir mes gémissements. Il en a une grosse et sait s’en servir. Il finit par jouir sur mes fesses. Le temps de reprendre mes esprits, il a eu la délicatesse d’enlever sa semence de mon cul et de mon sexe. Je me retourne, il est parti. Pas de tel, pas d’adresse mais un beau souvenir ! Emma ne m’a jamais cru, pourtant…