Mon prénom est Isabelle et  j’ai 43 ans aujourd’hui. Je pars chez mon acupuncteur afin d’arrêter de fumer. Arrivée chez lui, il me pose des tas de questions sur mes motivations et il voit que c’est mon anniversaire. Il me dit qu’il va m’offrir un petit supplément. Je me déshabille et m’allonge sur la table d’examen. Je suis en sous vêtements mais je n’ai pas froid. L’asiatique commence alors à poser ses aiguilles sur mon corps. Il commence par les chevilles puis les poignets. Je sens un léger picotement à l’intrusion des aiguilles mais on ne peut pas parler de douleur. Dans un petit regard pétillant et un petit sourire en coin, il me dit : « Maintenant, place à votre cadeau d’anniversaire ! » Il plante alors des petits pics autour de mes seins et de mon sexe. Il s’en va et me laisse en me disant qu’il revient d’ici une bonne demi-heure.

Au début, j’essaie de me détendre et je panique un peu à la vision de mon corps ainsi percé, moi, qui ne me suis jamais fait percer les oreilles ! Puis, je tente de bouger, en vain. Je n’arrive qu’à faire se muer mes yeux, le reste est comme endormi. Tout d’un coup, des picotements émanant de mes pieds remontent le long de mon corps. Ils passent par l’extérieur de mes jambes, mes hanches et arrivent à ma poitrine. L’effet s’atténue pour être remplacé par une chaleur douce et agréable. Mes seins sont gonflés de plaisir et chauds bouillants et cette flambée redescend dans mon sexe. Le clitoris se dresse et mon vagin se gonfle et je chauffe de l’intérieur ; mes grandes lèvres et enfin mes petites s’ouvrent comme si on me faisait un cunnilingus d’enfer. Là, ne comprenant pas ce phénomène nouveau, je tente de résister à nouveau mais l’excitation est trop forte. Mon anus se dilate aussi et lubrifie alors que je n’ai jamais été sodomisée de ma vie ; là, j’en ai une envie folle. Ca se calme, la sensation est moins forte et je pense que c’est fini. Mon œil, oui !

Une nouvelle vague de plaisir arrive, plus puissante et plus chaude que celle d’avant ; je me retiens de crier, pourtant je vais jouir…, je veux jouir. Pareil, cela s’estompe puis revient à nouveau. Ce coup-ci, je jouis mais sans cri. Ceci n’est pas normal non plus ; d’habitude, je réveille tout le quartier, tellement je hurle de plaisir. J’en suis désormais à mon quatrième coït de suite quand l’homme à la blouse blanche rentre de la salle. Il me demande si je vais bien, mate mon sexe tout ouvert et ma poitrine devenue plus que généreuse, et dit : « je pense que oui ! » Cet homme ne m’attire pas et je n’ai pas envie de lui mais on pourra dire qu’il est le seul et l’unique à m’avoir fait jouir quatre fois de suite dans la même journée. Il enlève toutes ses banderilles, je le paie tout en le remerciant et remarque que sa clientèle est presque entièrement  féminine ! De retour chez moi, j’ai déshabillé mon mari qui fut tout surpris d’un tel engouement, je l’ai sucé comme jamais afin que sa bite soit très raide. J’ai pris son sexe entre mes mains moites et je me le suis enfoncé dans le rectum,  et j’ai eu ma première sodomie accompagnée de mon premier coït anal. Aucune douleur, que du plaisir, la chaleur de sa trique dans mon petit trou puis son éjaculation massive m’ont comblé en tous points. Moralité : je fume toujours mais je continue à le voir régulièrement !