J’aime me promener en forêt. L’odeur de feuille et le calme me créent des sensations délicieuses. Je vais toujours dans le même coin tranquille, une clairière à deux pas du sentier. C’est magique car je peux voir les autres mais eux ne peuvent pas. Je fais toujours le même rituel. Je me couche sur le dos sur une couverture, je remonte ma jupe, j’enlève mon string et j’écarte les cuisses. Le vent caresse ma vulve et cela m’excite. Après je m’occupe du haut. J’ouvre mon chemisier et retire mon soutien gorge. Mes seins sont à l’air et je me titille les tétons. Je tire un peu dessus, je les pince et joue avec mes mamelons. La poitrine gonflée de désir, je ferme les yeux et profite du moment présent. Puis je m’attaque à ma motte qui commence à lubrifier. Je joue avec mes grosses lèvres qui s’ouvrent sous la stimulation. Je masse ensuite mon clitoris, je suis rapidement prête à jouir, mais j’essaie de faire durer le plaisir. Enfin, je craque et je jouis en ondulant en vaguelettes au départ puis comme un tsunami. Voilà, ce qui se passe d’habitude mais pas aujourd’hui.
Je suis donc nue j’ai déjà enlevé mon string, ma poitrine est à nue et je suis sur ma chapelle ardente. Mais, au contraire de l’habitude, un homme est en train de m’observer à quelques mètres. Je continue mon petit jeu, et lui, sort son engin et se masturbe derrière son arbre en ne perdant aucune miette de mes faits et gestes. Je suis encore plus excitée qu’à l’habitude. Je varie un peu pour lui offrir une meilleure vue sur mon anatomie. Je me mets debout, je saisis un vibro que j’avais pris soin d’emporter, je commence à me l’entrer dans le vagin et je ferme les yeux en cambrant mon corps en avant. Je prends mon pied et j’espère que le cochon aussi. Je mets à présent à quatre pattes. Je positionne mes fesses en hauteur, et je continue à faire coulisser le gros god dans ma chatte dégoulinante. Mes nichons pendus dans le vide se ballottent. Je m’enfile de plus en plus vite jusqu’à jouir. Le temps de récupérer et je fais signe à mon mateur de venir me rejoindre. Il fait semblant de se cacher, se rhabille et viens me voir. Je ne lui laisse que le temps de dire bonjour et lui commande de se mettre à poil et sur la couverture. Il s’exécute avec un sourire coincé.
Je lui caresse tout le corps avec ma poitrine, et commence à lui faire une branlette espagnole. Son sexe devient dur comme du bois et je lui lèche son service trois pièces. Son frein, ses testicules, tout y passe. Son corps est gagné par l’excitation. L’homme commence à me pelotter les seins. Ça me fait de l’effet, je respire par saccades et sa bouche baveuse me bouffe les seins. Il les aspire alors qu’un doigt me fouille la chatte. D’après ce que je vois et ce que je sens, il a une bonne hygiène, c’est important pour prendre son pied, lui est idéal, ongles coupées, cheveux soignés et odeur corporelle cachée par un parfum enivrant mais pas écœurant. Il trouve mon point G et me fait décoller rapidement. Il me place à quatre pattes, s’introduit en moi jusqu’à ce que son corps face barrière, heureusement car j’ai l’impression de le sentir de l’entrée de mon vagin jusqu’à mes amygdales ! Il gère tout : la cadence, la profondeur, rien à redire. Il me demande de me masturber encore avec le god. Je m’exécute. Une de mes mains, tripotte mon capuchon clitoridien pendant que mon autre main m’enfile le vibro. Il se masturbe en me regardant puis ce qui glisse dans mon vagin avec le vibro. Je suis prise en doublette pour mon plus grand plaisir et pour la première fois. Au bout de dix bonnes minutes de taraudage fort agréable, il sort à nouveau son glaive pour me défoncer l’anus. Avec mes sens en ébullition, je suis aux anges. Je ne lâche rien de ma stimulation et lui me culbute avec frénésie. Sa chaleur phallique m’envahit, je viens à grand pas vers la jouissance. Quand, soudain, il envoie son élixir dans mon petit trou, j’aurai préféré qu’il le fasse dans ma bouche, j’adore le sperme. Ne voulant m’abandonner si près du but, il prend mon god et fait des allers retours à une vitesse plus que soutenue. Il joint la parole aux gestes, en commentant avec des mots crus ce qui me plaît ! Je deviens une femme fontaine et arrose la couverture de mon lubrifiant naturel. Je m’écroule en jouissant.
Après un temps de récupération, je regarde autour de moi mais plus personne. L’oiseau s’est envolé me laissant qu’un merveilleux souvenir de baise !
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10 juin 2012
Plaisir en forêt
Admin anus, branlette, chatte, femme, Femme fontaine, odeur, pied, plaisir, première fois, sexe, sperme, train, vibro Confession Intime 0 Commentaire
J’aime me promener en forêt. L’odeur de feuille et le calme me créent des sensations délicieuses. Je vais toujours dans le même coin tranquille, une clairière à deux pas du sentier. C’est magique car je peux voir les autres mais eux ne peuvent pas. Je fais toujours le même rituel. Je me couche sur le dos sur une couverture, je remonte ma jupe, j’enlève mon string et j’écarte les cuisses. Le vent caresse ma vulve et cela m’excite. Après je m’occupe du haut. J’ouvre mon chemisier et retire mon soutien gorge. Mes seins sont à l’air et je me titille les tétons. Je tire un peu dessus, je les pince et joue avec mes mamelons. La poitrine gonflée de désir, je ferme les yeux et profite du moment présent. Puis je m’attaque à ma motte qui commence à lubrifier. Je joue avec mes grosses lèvres qui s’ouvrent sous la stimulation. Je masse ensuite mon clitoris, je suis rapidement prête à jouir, mais j’essaie de faire durer le plaisir. Enfin, je craque et je jouis en ondulant en vaguelettes au départ puis comme un tsunami. Voilà, ce qui se passe d’habitude mais pas aujourd’hui.
Je suis donc nue j’ai déjà enlevé mon string, ma poitrine est à nue et je suis sur ma chapelle ardente. Mais, au contraire de l’habitude, un homme est en train de m’observer à quelques mètres. Je continue mon petit jeu, et lui, sort son engin et se masturbe derrière son arbre en ne perdant aucune miette de mes faits et gestes. Je suis encore plus excitée qu’à l’habitude. Je varie un peu pour lui offrir une meilleure vue sur mon anatomie. Je me mets debout, je saisis un vibro que j’avais pris soin d’emporter, je commence à me l’entrer dans le vagin et je ferme les yeux en cambrant mon corps en avant. Je prends mon pied et j’espère que le cochon aussi. Je mets à présent à quatre pattes. Je positionne mes fesses en hauteur, et je continue à faire coulisser le gros god dans ma chatte dégoulinante. Mes nichons pendus dans le vide se ballottent. Je m’enfile de plus en plus vite jusqu’à jouir. Le temps de récupérer et je fais signe à mon mateur de venir me rejoindre. Il fait semblant de se cacher, se rhabille et viens me voir. Je ne lui laisse que le temps de dire bonjour et lui commande de se mettre à poil et sur la couverture. Il s’exécute avec un sourire coincé.
Je lui caresse tout le corps avec ma poitrine, et commence à lui faire une branlette espagnole. Son sexe devient dur comme du bois et je lui lèche son service trois pièces. Son frein, ses testicules, tout y passe. Son corps est gagné par l’excitation. L’homme commence à me pelotter les seins. Ça me fait de l’effet, je respire par saccades et sa bouche baveuse me bouffe les seins. Il les aspire alors qu’un doigt me fouille la chatte. D’après ce que je vois et ce que je sens, il a une bonne hygiène, c’est important pour prendre son pied, lui est idéal, ongles coupées, cheveux soignés et odeur corporelle cachée par un parfum enivrant mais pas écœurant. Il trouve mon point G et me fait décoller rapidement. Il me place à quatre pattes, s’introduit en moi jusqu’à ce que son corps face barrière, heureusement car j’ai l’impression de le sentir de l’entrée de mon vagin jusqu’à mes amygdales ! Il gère tout : la cadence, la profondeur, rien à redire. Il me demande de me masturber encore avec le god. Je m’exécute. Une de mes mains, tripotte mon capuchon clitoridien pendant que mon autre main m’enfile le vibro. Il se masturbe en me regardant puis ce qui glisse dans mon vagin avec le vibro. Je suis prise en doublette pour mon plus grand plaisir et pour la première fois. Au bout de dix bonnes minutes de taraudage fort agréable, il sort à nouveau son glaive pour me défoncer l’anus. Avec mes sens en ébullition, je suis aux anges. Je ne lâche rien de ma stimulation et lui me culbute avec frénésie. Sa chaleur phallique m’envahit, je viens à grand pas vers la jouissance. Quand, soudain, il envoie son élixir dans mon petit trou, j’aurai préféré qu’il le fasse dans ma bouche, j’adore le sperme. Ne voulant m’abandonner si près du but, il prend mon god et fait des allers retours à une vitesse plus que soutenue. Il joint la parole aux gestes, en commentant avec des mots crus ce qui me plaît ! Je deviens une femme fontaine et arrose la couverture de mon lubrifiant naturel. Je m’écroule en jouissant.
Après un temps de récupération, je regarde autour de moi mais plus personne. L’oiseau s’est envolé me laissant qu’un merveilleux souvenir de baise !