Je me présente, je m’appelle Albéric et je suis médecin urgentiste au CHUR de Reims. Cela fait quelques années que j’exerce et l’entente avec les autres personnels soignant est bonne. Aujourd’hui, je prends ma garde de 48 heures et je vois une nouvelle infirmière, arrivée de la semaine dernière, dans nos rangs. Heureusement, ce soir, il n’y a pas foule : un ivrogne, une cheville cassée et une appendicite qui peut attendre lundi l’opération. Je suis en train de finir la paperasse et de libérer les gens qui peuvent repartir ou de les redirigers dans d’autres services quand la nouvelle infirmière appelée Océane, se plaint d’un point de côté au niveau du cœur. Je lui demande si elle veut que je l’examine, elle me fait signe que oui et nous nous dirigeons vers la salle d’auscultation.
A peine ai-je fermé la porte qu’elle enlève sa blouse où il ne reste que son tanga bleu et ses bas à grande maille de même couleur. Elle ne porte pas de haut en sous-vêtement, moi-même, je ne mets jamais de caleçon alors je ne vois pas de quel droit je lui ferai une réflexion. Je palpe sous son sein bien galbé et pose mon stéthoscope. Son cœur bat vite mais régulièrement. Je le positionne sur le côté du sein et là, tout est identique. Sans dire un seul mot, elle prend ma main et me fais comprimer son sein tout en s’allongeant sur la table d’examen. Elle écarte les cuisses. Son sein est chaud, doux et de bonne proportion, pile de la taille de ma main. Ses lunettes lui donnent une tête de cochonne de ce que j’en vois, méritée. Je lui lèche la poitrine et elle apprécie. Elle se positionne, à quatre pattes, en travers du lit et s’accroche à la barrière de sécurité qui empêche les malades de tomber. Elle se cambre et m’offre son cul. Là non plus rien à redire. Elle met sur le côté de sa fesse son tanga et me montre largement sa vulve et son petit trou. Elle me dit que cela fait trop longtemps qu’elle n’a pas baisé et que cela ne peut plus durer ! Un médecin doit être à l’écoute de ses patients, je lui introduis donc un doigt dans l’anus et ses gémissements commencent.
Honnêtement, je pense qu’elle est réellement en manque car je ne suis pas d’une beauté transcendante mais elle a l’air d’y tenir que ça soit moi. Elle force sur ses deux fesses pour que je m’enfonce d’avantage. Je ne me fais pas prier et lui mets au maximum puis glisse même deux doigts supplémentaires. La cochonne aime ça et en redemande. Je lui fais lécher mes doigts en la tenant par les nichons en passant mon bras sous sa taille. Je lui crache sur la chatte et entre mes doigts dans son minou qui est imberbe. Je la masturbe à fond et elle s’accroche encore plus fort à la barrière. Ses gémissements sont de plus en plus audibles et j’ai peur de nous faire attraper en plein acte. Je stimule son point G et quatre doigts sont maintenant dans sa chapelle ardente. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier. Je me retire et elle me lèche la main. Je me dis que tant qu’à faire de sucer, je préférerai que ça soit ma bite, je saisis la longue chevelure et la situe en face de ma braguette. Elle comprend ce que je désire. Je descends mon pantalon et elle prend mon pénis dans sa main et dans sa bouche. Sa stimulation buccale est parfaite. Le fait de me regarder au-dessus de ses lunettes, rajoute un plus que je ne pourrais expliquer. Elle ne suce pas, elle dévore. Mon sexe est tout entier jusqu’à sa gorge. Sa masturbation manuelle est abandonnée et elle mets ses mains sur mes hanches et m’aspire. J’attrape sa tête et accélère ses allés et venus. Elle s’étouffe, salive beaucoup, s’arrête puis reprend, c’est une suceuse hors pair. Je la colle sur le lit d’examen, lui enlève son tanga et lui met dans la bouche pour atténuer les bruits. Enfin je lui enfonce ma bite dans sa chatte tout humide. Je lui lève une jambe et la positionne sur le côté et continue de la pilonner. Elle n’en peut plus, elle écarte ses grandes ainsi que ses petites lèvres et me regarde la défoncer. Au bout de dix minutes, elle se retire et me suce. Je la retourne, plaque son buste sur le bord du lit et m’enfonce dans son orifice le plus serré.
Elle jouit et me caresse les couilles pendant mon action. Je jouis à mon tour d’un gros flux de sperme. Nous nous habillons, elle me fait un bisou. Si les patients ne sont pas trop nombreux, j’espère m’occuper d’elle le plus possible.
Jessica
10 août 2018 @ 0 h 48 min
La peur d’être vu excite encore plus.c’est trop bien on en veut encore et encore…