Je suis invitée au pot de départ d’un collègue de bureau. Je viens d’arriver et j’espère tomber sur Lazare, un autre collaborateur qui est beau comme un cœur et gentil comme pas deux. Il est là, son charme m’impressionne et je ne le perds pas des yeux. Tout ce monde que nous croisons, pour moi, n’existent pas ! Savent-ils ce que je suis attirée par lui ? Et lui, qu’éprouve t’il pour moi ? Le punch aidant, je me décoince et je vois que Lazare aussi. Il se rapproche de moi et son regard me fait comprendre que lui aussi a des sentiments. Il était peut-être mal à l’aise au départ mais là, ça se décante. J’ai envie de lui faire plaisir, que nous profitons pleinement de cette soirée.
J’ai envie de le titiller. Je viens juste de voir qu’il y a du raisin. Je lui glisse un grain dans la bouche. Il se laisse faire et me dit qu’il aimerait plutôt goûter la saveur de mes lèvres. Je feins d’aller aux toilettes, il me suit de quelques secondes. Je réajuste ma tenue, un petit coup de spray à la menthe pour l’haleine et je suis prête. Il arrive, je lui souris et sans prendre le temps de dire un mot, nous nous embrassons torridement. Sa main passe le long de mes hanches, je frissonne. Je l’inspecte des pieds jusque la tête, c’est vraiment un beau mec. Il me dit qu’il me trouve ravissante et espère que ce n’est pas juste pour une soirée, je le réconforte dans son choix en lui expliquant que je désire la même chose. Nous décidons d’abréger la soirée avec les autres pour se retrouver tous les deux. Quelques ronds de jambes à la direction, quelques confessions à une amie très chère et bizarrement, je dis que je pars et il me propose de ramener. Nous avons tous les deux notre voiture, il me dit qu’on se rejoint chez lui et qu’il a de quoi diner. Je passe chez moi en vitesse, je m’habille plus sexy, y compris les sous-vêtements car on ne sait jamais… Une bonne bouteille de vin et en route chez Lazare. J’arrive la table est dressée avec des bougies, lumière tamisée et apéro maison servi. L’idée de faire l’amour devient obsédante. Nous nous embrassons à nouveau et pendant cet instant, je lui déboutonne sa chemise et je lui propose d’aller plus loin. Il me regarde très étonné et m’interroge du regard pour savoir s’il a bien compris. Je ne manque pas d’insister avec un petit sourire en coin. Le message semble passer. Maintenant, nous voilà en train de nous caresser et ses habits sont retirés au fur et à mesure. En principe, le jeu devrait se faire à deux. Je l’invite délicatement à m’effeuiller. Ses mains sont à nouveau sur mes hanches et il pose ses lèvres dans mon cou. J’entends la fermeture éclair de ma robe. Il me l’ôte. Je suis presque nue, ne gardant sur moi que mes sous-vêtements, je le laisse me mâter.
Il décroche mon soutif et je barre la vue sur ma poitrine avec mon bras. Je vois que son caleçon commence à ressembler à une toile de tente. J’enlève mon bras pour qu’il puisse voir ma poitrine. Il me la saisit et l’embrasse. Il me caresse et passe sa langue sur le bout de mes seins. Il me lèche le lobe de l’oreille. Ses mains descendent le long de mon corps et il glisse dans mon tanga une main sûre et décidée. Il trouve ma vulve tout humide. Il se charge de mon clitoris et je commence à pousser des gémissements. Par une stimulation tout en douceur, il trouve mon point G et me fait jouir. Je saisis son boxer et m’agenouille devant lui. Je commence à le prendre en bouche et le masturbe en même temps. Je ne peux plus tenir, je veux être pénétrée de son chibre. Il s’assoit sur le canapé et je m’empale sur lui. Nos corps se réclament et nous ne faisons plus qu’un. Je lèche un de ses doigts et sa main me titille le capuchon clitoridien pendant que je continue mes va et vient. Je me cambre et ses mains se glissent sous mes fesses pour augmenter la cadence. Je me retourne et il joue avec mes seins qui ballottent dans tous les sens. Je change de position et me mets à quatre pattes. Il saisit mes hanches et entre en profondeur dans mon antre à plaisir. Son pilonnement ne tarde pas à me faire jouir pour la deuxième fois et réceptionne sa semence. La chaleur de son liquide me fait une sensation forte agréable.
Il m’embrasse et me demande si j’ai faim. En fait, je ne suis pas rassasiée au niveau sexuel mais j’attends avec impatience le deuxième round.
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8 juin 2012
Pot de départ
Admin pied, plaisir, toilettes, train Confession Intime 0 Commentaire
Je suis invitée au pot de départ d’un collègue de bureau. Je viens d’arriver et j’espère tomber sur Lazare, un autre collaborateur qui est beau comme un cœur et gentil comme pas deux. Il est là, son charme m’impressionne et je ne le perds pas des yeux. Tout ce monde que nous croisons, pour moi, n’existent pas ! Savent-ils ce que je suis attirée par lui ? Et lui, qu’éprouve t’il pour moi ? Le punch aidant, je me décoince et je vois que Lazare aussi. Il se rapproche de moi et son regard me fait comprendre que lui aussi a des sentiments. Il était peut-être mal à l’aise au départ mais là, ça se décante. J’ai envie de lui faire plaisir, que nous profitons pleinement de cette soirée.
J’ai envie de le titiller. Je viens juste de voir qu’il y a du raisin. Je lui glisse un grain dans la bouche. Il se laisse faire et me dit qu’il aimerait plutôt goûter la saveur de mes lèvres. Je feins d’aller aux toilettes, il me suit de quelques secondes. Je réajuste ma tenue, un petit coup de spray à la menthe pour l’haleine et je suis prête. Il arrive, je lui souris et sans prendre le temps de dire un mot, nous nous embrassons torridement. Sa main passe le long de mes hanches, je frissonne. Je l’inspecte des pieds jusque la tête, c’est vraiment un beau mec. Il me dit qu’il me trouve ravissante et espère que ce n’est pas juste pour une soirée, je le réconforte dans son choix en lui expliquant que je désire la même chose. Nous décidons d’abréger la soirée avec les autres pour se retrouver tous les deux. Quelques ronds de jambes à la direction, quelques confessions à une amie très chère et bizarrement, je dis que je pars et il me propose de ramener. Nous avons tous les deux notre voiture, il me dit qu’on se rejoint chez lui et qu’il a de quoi diner. Je passe chez moi en vitesse, je m’habille plus sexy, y compris les sous-vêtements car on ne sait jamais… Une bonne bouteille de vin et en route chez Lazare. J’arrive la table est dressée avec des bougies, lumière tamisée et apéro maison servi. L’idée de faire l’amour devient obsédante. Nous nous embrassons à nouveau et pendant cet instant, je lui déboutonne sa chemise et je lui propose d’aller plus loin. Il me regarde très étonné et m’interroge du regard pour savoir s’il a bien compris. Je ne manque pas d’insister avec un petit sourire en coin. Le message semble passer. Maintenant, nous voilà en train de nous caresser et ses habits sont retirés au fur et à mesure. En principe, le jeu devrait se faire à deux. Je l’invite délicatement à m’effeuiller. Ses mains sont à nouveau sur mes hanches et il pose ses lèvres dans mon cou. J’entends la fermeture éclair de ma robe. Il me l’ôte. Je suis presque nue, ne gardant sur moi que mes sous-vêtements, je le laisse me mâter.
Il décroche mon soutif et je barre la vue sur ma poitrine avec mon bras. Je vois que son caleçon commence à ressembler à une toile de tente. J’enlève mon bras pour qu’il puisse voir ma poitrine. Il me la saisit et l’embrasse. Il me caresse et passe sa langue sur le bout de mes seins. Il me lèche le lobe de l’oreille. Ses mains descendent le long de mon corps et il glisse dans mon tanga une main sûre et décidée. Il trouve ma vulve tout humide. Il se charge de mon clitoris et je commence à pousser des gémissements. Par une stimulation tout en douceur, il trouve mon point G et me fait jouir. Je saisis son boxer et m’agenouille devant lui. Je commence à le prendre en bouche et le masturbe en même temps. Je ne peux plus tenir, je veux être pénétrée de son chibre. Il s’assoit sur le canapé et je m’empale sur lui. Nos corps se réclament et nous ne faisons plus qu’un. Je lèche un de ses doigts et sa main me titille le capuchon clitoridien pendant que je continue mes va et vient. Je me cambre et ses mains se glissent sous mes fesses pour augmenter la cadence. Je me retourne et il joue avec mes seins qui ballottent dans tous les sens. Je change de position et me mets à quatre pattes. Il saisit mes hanches et entre en profondeur dans mon antre à plaisir. Son pilonnement ne tarde pas à me faire jouir pour la deuxième fois et réceptionne sa semence. La chaleur de son liquide me fait une sensation forte agréable.
Il m’embrasse et me demande si j’ai faim. En fait, je ne suis pas rassasiée au niveau sexuel mais j’attends avec impatience le deuxième round.