J’ai pris le train pour retourner à Grenoble après avoir passé mes vacances chez mes parents dans le Nord. J’y fais mes études et je prends souvent le train pour retourner voir ma famille.

Lors de ce trajet de retour, j’ai eu la chance ou la malchance, d’avoir un souci avec ma place et le contrôleur m’a déplacé pour me mettre dans un compartiment particulier dans lequel se trouvait une belle femme d’une quarantaine d’années. Comme elle se trouvait seule dans ce grand espace, elle a gentiment accepté que je fasse le voyage avec elle. Je me suis installé en face d’elle et nous avons discuté un moment. Le voyage devenait plus agréable et plus court. Je n’arrêtais pas de la dévisager sous toutes les coutures. C’était une belle femme avec des formes généreuses, de longs cheveux bruns et de superbes jambes longues agrémentées de bas noirs. Je regardais entre ses cuisses pour essayer d’apercevoir sa culotte et elle a bien compris mon manège. Elle m’a surpris en me disant ouvertement que cela n’était pas poli de regarder sous les jupes des filles. Elle a délicatement ouvert ses jambes et j’ai pu apercevoir son entrejambe. Elle ne portait pas de culotte. Ses bas s’arrêtaient à mi-cuisses et son sexe était lisse comme une boule de billard. Elle m’a demandé si cela me plaisait et si je m’étais bien rincé l’œil. J’étais horriblement gêné et rouge de honte. J’ai voulu changer de conversation lorsqu’elle m’a dit que ce n’était pas équitable puisque j’avais vu sa chatte et qu’elle n’avait pas vu ma queue. Elle s’est relevée pour verrouiller la porte du compartiment et s’est dirigée vers moi. À genoux, elle a déboutonné mon pantalon pour en extraire mon sexe qui allait exploser. Elle a pris en main ma queue pour me branler un peu et l’a mise dans sa bouche pour me faire une pipe goulue. J’étais terrifié par la situation, mais je ne pouvais rester insensible aux caresses buccales de la belle quadra. J’ai osé avancer mes mains sur ses gros seins laiteux et en titiller les tétons qui pointaient sous son chemisier. Je lui ai fait signe de ralentir, car j’avais peur de jouir trop vite. Elle s’est remise en face sur la banquette et a écarté les cuisses pour m’inviter à venir la lécher. À mon tour, je me suis retrouvé à genoux entre ses cuisses pour lui dévorer sa petite chatte rose et lisse. Ma langue a récupéré une quantité de mouille impressionnante qui s’écoulait de la chatte lisse de la quadra. Elle me tenait la tête pour me guider dans mes mouvements et après avoir fouillé chaque recoin de son intimité, j’ai plongé ma langue dans son vagin sucré et je lui ai fait un cunnilingus profond. Ma langue est ressortie chargée de cyprine après un superbe orgasme de la belle quadra. Elle était déchainée et m’a avoué ne pas s’être fait lécher de la sorte depuis un moment. Elle m’a proposé de goûter à son tour à mon jus d’homme et m’a sucé la bite et léché les couilles avec passion. Elle me titillait les tétons d’une main, ce qui a provoqué une contraction violente de mes couilles dont de gros jets épais en sont sortis. La quadra a récupéré dans sa bouche tout mon sperme et m’a regardé dans les yeux avant de déglutir. C’est la première fois qu’une femme avale ma semence. Nous nous sommes rhabillés et avons échangé nos numéros de téléphone. Elle voyageait beaucoup en train aussi et prenait toujours un compartiment particulier. Je devais la contacter la prochaine fois que je prendrai le train et c’est ce que j’ai fait quelques semaines plus tard.

Ce sera l’objet d’une prochaine lettre.