Je suis dans la rue en plein été. D’un seul coup pour des raisons que j’ignore alors, je fais un malaise dans la rue dans le début de la matinée. Les pompiers appelés arrivent 10 minutes plus tard. Je reprends connaissance dans leur véhicule après un peu d’oxygène et avoir bu un verre d’eau. Le pompier près de moi m’explique simplement que cette perte de connaissance est due à un manque d’hydratation. Malgré le brouillard qui persiste un peu dans mon esprit, je dois reconnaitre que cet homme est plutôt charmant. Prestige de l’uniforme ? Je ne sais pas mais il m’attire énormément. Je tente de l’embrasser mais il me repousse en disant que, pendant son service, c’est interdit.
Il m’emmène avec ses collègues à l’hôpital le plus proche et le médecin dit qu’il me garde 48 heures en observation, le temps que je me rétablisse. Mon joli sergent part et me laisse dans ma prison. J’ai horreur des hôpitaux. En fin d’après-midi, j’ai la surprise de voir arriver un beau jeune homme dans ma chambre qui demande de mes nouvelles. Je ne le reconnais pas de suite mais c’est mon pompier de ce matin. Je lui réponds que je vais mieux mais que le médecin ne veut pas me lâcher tout de même car je vis seule dans mon appartement et que s’il y avait des complications, personne ne pourrait avertir les secours. Il demande mon adresse et repart comme il était venu. J’apprécie son geste et reste sage, un revers de veste par jour me suffit !
Je sors enfin après quelques examens et rentre chez moi. Le soir, on sonne à ma porte ; j’ouvre, c’est lui ! A peine entré qu’il me tend ses lèvres. Je l’embrasse goulument. De seconde passée en seconde passée, je le déshabille. Je lui suce les tétons et descends vers son sexe. Il se laisse faire, je m’applique à faire entrer son pénis entièrement dans ma bouche et ma gorge tout en lui caressant les testicules. Il me met à poil également. Il me caresse les seins et mange le capuchon. Mes seins et mon clito sont gonflés de plaisir. Il s’assoit sur la chaise et je m’empale sur son sexe turgescent. Oh la vache que c’est bon ! Il me titille les nichons avec sa bouche et mon anus avec ses doigts. Il me retourne. Je me penche en avant pour offrir à sa vue mon petit trou. Son sexe augmente encore de taille, ça lui fait de l’effet, pensai-je. Il continue à me caresser l’orifice anal et y introduit un doigt. J’apprécie tant qu’il a bientôt trois doigts dans mon fondement. Je me déboite de lui et le suce à nouveau. Je vois à sa respiration qui s’accélère qu’il va jouir alors j’arrête. Je m’installe dans le canapé, le cul bien offert, j’attends son épée massive. Il me lèche afin de faciliter la pénétration, puis d’un geste souple mais ferme, il entre en moi doucement mais profondément. Je pense que je n’aurai plus de problème de constipation tant son diamètre est grand et m’agrippe à ce que je peux en serrant les dents. Je suis chaude comme de la braise, je lui dis de prendre à fond ce qu’il fait. Je jouis comme une malade et bientôt son jus me sert de lavement. Il se retire lentement et nous allons dans la salle de bain. Il s’allonge dans la baignoire, je fais couler le bain et viens lui faire un gros câlin. Depuis, j’ai toujours quelqu’un pour veiller sur moi et nous filons le parfait bonheur démarré étrangement pourtant.
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11 avril 2012
Pompier
Admin anal, anus, jeune, pénétration, plaisir, sexe Confession Intime 0 Commentaire
Je suis dans la rue en plein été. D’un seul coup pour des raisons que j’ignore alors, je fais un malaise dans la rue dans le début de la matinée. Les pompiers appelés arrivent 10 minutes plus tard. Je reprends connaissance dans leur véhicule après un peu d’oxygène et avoir bu un verre d’eau. Le pompier près de moi m’explique simplement que cette perte de connaissance est due à un manque d’hydratation. Malgré le brouillard qui persiste un peu dans mon esprit, je dois reconnaitre que cet homme est plutôt charmant. Prestige de l’uniforme ? Je ne sais pas mais il m’attire énormément. Je tente de l’embrasser mais il me repousse en disant que, pendant son service, c’est interdit.
Il m’emmène avec ses collègues à l’hôpital le plus proche et le médecin dit qu’il me garde 48 heures en observation, le temps que je me rétablisse. Mon joli sergent part et me laisse dans ma prison. J’ai horreur des hôpitaux. En fin d’après-midi, j’ai la surprise de voir arriver un beau jeune homme dans ma chambre qui demande de mes nouvelles. Je ne le reconnais pas de suite mais c’est mon pompier de ce matin. Je lui réponds que je vais mieux mais que le médecin ne veut pas me lâcher tout de même car je vis seule dans mon appartement et que s’il y avait des complications, personne ne pourrait avertir les secours. Il demande mon adresse et repart comme il était venu. J’apprécie son geste et reste sage, un revers de veste par jour me suffit !
Je sors enfin après quelques examens et rentre chez moi. Le soir, on sonne à ma porte ; j’ouvre, c’est lui ! A peine entré qu’il me tend ses lèvres. Je l’embrasse goulument. De seconde passée en seconde passée, je le déshabille. Je lui suce les tétons et descends vers son sexe. Il se laisse faire, je m’applique à faire entrer son pénis entièrement dans ma bouche et ma gorge tout en lui caressant les testicules. Il me met à poil également. Il me caresse les seins et mange le capuchon. Mes seins et mon clito sont gonflés de plaisir. Il s’assoit sur la chaise et je m’empale sur son sexe turgescent. Oh la vache que c’est bon ! Il me titille les nichons avec sa bouche et mon anus avec ses doigts. Il me retourne. Je me penche en avant pour offrir à sa vue mon petit trou. Son sexe augmente encore de taille, ça lui fait de l’effet, pensai-je. Il continue à me caresser l’orifice anal et y introduit un doigt. J’apprécie tant qu’il a bientôt trois doigts dans mon fondement. Je me déboite de lui et le suce à nouveau. Je vois à sa respiration qui s’accélère qu’il va jouir alors j’arrête. Je m’installe dans le canapé, le cul bien offert, j’attends son épée massive. Il me lèche afin de faciliter la pénétration, puis d’un geste souple mais ferme, il entre en moi doucement mais profondément. Je pense que je n’aurai plus de problème de constipation tant son diamètre est grand et m’agrippe à ce que je peux en serrant les dents. Je suis chaude comme de la braise, je lui dis de prendre à fond ce qu’il fait. Je jouis comme une malade et bientôt son jus me sert de lavement. Il se retire lentement et nous allons dans la salle de bain. Il s’allonge dans la baignoire, je fais couler le bain et viens lui faire un gros câlin. Depuis, j’ai toujours quelqu’un pour veiller sur moi et nous filons le parfait bonheur démarré étrangement pourtant.