Je suis un étudiant à la fac de droit de Reims. Je suis assez brillant d’après les dires de mes autres profs mais là, je suis tombé sur une prof en droit international qui me provoque des érections massives à chaque cours et m’empêche de réfléchir tant je suis obnubilé par son physique. En fait, ma prof me fait comprendre que je suis un bon à rien. Au lieu de me laisser abattre, je pris le taureau par les cornes et lui demande des explications complémentaires et même si elle pourrait me donner des cours individuels pour rattraper mon retard. Elle accepte, gratuitement de plus, et nous prenons rendez-vous chez elle. Elle donne son adresse et son numéro de téléphone. Une fois arrivé chez elle, elle me demande ce que je ne comprends pas. Je joue la carte de la franchise et lui explique pourquoi avec elle, je bloque. J’ai peur de sa réaction et qu’elle me jette dehors comme un mal propre.
Ma prof est énervée mais elle dit qu’elle comprend et tire sur sa mini-jupe pour tenter de cacher et de ne pas me provoquer surtout. Je demande à ma prof si elle veut tout de même bien m’aider pour le droit. Elle me fait signe qu’elle est d’accord et s’assoit à mes côtés. Pour nous laisser repartir sur des bonnes bases, je lui propose de boire un coup et vais chercher une limonade faite maison. Mais j’ai oublié de vous la décrire, elle est brune, les yeux verts, une trentaine d’années passées et est célibataire. Je la remplis son verre et lui demande par quoi nous commençons. Elle se penche en avant pour prendre un livre dans son sac et me donne une vue imprenable sur sa poitrine que je pensai fournie mais j’étais encore loin du compte. Elle possède des obus qui ne demandent qu’à exploser son soutien gorge. Je tente une approche et elle me rembarre poliment. Puis, elle prend son verre et bave sur son chemisier. Sans dire un mot, elle le retire et l’installe sur son tancarville. Elle rougit et moi, je n’en peux plus.
Il fait chaud et elle va chercher une serviette et je me mets à l’aider pour l’essuyer. Elle me scrute et dans son regard, je sens que je peux tenter ma chance. Je me lance à la conquête de ses lèvres. Elle me laisse faire ce qui m’incite à aller plus loin. Je vois ses tétons pointés à travers son soutif. Je caresse son buste et je vois que cela lui plait. Je lui retire sa prison de dentelle, et, lui dévore ses mamelons. Sa respiration s’accélère et elle pousse déjà de petits gémissements qui m’encouragent dans ma lancée. Je l’assois sur le bureau, lui remonte son tailleur et lui arrache sa culotte. Je me baisse et attaque avec ma langue, sa chapelle ardente tout en masturbant son petit bouton. La petite prude, un peu bourgeoise, change de vocabulaire et me dit « Allez salaud, bouffe moi la chatte ! ». Je n’en reviens pas. Elle jouit et me félicite de ma technique. Puis elle se met à genoux devant moi et prend mon phallus dans sa bouche, elle me suce divinement. Elle me dit de prendre sa tête pour donner la cadence. Elle me gobe complètement dans sa bouche. Quand je sens que je vais partir, je la place à quatre pattes sur son canapé et je la pénètre tout en profondeur. Je vais de plus en plus vite et la lime jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus. Ses cheveux la gène et je lui attrape sa crinière ce qui cambre son corps encore plus fort et me permets de m’enfoncer encore plus loin en elle. Plus je lui en donne, plus elle en veut. Elle aime ça et cela me motive d’autant plus. Après un petit moment, elle m’arrête avec sa main et me somme de m’asseoir sur le canapé. Elle prend ma bite en main et me masturbe pour me donner une vigueur qui commençait à décliner. Dès le résultat escompté, elle ne lâche pas mon sexe et se l’introduit dans son petit trou. Je suis serré en elle mais j’apprécie. Elle me dit que je suis en train de la dépuceler de cet endroit et que si je le dis je suis un homme mort ! Nous rigolons et reprenons là où nous en étions. Elle lubrifie à présent et les va et vient se font de plus en plus facilement.
Elle jouit au bout de 10 minutes. Puis elle se retourne et veux me finir à la bouche. Elle m’aspire donc jusqu’à ce que je lui envoie mon sperme qu’elle avale. Nous nous rhabillons et notre histoire d’amour dura tout de même 5 années où elle continua de me donner des cours très particuliers.
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25 mai 2012
Cours privé
Admin bas, bite, bourgeoise, chatte, culotte, phallus, sexe, sperme, train Confession Intime 0 Commentaire
Je suis un étudiant à la fac de droit de Reims. Je suis assez brillant d’après les dires de mes autres profs mais là, je suis tombé sur une prof en droit international qui me provoque des érections massives à chaque cours et m’empêche de réfléchir tant je suis obnubilé par son physique. En fait, ma prof me fait comprendre que je suis un bon à rien. Au lieu de me laisser abattre, je pris le taureau par les cornes et lui demande des explications complémentaires et même si elle pourrait me donner des cours individuels pour rattraper mon retard. Elle accepte, gratuitement de plus, et nous prenons rendez-vous chez elle. Elle donne son adresse et son numéro de téléphone. Une fois arrivé chez elle, elle me demande ce que je ne comprends pas. Je joue la carte de la franchise et lui explique pourquoi avec elle, je bloque. J’ai peur de sa réaction et qu’elle me jette dehors comme un mal propre.
Ma prof est énervée mais elle dit qu’elle comprend et tire sur sa mini-jupe pour tenter de cacher et de ne pas me provoquer surtout. Je demande à ma prof si elle veut tout de même bien m’aider pour le droit. Elle me fait signe qu’elle est d’accord et s’assoit à mes côtés. Pour nous laisser repartir sur des bonnes bases, je lui propose de boire un coup et vais chercher une limonade faite maison. Mais j’ai oublié de vous la décrire, elle est brune, les yeux verts, une trentaine d’années passées et est célibataire. Je la remplis son verre et lui demande par quoi nous commençons. Elle se penche en avant pour prendre un livre dans son sac et me donne une vue imprenable sur sa poitrine que je pensai fournie mais j’étais encore loin du compte. Elle possède des obus qui ne demandent qu’à exploser son soutien gorge. Je tente une approche et elle me rembarre poliment. Puis, elle prend son verre et bave sur son chemisier. Sans dire un mot, elle le retire et l’installe sur son tancarville. Elle rougit et moi, je n’en peux plus.
Il fait chaud et elle va chercher une serviette et je me mets à l’aider pour l’essuyer. Elle me scrute et dans son regard, je sens que je peux tenter ma chance. Je me lance à la conquête de ses lèvres. Elle me laisse faire ce qui m’incite à aller plus loin. Je vois ses tétons pointés à travers son soutif. Je caresse son buste et je vois que cela lui plait. Je lui retire sa prison de dentelle, et, lui dévore ses mamelons. Sa respiration s’accélère et elle pousse déjà de petits gémissements qui m’encouragent dans ma lancée. Je l’assois sur le bureau, lui remonte son tailleur et lui arrache sa culotte. Je me baisse et attaque avec ma langue, sa chapelle ardente tout en masturbant son petit bouton. La petite prude, un peu bourgeoise, change de vocabulaire et me dit « Allez salaud, bouffe moi la chatte ! ». Je n’en reviens pas. Elle jouit et me félicite de ma technique. Puis elle se met à genoux devant moi et prend mon phallus dans sa bouche, elle me suce divinement. Elle me dit de prendre sa tête pour donner la cadence. Elle me gobe complètement dans sa bouche. Quand je sens que je vais partir, je la place à quatre pattes sur son canapé et je la pénètre tout en profondeur. Je vais de plus en plus vite et la lime jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus. Ses cheveux la gène et je lui attrape sa crinière ce qui cambre son corps encore plus fort et me permets de m’enfoncer encore plus loin en elle. Plus je lui en donne, plus elle en veut. Elle aime ça et cela me motive d’autant plus. Après un petit moment, elle m’arrête avec sa main et me somme de m’asseoir sur le canapé. Elle prend ma bite en main et me masturbe pour me donner une vigueur qui commençait à décliner. Dès le résultat escompté, elle ne lâche pas mon sexe et se l’introduit dans son petit trou. Je suis serré en elle mais j’apprécie. Elle me dit que je suis en train de la dépuceler de cet endroit et que si je le dis je suis un homme mort ! Nous rigolons et reprenons là où nous en étions. Elle lubrifie à présent et les va et vient se font de plus en plus facilement.
Elle jouit au bout de 10 minutes. Puis elle se retourne et veux me finir à la bouche. Elle m’aspire donc jusqu’à ce que je lui envoie mon sperme qu’elle avale. Nous nous rhabillons et notre histoire d’amour dura tout de même 5 années où elle continua de me donner des cours très particuliers.