Je vais vous faire un petit cours d’éducation sexuelle qui convient à amener la femme à l’orgasme et peut être briser certaines barrières. L’amour physique est contribué par trois sensations bien distinctes, qui sont donc : le frottement du pénis contre la paroi vaginale, la réplétion et la percussion des zones érogènes vaginales par le pénis. Si les trois sont exécutées au cours de l’acte, il y a de grandes chances d’amener au plaisir et donc à l’orgasme. Pour le frottement du pénis contre la paroi vaginale, la taille du sexe importe peu, en revanche, la position est très importante car si la femme vient sur l’homme, la pénétration étant plus profonde, la sensation est beaucoup plus ressentie par les deux partenaires. Ce qui m’amène au deuxième point la réplétion.
C’est le fait de sentir rempli par la femme. Vous allez me dire : « mais je croyais que la taille n’importe peu ». Je confirme, ce qu’il faut c’est toucher au fond si je peux me permettre. Un vagin mesure en moyenne 7,5 cm, je pense donc que pratiquement tous les hommes en érection peuvent contenter leurs femmes. Pour la dernière partie, toucher la zone qui amène au plaisir, cela dépend encore de la position mais aussi de la femme. Le fameux point G qui est si facilement touchable avec les doigts (je rappelle qu’il est placé sur le premier tiers du vagin en haut quand la femme est placée sur le dos), peut ne pas être touché par une pénétration du pénis si la position ne s’y prête pas. Pour un être un amant merveilleux, il faut surtout être à l’écoute des envies de sa femme et de ses besoins. Je m’explique un peu. Par le dialogue, vous pouvez l’interroger sur ce qu’elle aime et sur ce qu’elle veut et sur ce qu’elle ne veut pas mais il faut aussi traduire son langage corporel. Un exemple, tout simple qu’un homme peut comprendre aisément : lors d’une fellation si la femme se retire au moment opportun et vous finit à la main loin de vous pour ne pas être éclabousser, cela ne va pas vous combler jusqu’au bout et on le voit sur votre corps alors que si on vous finit sur notre poitrine ou dans notre bouche, là, on peut voir un orgasme tout à fait différent.
Pour la femme, c’est pareil. Si on éjacule sur ses fesses avec l’avoir pénétrée vaginalement, elle préférera qu’on éjacule dans son vagin et sentir le sperme lui réchauffer l’intérieur. Mais ce n’est pas tout car le plaisir anal existe aussi. L’anus est richement innervé et constitue une zone érogène importante dans la sexualité. Le coït anal est le plus souvent demandé par l’homme qui souhaite vivre cette sensation, le pénis étant plus serré dans l’anus, la sensation est différente de la pénétration vaginale. La femme n’ayant jamais expérimentée cette pratique peut avoir peur de la gêne et de la douleur provoquée, par l’intromission. Elle peut également trouver cette pratique dégradante ou dégoûtante. C’est pourquoi, il ne faut jamais forcer la main de sa partenaire mais dialoguer car, quand la femme s’offre à vous à ce niveau, c’est qu’elle a une grande confiance en vous. Vous pouvez au départ commencer par des caresses de l’anus accompagnées de caresses sur le clitoris. Ensuite, un doigt peut également être introduit dans l’anus, le but étant de détendre le sphincter. On peut également rajouter un lubrifiant hydrosoluble ce qui permettra d’éviter une irritation car, n’oublions pas que cette zone ne s’humidifie pas naturellement. L’intromission doit être délicate, le sphincter anal ayant pour réflexe de se refermer à toute tentative de pénétration. Après les mouvements de va-et-vient sont pour la femme source de plaisirs intenses et d’orgasmes. Il faut alors attendre que la femme donne la cadence car c’est elle gère à ce niveau la profondeur et la vitesse de pénétration. En général, les femmes libérées se masturbent en même temps soit avec pénétration vaginale soit, et c’est le cas le plus souvent, en branlant son clitoris. Les femmes adeptes de la sodomie disent que l’orgasme est beaucoup plus fort et beaucoup plus puissant que l’orgasme vaginal.
Il n’y a pas d’effets secondaires à cet acte. Quelques points importants tout de même à respecter. Il faut une hygiène irréprochable des deux partenaires car ce sont des zones à haut risque donc il faut se laver avant mais aussi après la sodomie. Il faut aussi ne pas faire des sodomies trop souvent pour respecter d’une part la flore intestinale et d’autre part, le sphincter qui peut poser des problèmes dans le futur. J’espère vous avoir appris quelque chose ou au moins avoir confirmé ce que vous pensiez connaitre du sexe. Pour ma part, je pense que je vais sauter sur mon mari en rentrant et lui faire sa fête.
Bouchard
26 mars 2019 @ 15 h 32 min
Cetait treux biiiiien jme sui masturb sur vooote texte