J’ai 35 ans, je suis mariée, j’ai une petite fille de 6 mois. Tous les soirs je vais la chercher à la crèche, j’y vais à pied c’est pas évident de se garer devant la crèche. Elle est en pleine ville.

Il y a une semaine environ, je sortais de la crèche avec la petite, quand j’aperçevai juste devant un homme qui garait sa moto. J’avoue qu’il était garé sur le trottoir et qu’avec les poussettes nous étions obligés de descendre du trottoir pour passer. En passant, il était encore sur la moto, je lui suggérais de se garer ailleurs parce que c’était trop dangereux de passer avec nos enfants sur la route. Il ne répondait pas il me lançait juste un regard.

Le lendemain toujours pareil, toujours mal garé. Je m’arrêtais à se hauteur et une fois de plus je lui expliquais qu’il devrait se garer plus loin. Il levait sa visière et là j’apercevais ses yeux. Il avait une couleur d’yeux magnifique, ils n’étaient pas gris, pas bleu. Un mélange des deux peut être. Je restais subjugué. Je n’avais plus la force de lui répéter ce que je venais de dire. Il me décrochait « j’aime quand vous prenez votre air autoritaire ».

Je passais mon chemin, mais je continuais à penser à ses yeux, à sa voix. Il devait avoir environ 50 ans mais il avait une classe, je n’en revenais pas.

Le jeudi je demandais à ma mère de récupérer ma fille à 16H00. Je savais que ma fille n’était pas à la crèche mais je m’y rendais avec comme prétexte d’aller régler une sortie que les enfants allaient faire.

J’y allais à l’heure habituelle, il était là, assis sur la moto, le casque encore sur la tête. Je passais encore près de lui. Il me regardait passer puis quand j’étais à quelques mètres de lui, j’entendais la moto démarrer. Mon corps tremblait. Je continuais. Il passait à côté de moi, pas un regard rien. Ce soir là je devais m’arrêter chercher des fruits pour ma fille. J’empruntais donc un autre chemin, est ce le destin, sa moto était garée devant la superette.

J’allais enfin le voir sans son casque. En effet, il était là, dans le magasin. Quel bel homme. Il passait à côté de moi et me demandait si ce soir j’avais 5 mn. Je ne savais pas, je ne savais plus en fait. Je répondais que oui. Nous sortions du magasin ensemble, on se dirigeait vers la moto, il prenait son casque, en sortait un de son coffre, me le tendait.

Je ne sais pas ce que je faisais, j’allais suivre un inconnu. Est-ce bien raisonnable. Il prenait place sur la moto, je prenais place juste derrière. Je n’avais pas l’habitude de faire de la moto, je me collais à lui, passais mes mains autour de sa taille. La moto démarrait et il roulait, je ne savais pas ou il m’emmenait.

La moto s’arrêtait enfin. Je me décollais. Je descendais de la moto. Il m’enlevait le casque, enlevait le sien. Approchait sa bouche de la mienne et me déposait sur les lèvres un doux baiser. Hummm c’était bon, il était beau. J’en redemandais. Il me demandait si j’avais déjà fait l’amour sur une moto. Bien sûr non cela ne m’était jamais arrivé. Il me déshabillait tout doucement, une fois toute nue (je n’avais gardé que mes chaussures à talons), il me regardait, m’admirait. Puis il me caressait, il passait ses mains partout, avec douceur. J’étais je l’avoue un peu gênée, lui était habillé. Il me demandait d’enfourcher la moto. J’étais super excitée, d’ailleurs en m’essayant sur la selle de la moto, on pouvait voir que ma chatte était très mouillée.

Il enlevait son pantalon, s’asseyait derrière moi, frottait sa queue toute dure contre mes reins. Ne pouvant plus, je soulevais mes fesses afin de pouvoir m’empaler sur sa queue. Une fois sa queue bien au fond de ma chatte, je décidais de ne pas faire de vas et viens, juste bouger un peu de droite à gauche mes fesses et contracter ma chatte très fort, puis je relâchais.

Il se tenait à mes nichons, les malaxait et je sentais dans mon cou sa respiration de plus en plus rapide.

Il s’approchait de mon oreille pour me dire que j’étais une grosse salope et que je devais aimer la queue. Il n’avait pas tord, j’adorais et je me régalais à continuer comme ça.

Puis comme j’étais de plus en plus excitée, je commençais doucement quelques petits vas et viens. Pas trop rapide. C’était trop bon, plus j’entendais sa respiration rapide et plus je faisais de vas et viens.

Je restais quelques secondes assis sur sa queue sans rien faire, puis l’excitation se faisant de plus en plus sentir, j’accélérais pour qu’il jouisse en moi.

C’était bon il était entrain de jouir, c’était trop bon, je sentais son liquide bien chaud bien au fond de ma chatte. Je ne bougeais plus. Je sentais son jus descendre tout doucement.

Je me levais, descendais de la moto et sur le siège de la moto, son jus était là étalé sur le siège. Je me penchais en avant pour lécher ce qui était sorti de ma chatte. Oh j’adore lécher le sperme et l’avaler.

On se rhabillait, il me ramenait devant le petit commercer et je rentrais chez moi bien excitée de ce qui m’était arrivé.