C’est un samedi après-midi comme tant d’autres. Nous décidons de faire la sieste ma femme et moi. On se câline avant de s’endormir. En fait, j’aimerai plutôt lui faire l’amour mais elle a l’air crevé et je ne veux pas lui imposer le devoir conjugal. J’enlève mon pantalon et mon slip et me mets au lit. Ma douce garde sa culotte et son pull. Je l’embrasse amoureusement et elle m’attrape par le sexe et se le colle dans la bouche. Incroyable, elle prend les devants. Elle me pompe franchement et s’aide de sa main. Je lui donne un autre baiser pendant qu’elle me masturbe à deux mains. Je peux lui reprocher sa cuisine, mais pour les fellations, elle sait y faire.
Je me glisse entre ses jambes, elle sur le dos relève son pull, et je joue avec ma langue sur ses tétons. Ses alvéoles sont petites et fortement pigmentées. Je frotte en même temps mon phallus sur sa vulve. Elle apprécie et je me positionne allongé à côté d’elle et je lui soulève une jambe. Je la pénètre en douceur car elle ne lubrifie pas encore et ne veux pas de cunnilingus. Je lui saisis un sein et lui afflige quelques menues pressions. J’adore ses seins, ils sont doux, petits et franchement très beaux. Elle tourne sa tête pour que nos langues s’entremêlent. Je lui lèche le lobe de l’oreille en faisant bien attention à ne pas expirer trop fort dans son conduit auditif. Son conduit vaginal, lui, est bien humide désormais. Elle pousse de petits cris d’aisance car je stimule son vagin manuellement en plus de ma pénétration sexuelle. Le fait de me relâcher un peu opère chez moi une baisse de mon érection. Qu’à ne cela tienne, elle me suce pour me redonner la vigueur du début.
Je lui caresse la nuque et m’empare de sa chevelure pour qu’elle aille jusqu’à la base de mon sexe. Elle me présente son cul et je la prends en levrette. D’abord à genou derrière elle, je lui enfonce mon dard puis je passe une jambe au-dessus de ses fesses et rentre plus profondément dans son vagin. J’accroche ma femme par les hanches et la pilonne rapidement. Puis, je glisse une main dans le bas de son dos, bien à plat, et je passe par une série plus calme. Je m’arque boute vers l’arrière et mets une tapette sur une fesse de ma chérie. Je suis à présent en genou flexion et je continue son limage de foufoune. Cela fait maintenant, une bonne vingtaine de minutes que je suis en elle lorsque survint une crampe. Je me relève rapidement et pose mon pied sur le carrelage froid pour qu’elle passe. Elle vient à mes côtés et je lui caresse sa boîte à plaisir, le temps que cela passe. Elle passe ses doigts dans sa bouche afin de les humidifier et me donne un petit cours sur l’art de se donner de la joie en solitaire chez une femme. Elle débute par s’ouvrir le sexe en grand d’une main et passe son doigt de son anus jusqu’à son clitoris. Puis opère en faisant de grands cercles autour de son capuchon clitoridien et en réduisant le périmètre de ses mouvements se centralise sur lui. Après 5 bonnes de minutes de titillement sur son appendice érectile, elle glisse deux doigts dans son sexe et m’explique que un seul ne sert à rien et que les filles en général font semblant d’apprécier pour motiver leur mâle à en mettre d’avantage.
De deux, elle passe à quatre, se penche en avant pour mieux se contenter et se doigte le rectum par la même. Ses mains étant prises, je lui rentre mon sexe dans la bouche. Elle veut arrêter de se toucher mais je lui refuse car la voir se toucher m’exite. J’ai le droit à une fellation délicieuse. Je bande comme un taureau et ma crampe m’a enfin laissé tranquille. Je lui demande de me tourner le dos, elle se penche et je la sodomise. Je passe mes bras en-dessous des siens et remonte jusqu’à son cou. La belle est devant le miroir de la commode et je peux mater tout son corps que j’aime tant. Ses petits seins bougent tout de même grâce à mes mouvements saccadés. Je change mes mains de place et lui caresse ses tétons qui pointent. Enfin, je la conduis en prenant sa croupe charnue dans mes griffes. Elle jouit bruyamment ce qui produit chez moi une motivation supplémentaire de continuer. Nous continuons d’une durée assez courte et elle se retourne et veut que je me finisse dans sa bouche, pour une fois que c’est elle qui réclame, allons-y ! C’est une suceuse experte qui après une masturbation frénétique, arrive à ses fins en stockant tout mon sperme dans sa bouche et finit par l’avaler. Après cet épisode frénétique, nous nous sommes endormis sans berceuse…
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19 avril 2012
Sieste crapuleuse
Admin anus, bas, culotte, cunnilingus, fellation, femme, levrette, masturbation, pénétration, phallus, pied, plaisir, sexe, sperme Confession Intime 0 Commentaire
C’est un samedi après-midi comme tant d’autres. Nous décidons de faire la sieste ma femme et moi. On se câline avant de s’endormir. En fait, j’aimerai plutôt lui faire l’amour mais elle a l’air crevé et je ne veux pas lui imposer le devoir conjugal. J’enlève mon pantalon et mon slip et me mets au lit. Ma douce garde sa culotte et son pull. Je l’embrasse amoureusement et elle m’attrape par le sexe et se le colle dans la bouche. Incroyable, elle prend les devants. Elle me pompe franchement et s’aide de sa main. Je lui donne un autre baiser pendant qu’elle me masturbe à deux mains. Je peux lui reprocher sa cuisine, mais pour les fellations, elle sait y faire.
Je me glisse entre ses jambes, elle sur le dos relève son pull, et je joue avec ma langue sur ses tétons. Ses alvéoles sont petites et fortement pigmentées. Je frotte en même temps mon phallus sur sa vulve. Elle apprécie et je me positionne allongé à côté d’elle et je lui soulève une jambe. Je la pénètre en douceur car elle ne lubrifie pas encore et ne veux pas de cunnilingus. Je lui saisis un sein et lui afflige quelques menues pressions. J’adore ses seins, ils sont doux, petits et franchement très beaux. Elle tourne sa tête pour que nos langues s’entremêlent. Je lui lèche le lobe de l’oreille en faisant bien attention à ne pas expirer trop fort dans son conduit auditif. Son conduit vaginal, lui, est bien humide désormais. Elle pousse de petits cris d’aisance car je stimule son vagin manuellement en plus de ma pénétration sexuelle. Le fait de me relâcher un peu opère chez moi une baisse de mon érection. Qu’à ne cela tienne, elle me suce pour me redonner la vigueur du début.
Je lui caresse la nuque et m’empare de sa chevelure pour qu’elle aille jusqu’à la base de mon sexe. Elle me présente son cul et je la prends en levrette. D’abord à genou derrière elle, je lui enfonce mon dard puis je passe une jambe au-dessus de ses fesses et rentre plus profondément dans son vagin. J’accroche ma femme par les hanches et la pilonne rapidement. Puis, je glisse une main dans le bas de son dos, bien à plat, et je passe par une série plus calme. Je m’arque boute vers l’arrière et mets une tapette sur une fesse de ma chérie. Je suis à présent en genou flexion et je continue son limage de foufoune. Cela fait maintenant, une bonne vingtaine de minutes que je suis en elle lorsque survint une crampe. Je me relève rapidement et pose mon pied sur le carrelage froid pour qu’elle passe. Elle vient à mes côtés et je lui caresse sa boîte à plaisir, le temps que cela passe. Elle passe ses doigts dans sa bouche afin de les humidifier et me donne un petit cours sur l’art de se donner de la joie en solitaire chez une femme. Elle débute par s’ouvrir le sexe en grand d’une main et passe son doigt de son anus jusqu’à son clitoris. Puis opère en faisant de grands cercles autour de son capuchon clitoridien et en réduisant le périmètre de ses mouvements se centralise sur lui. Après 5 bonnes de minutes de titillement sur son appendice érectile, elle glisse deux doigts dans son sexe et m’explique que un seul ne sert à rien et que les filles en général font semblant d’apprécier pour motiver leur mâle à en mettre d’avantage.
De deux, elle passe à quatre, se penche en avant pour mieux se contenter et se doigte le rectum par la même. Ses mains étant prises, je lui rentre mon sexe dans la bouche. Elle veut arrêter de se toucher mais je lui refuse car la voir se toucher m’exite. J’ai le droit à une fellation délicieuse. Je bande comme un taureau et ma crampe m’a enfin laissé tranquille. Je lui demande de me tourner le dos, elle se penche et je la sodomise. Je passe mes bras en-dessous des siens et remonte jusqu’à son cou. La belle est devant le miroir de la commode et je peux mater tout son corps que j’aime tant. Ses petits seins bougent tout de même grâce à mes mouvements saccadés. Je change mes mains de place et lui caresse ses tétons qui pointent. Enfin, je la conduis en prenant sa croupe charnue dans mes griffes. Elle jouit bruyamment ce qui produit chez moi une motivation supplémentaire de continuer. Nous continuons d’une durée assez courte et elle se retourne et veut que je me finisse dans sa bouche, pour une fois que c’est elle qui réclame, allons-y ! C’est une suceuse experte qui après une masturbation frénétique, arrive à ses fins en stockant tout mon sperme dans sa bouche et finit par l’avaler. Après cet épisode frénétique, nous nous sommes endormis sans berceuse…