Je vis en couple depuis 3 ans avec un homme que j’adore, pourtant l’autre jour, je l’ai surpris à se masturber. Je me suis sentie trahie, dégoûtée et surtout extrêmement  gênée. Je me remettais en cause en me disant que je ne le satisfaisais pas d’une part et de l’autre, m’aimait-il encore ou est-ce qu’il le faisait en pensant à une autre ou à un autre ? Je me renseignais alors sur internet et, là, je fus surprise que beaucoup de sites exhortent les personnes à pratiquer la masturbation sans honte et même d’aucuns expriment le bienfait de cette pratique sur la santé. Serais-je en train de m’inquiéter pour un acte simple et naturel ?

Avec le recul, je me trouve très cruche mais lorsque cela est arrivé, pas du tout. Pour voir sa réaction, un soir, nous étions couchés l’un à côté de l’autre et mon mari commençait à s’assoupir. Je commençais par me caresser le corps puis mes mains glissèrent sur ma poitrine. Les paumes de mes mains s’appliquaient à la base de mes seins et je me les pétrissais. D’un geste décontracté, je glissais mon index dans ma bouche afin de le lubrifier. Je tournais autour de mes mamelons. La sensation était fort agréable et très excitante. Puis, je remouillais mon doigt et titillais mes tétons. Le gonflement de mon poitrail était à son paroxysme. Je décidais d’aller plus loin et j’écartais mon tanga et me chatouillais la vulve. Je mouillais déjà bien et commençais à me tortiller de plaisir. Je poussais de petits gémissements qui réveillèrent mon cher et tendre. Prise par l’excitation, je ne remarquais pas son éveil et me rentrais des deux doigts d’une main dans mon antre et deux doigts de l’autre main sur le capuchon de mon clitoris. Je fermais les yeux et prenais un pied énorme. Je jouissais une première fois mais j’en voulais encore. Je continuais mon inspection vaginale avec ce coup-ci trois doigts qui entraient profondément dans ma chapelle ardente. Tout d’un coup, je sentis quelque chose contre ma bouche, c’était le sexe de mon chéri en érection ; je le suçais goulument, j’étais insatiable ! Je voulais du sexe, toujours plus de sexe. Ayant les mains prises à me toucher, je l’avais dans ma bouche et il faisait lui-même les allers retours. Je sentais sa respiration s’accélérer tant et si bien qu’il se retira et me mangea les seins. Quel bonheur ! La deuxième vague arriva, je jouis à nouveau, les femmes sont réellement pluri-orgasmiques. Mon mec se mit sur le dos et je le gobais à nouveau. Je lui massais gentiment les couilles et l’aspirais comme une malade, je voulais que sa sève jaillisse dans ma bouche. Et puis non, je lui relevais les jambes et lui lécha l’anus, il fut saisi sur l’instant mais il prit vite du plaisir. Mon majeur caressa son petit trou puis appuyant comme sur une touche de clavier, je le pénétrais d’une phalange et peu de temps après deux doigts étaient glissés dans son fondement. Je le mis à quatre pattes sans enlever mes doigts et je le suçais à nouveau, non sans lui manger ses testicules. N’en pouvant plus, il me demanda de le finir mais je refusais et m’empalais sur lui. J’étais devenue une tigresse alors que j’étais d’habitude la fille du missionnaire dans le noir.

Je le sentais comme jamais, toute sa longueur, coulisser jusqu’au plus profond de moi, mon clitoris frottait sur son corps. Je lui demandais de me mettre des petites claques sur les fesses et de me les pétrir fortement. Son sexe en pleine action sortit de moi tant je lubrifiais et vint me défoncer l’anus dans la douleur et un grand râle. J’avais mal car je ne pratique pas la sodomie d’habitude mais le plaisir était trop fort pour s’arrêter. Lui aussi avait remarqué qu’il était dans un endroit serré qu’il ne connaissait pas, il eut un temps d’arrêt et me voyant continuer à le chevaucher, il continua. Ce fut son tour à prendre les devants, il me retourna, retira son sabre et me bouffa le cul. Sa salive et sa langue si douce apaisèrent le feu de la pénétration si brusque. Il me léchait si bien en me câlinant le clitoris que je jouis de nouveau. Enfin, il enfila son sexe dans ma bouche et dès qu’il fut bien dur, il me l’enfila de nouveau dans le rectum, doucement, le gland d’abord puis de toute sa hampe après quelques va-vient, il jouit à son tour. Je sentais son sperme chaud qui giclait par saccades. Ce fut idyllique ! Désormais, je me masturbe seule ou avec lui mais lui me demande toujours de me masturber avant que nous fassions l’amour. L’autoérotisme vient en complément de ma sexualité et non en concurrence, contrairement à ce que je pouvais croire à cette époque.